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Mon orgasme me fatigua énormément, et je me perdis au fond des yeux de ma géante ravisseuse. Elle me regardait amoureusement, heureuse que je sois content. Finalement, je la vis regarder l'heure, puis elle se tourna vers moi. 

"Allez, reposons-nous un peu. On a rien de prévu pour aujourd'hui." 

Ses bras forts s'enroulèrent autour de moi pour m'enfouir sous la couette et me serrer contre ses seins. Ces deux coussins étaient mous et très invitants, et elle m'enfonça contre son corps. La vallée entre ses deux seins acceptait facilement ma tête, et ses mains chaudes devinrent de douces couvertures. Ma fatigue sexuelle et le son de son coeur me bercèrent dans un sommeil profond. Je me laissais simplement aller. 

Nous nous réveillâmes plusieurs heures plus tard, lorsque mon "lit" se mit à bouger sous moi. Je pouvais instantanément dire que j'avais beaucoup rétréci. Mon "lit" se révélait être le corps de Diane, et elle était prête à se lever. 

"Hé Joe... C'est l'heure de prendre une douche mon chéri. Il faut te laver !" Dit-elle joyeusement. 

Elle n'attendit pas ma réponse, mais elle colla simplement mon minuscule corps contre le sien et elle se leva, me portant comme si j'étais un enfant. Et pour elle, je faisais la taille d'un enfant, je ne mesurais sûrement même pas plus de 60cm. Qu'avait-elle fait de moi putin, c'était dingue ! Et jusqu'à quand allais-je continuer de rétrécir ? 

J'avais bien envie de protester, mais ses bruits de pas me rappelèrent instantanément la taille de ma gigantesque ravisseuse. Ses pas vibraient juste au-dessous de moi et je me pencha pour regarder en bas. Ses pieds massifs s'arquaient lorsqu'elle faisait un pas en avant. Ses pieds tout mignons et féminins faisaient désormais la moitié de ma taille. Elle avait peint ses ongles d'orteil d'un magnifique rose métallique qui brillait parfaitement avec la lumière ambiante. Puis son pied s'écrasa sur le sol, me rappelant que cette femme était gigantesque. Je me retourna vers sa poitrine, qui vibrait et oscillait elle aussi sous l'effet de chacun de ses pas. 

Elle m'apporta à la salle de bain, une petite pièce rose pâle avec une douche dans un coin. Bien sûr à ma taille la pièce n'était pas si petite que ça. En vérité elle était assez vaste avec mes 60cm de haut. 

Elle me déposa pour que je me tienne debout tout seul, puis tira la porte pour qu'elle s'ouvre. 

"Allez, vas-y !" Elle me poussa sans peine avec une seule main et me suivit. Elle ferma ensuite la porte, mais pour moi j'avais plus l'impression qu'elle venait de la claquer, le bruit résonnant dans mon corps. 

J'avais besoin d'une douche. Je sentais comme la transpiration de Diane, ce qui ne puait pas vraiment, mais ne sentait pas particulièrement bon non plus. 

Je fixa l'énorme corps de Diane qui prenait tout mon champs de vision. Ses géants pieds s'étendaient loin devant, et ses cuisses tremblèrent lorsqu'elle fit un pas. Mes yeux suivaient le contour de ses formes plus haut, plus haut, plus haut jusqu'à ce que je vis ses seins me faire de l'ombre. C'était comme si Diane ignorait totalement ma présence. Je ne pouvais même pas voir son visage, et mon coeur s'effondra lorsque je m'aperçus que je n'étais pas plus grand que ses genoux. Je frissonna alors que j'imaginais ce qu'un corps féminin si grand pouvait être capable de me faire. Sa simple présence était intimidante. 

Elle alluma la douche, et de l'eau chaude en jaillit instantanément, un torrent qui s'écrasa sur moi. De chaudes gouttelettes glissaient sur ma peau nue, et je me cacha derrière sa jambe massive. Diane rigola alors que je serrais son énorme mollet. 

"C'est l'heure de se laver !" Déclara-t-elle en faisant un pas dans le jet d'eau chaude. Je resta accroché à sa jambe alors que son pas m'amena sous l'eau. 

C'était vraiment très chaud au toucher, et je suis presque sûr que Diane ne réalisait pas à quel point ça l'était pour moi. Pour m'abriter un peu, j'enroula tout mon corps autour de sa cheville et m'assis sur son pied. Puisque ses seins s'étendaient si loin devant elle, ils formaient un genre de petit toit au-dessus de moi qui me protégeait un peu mieux. 

Diane rigola encore. "J'aime te sentir à mes pieds chéri Mmmm..." Elle caressa son vagin un peu avant de prendre le savon dans sa main. 

Je n'étais pas vraiment sûr de savoir quoi en faire. Mais ça ne me dérangeait pas non plus, et je commençais à m'habituer à la chaleur de l'eau. Cependant, je ne voulais toujours pas lâcher sa jambe, je ne voulais prendre le risque de me faire marcher dessus par accident. 

Elle se frotta, et je fus soumis à une vue magnifique. Une sublime femme caressait ses énormes seins avec du savon moussant, faisant glisser ses mains partout sur son corps. Ses mains allaient dans tous les creux de son corps, sous ses aisselles et ses fesses. Je regarda en l'air en direction de ses lèvres humides. C'était le parfait point de vue dont les hommes rêvent lorsqu'une fille porte une jupe. 

"Chéri, est-ce que tu serais assez gentil pour me faire le dos s'il te plaît ?" Annonça-t-elle. Elle se pencha et me souleva avec ses deux mains avant de me déposer sur un petit rebord fait pour poser les bouteilles de shampoing. 

Je devais l'admettre, même avec ma taille réduite, j'avais du mal à tenir sur le petit rebord. Et puis il était trempé, alors j'étais vraiment effrayé de glisser et tomber. 

Diane se retourna et plaqua son corps contre le mur, me bloquant ainsi dans l'angle de la douche. Si jamais je venais à tomber je toucherai d'abord son dos. 

Je posa un pied sur ses fesses, mis du savon et commença à frotter. C'était comme essayer de laver un mur entier. Je frotta pendant plusieurs minutes, et elle apprécia beaucoup. Son dos était si grand, vaste et large. Ses cheveux qui étaient d'habitude si volumineux étaient collés à son corps, et se révélaient être bien plus longs que ce que je pensais. 

Cependant je me rendis compte que c'était agréable. Peut-être que je n'avais aucune raison d'être effrayé. Bien sûr, je n'avais apparemment plus aucune liberté, absolument. Mais bon, d'un autre côté je n'avais plus besoin de travailler. Et j'allais désormais faire des choses super cool de ce style ! 

Ou peut-être allais-je encore rétrécir, tellement que Diane pourrait m'écraser inconsciemment -ou consciemment. Je décida que ce n'était pas le moment d'y penser. 

Je finis de frotter son dos, et elle m'attrapa sous les bras puis me percha sur son sein. Là elle me tint d'un seul bras pendant qu'elle me lavait avec l'autre. Elle me nettoyait doucement et avec facilité, mais tout en faisant attention à ne pas me blesser. Lorsqu'elle eut fini elle me reposa par terre, et je m'agrippa encore une fois à sa jambe alors qu'elle attrapait le shampoing. 

"Est-ce que tu pourrais faire mes pieds aussi mon coeur ?" Elle posa le savon à côté de moi puis se releva pour se laver les cheveux. 

Je pouvais le faire. Alors que je prenais le savon, elle inclina son pied en l'air, pour que je puisse nettoyer dessous. Il y avait quelque chose d'incroyablement érotique avec cette expérience, son pied s'arquait de manière si sexy, ses orteils s'enfonçaient dans le sol, et de l'eau coulait tout le long de son pied. Je nettoya entièrement son gigantesque pied, en faisant bien attention de frotter entre chacun de ses orteils. Je réalisa ensuite que son gros orteil faisait la taille d'un melon, et son ongle était plus gros qu'un deck de cartes. Wow. C'était grand. 

Alors que je lavais son autre pied, je fus assailli par une soudaine envie de faire l'amour à son pied. Le fait qu'il soit désormais lubrifié avec du savon ne m'aidait en rien. Je devais sérieusement me battre contre cette envie -qu'est-ce que Diane allait penser de moi sinon ? Je devais avoir un genre de fétichisme du pied ! Ou alors peut-être que ça ne venait que des pieds de Diane. Oui, c'était sûrement ça. 

Pas très longtemps après je terminais, et je m'assis donc de nouveau sur son pied. Le fait de m'asseoir ne m'aidait pas à me calmer car mon membre se trouvait être en contact avec son pied humide et chaud. 

Je ne savais pas du tout ce qui m'arrivait, mais mes instincts primaires commençaient à surpasser ma capacité de réflexion. Peut-être qu'elle ne s'en rendrait même pas compte ? Juste un petit coup, juste pour sentir ce que ça fait. Je savais qu'il fallait que j'essaie. 

Je posa mes mains sur sa cheville et fit glisser mon sexe le long de son pied, vers ses orteils. Oh ça y est. Mon pénis touchait la peau douce et humide de son pied. 

Je me balança doucement, avec rythme, pour faire glisser mon pénis de haut en bas sur le dessus de son pied. Ce fut instantanément bon, une des meilleures choses que je n'avais jamais vécu de toute ma vie. Mon membre faisait des aller-retours sur son pied, il frottait sur les phalanges de ses orteils et sur ses douces veines. Je me perdis dans l'extase du plaisir, faisant glisser mon sexe de plus en plus sans même y prêter attention. Plus je forçais, et plus je pensais que ça allait me suffire. J'apporta mes boules sur ses orteils, jusqu'à les poser sur l'ongle de son gros orteil. 

Je posa mon visage contre le dessus de son pied, permettant à ma queue de glisser entre ses orteils, et je commença à les baiser. Absolument inconscient, j'enfonçais ma queue dans son pied et je le baisais du mieux que je pouvais. Je sentais ses doux ongles roses contre moi, ses orteils se soulevaient un peu alors qu'elle se balançait d'avant en arrière. Soudainement, ses orteils se dressèrent, acceptant ce que je leur faisais et ils forçaient réciproquement contre moi. Ça me rendit fou, et je passa le point de non-retour sur le coup. J'éjacula immédiatement sur ses orteils, me balançant encore et encore contre son énorme et magnifique pied. Je m'écroula de fatigue, mon membre dur et sensible après toute l'activité qu'il avait eu. C'était merveilleux... 

"Tu vas me nettoyer ça bébé, n'est-ce pas ?" Dit une voix nonchalante haut dans le ciel. Puis une noisette de shampoing tomba juste à côté de moi, avec un petit slap. 

Oh merde. Diane m'avait vu. Bien sûr qu'elle m'avait vu ! Je me sentais si bête. 

"J'y travaille déjà." Murmurai-je avec dégoût. Je n'arrivais pas à croire que j'avais fait quelque chose de si stupide. 

"C'est bon Joe, ne t'en fait pas. Tu vas devenir très habitué aux pieds de ta femme. J'exige que tu le deviennes." Elle rigola de manière féminine. 

C'était une bonne nouvelle je suppose. Peut-être que ce n'était pas un mauvais choix après tout. Je pris du shampoing et commença à frotter les pieds auxquels j'étais exigé de devenir très habitué.

 

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