- Text Size +

Je me réveillai plusieurs heures plus tard. J'étais étendu sur une surface synthétique noire, avec une chaleur intense s'émanant de dessous. J'étais dans un genre de vallée surmontée par deux collines de chaque côté. Je pouvais entendre la télé, loin de ma position. Je me retourna.

Diane était littéralement une montagne pour moi. J'étais sur ses genoux, et le tissu noir était sa jupe. Je regarda en haut, et je fus stupéfait par la paysage gigantesque qui s’étendait devant moi. Son tronc était comme un bâtiment, aussi volumineux qu'un gratte-ciel. Ses bras étaient de chaque côté de son corps, d'immenses bus comparés à moi. Ses seins montaient et descendaient alors qu'elle respirait, pointant fièrement depuis sa poitrine et cachant son visage vu d'ici. Je réalisa soudain avec terreur que chaque sein était désormais suffisamment grand pour me dominer.

Diane bougea pour croiser ses jambes. La "vallée" m'aspira vers le bas, plus près de sa chatte, et sa main vint se poser juste à côté de moi. J'attrapa son immense doigt, qui était aussi gros que moi, pour éviter de glisser plus bas. Son ongle rose et gigantesque faisait la taille de ma tête.

"DIANE !!" Hurlais-je de terreur, m'agripant à sa main. Je ne devais pas mesurer plus de 5cm, et je m'accrochais misérablement à ce que je pouvais.

"Oh !" Explosa sa voix au-dessus de moi. "Tu es réveillé." Elle décroisa rapidement ses jambes, et sa jupe se tendit de nouveau entre ses deux cuisses.

"Mon Dieu, regarde toi !" Susurra-t-elle, "Tu es si petit et si mignon !" Son doigt s'approcha au-dessus de moi, puis s'amusa à me bousculer. Je roula en arrière sous l'attaque de son doigt.

"Diane, ce n'est pas drôle ! Il faut que tu me refasses grandir !" Suppliais-je.

"Je ne pense pas que je puisse chéri. Et puis, je t'aime vraiment comme ça !" Elle continua à s'amuser avec moi, caressant mon torse avec la pulpe de son doigt.

J'attrapa son doigt pour l'arrêter, mais elle était bien trop forte. C'était simplement inutile de résister, alors j'abandonna rapidement l'idée.

"Mais Diane, si je suis aussi petit, comment est-ce que je suis sensé faire quoi que ce soit ? Tu pourrais m'écraser en plus !" Cela faisait un petit bout de temps que j'y pensais, et je l'avais enfin laissé sortir.

Elle réfléchit quelques secondes. "Bon, d'abord je n'ai pas besoin que tu fasses quoi que ce soit. Tout ce que tu as à faire, c'est me laisser faire. Et deuxièmement..." Elle me prit avec facilité, me pinçant entre ses doigts. Je cria et sursauta sous l'effet de la peur.

Elle me descendit jusqu'au sol et glissa son pied hors de son talon. Son pied nu, que je voyais désormais aussi grand qu'une voiture, s'éleva dans les airs et se déplaça au-dessus de moi. Je n'arrivais pas à y croire. C'en était fini de moi.

Et me lâcha, et j'essaya de m'enfuir avec que son pied ne m'atterrisse dessus. Malheureusement, je n'eu pas le temps d'aller très loin. La peau de son gros orteil s'écrasa sur mon dos, me jetant à terre et me pulvérisant par la même occasion. J'étais certain que j'allais mourir.

Et pourtant, ce ne fut pas le cas. Bien sûr, c'était inconfortable, et je sentais ma cage thoracique compressée, mais au final mon corps semblait être plutôt résistant. Je pouvais dire qu'elle commençait à mettre vraiment pas mal de poids, alors que son immense orteil bloquait mon pauvre corps contre le sol. Je ne pouvais pas bouger, mais je ne mourais pas non plus.

"Tu vois ?" Dit-elle avec joie. "Tu n'es pas en bouillie."

Quelle merveilleuse nouvelle, youhou. "Et si jamais tu m'avais VRAIMENT écrasé !" Dis-je en protestant.

"Je savais que je n'allais pas la faire. Tu penses vraiment que j'aurai mis mon petit homme en danger ? Je suis là pour prendre soin de toi, pas te faire mal."

J'étais encore un peu énervé qu'elle m'ait effrayé à ce point, mais j'étais tout de même soulagé d'apprendre qu'elle allait avoir du mal pour m'écraser. Heureusement, la mort accidentelle était écartée maintenant. Je savais donc désormais qu'il allait falloir qu'elle me frappe pour me tuer.

En revanche elle ne retira pas son pied. "Hé Joe chéri, vu que tu es là, est-ce que tu pourrais me rendre un immense service ? Est-ce que tu pourrais me masser les pieds ? Je suis sûre que ça te plairait."

Maintenant que je savais que ses pieds n'étaient pas de gigantesques machines de mort, je finis par penser que ça ne pourrait pas faire de mal que je lui fasse plaisir. Et puis, je n'avais vraiment pas envie de l'énerver dans cette position. Elle ne le savait pas, mais elle venait de me faire tellement peur qu'elle pourrait me demander ce qu'elle voulait, je le ferai très sûrement.

"Bien sûr."

Elle répondit en frottant doucement son pied sur moi, encore et encore. J'étais encore coincé dessous, donc tout ce qu'elle faisait n'était que caresser son pied sur moi. Je pouvais voir qu'elle ne regardait plus la télé, elle profitait simplement du fait qu'elle m'embêtait avec son pied. Je regarda à travers ses orteils géants, et je vis qu'elle portait un énorme sourire, de plus d'un kilomètre de long.

"Diane ! Non, pas comme ça ! NON ! Arrête ! Diane !" Suppliais-je pathétiquement. Elle s'arrêta.

"Mais tu faisais un si bon boulot ! Je pensais que tu aimais mes pieds.." Elle m'embêtait, faisant semblant d'être triste.

"Et c'est le cas ! C'est juste qu-"

"- Tu les aimais dans la douche." Me coupa-t-elle, souriant. Elle m'avait, et elle le savait.

"..."

"C'est bien ce que je pensais. Maintenant, sois un gentil garçon et caresse les pieds de Maman pour de vrai." Elle me libéra de ma prison. J'attrapa rapidement son orteil et essaya de le caresser.

"Maman.. Mmh.. J'aime bien. Tu devrais m'appelais comme ça à partir de maintenant. Une maman. Je n'ai jamais été une maman. Mais je t'ai toi maintenant !" Roucoula-t-elle.

Je me rendis compte que je n'allais pas pouvoir caresser son pied comme un massage ordinaire. Il allait falloir que j'utilise mon corps entier. Je colla donc mon torse contre sa plante de pied, m'enfonçant de plus en plus dans son pied colossal.

"Mmhmm... C'est bon..." Diane se pencha en arrière et ferma ses yeux. "Tu sais Joe, ça c'est quelque chose que tu peux faire. Vu que tu te demandais ce que tu pourrais faire à cette taille. Et je suis sûre qu'il y a des tonnes d'autres choses que tu peux faire... Il va falloir qu'on trouve tout ça plus tard..."

Environ une heure venait de passer, et je changea de pied. Je sauta sur ses gigantesques ongles roses et me mis au boulot. Quelques instants plus tard, Diane décréta que j'avais terminé. Elle se baissa et me prit facilement dans sa main géante.

"On a rien fait de très excitant depuis un petit bout de temps, est-ce que ça te dirait qu'on voit de quoi tu es capable ?"

Je ne savais pas vraiment ce qu'elle voulait dire avec cette phrase, mais j'étais excité de le découvrir.

 

You must login (register) to review.