Les bottes énormes de Lili était comme des guillotines noires dans le ciel. Chaque mouvement de ses pieds gigantesques faisait trembler des anciennes bâtiments, comme si leurs fondations n'étaient que du sable. Ses vêtements, de tête en ciel jusqu'aux talons destructifs, montrait son style "gothique": un océan de mauvre foncé, et des rochers de noir minuit. En quelques étapes ténébreux, le jour est devenu nuit, et la ville silencieux a descendu en chaos et bruit.

"Ey, putains." Le voix de Lili sonnait comme les cloches de Notre-Dame. La géante ne levait même pas sa voix, semblant désintéressé, et sa bouche gênerait des ventes et des éruptions qui bousculait les nuages. "Taisez-vous, idiots. Ça ne vaux pas l'effort d'écraser une ville de merde comme cela." Une seule mouvement de ces yeux, avec de maquillage violet, et cette monstre massive en forme de fille semblait tous leur juger. "J'ai seulement venu pour Angelo."

Immédiatement, les amis d'Angelo lui sortait de la sécurité de son sous-sol, lui offrant comme sacrifice devant les orteils énormes qui envahissait la centre du village.

"Wh-what? Excuse me? What's she saying?" Angelo avait de la difficulté a parler - surtout quand la main de Lili lui a tenu, ses courbes longues comme des draps de fenêtre, un pression insupportable sur sa vente et ses poumons. "This is... I'm gonna..."

"Ta gueule." Lili crachait dans son visage. Chaque mouvement de pieds en bas lui faisait souffler et crier.

Finalement, la goth s'est assis sur une montagne, et enlevait ses bottes. Voyant la terreur dans le petit homme qu'elle apportait, elle grongerait et roulerait ses yeux. "Tabarnac. Tout cela ne t'arrivera pas si tu a fais ton estie de Duolingo. Tu n'as pas lu tous les messages qu'on t'a envoyé? Tu rigoles."

"Duo...?" Angelo répétait en confusion. Son corps était suspendu en haut du botte - d'où une sent épouvantable sortait. Il couvrait son nez, et toussait: "I, I don't know why Duolingo would..."

Le visage désintéressé de Lili lui approchait, sans expression, assez proche qu'il pouvait sentir chaque mot. "Sacrement. Je le mets d'un manière pour que même un tête de nouilles comme toi, tu pourrais comprendre. Tu connais la phrase, *French, or the Trench*?" La manière dont elle l'a prononcé, c'était sans accent forte où énergie.

Angelo est devenu pâle. Capturé par une géante, Il a pleuré en cherchant tout les mots français de son cerveau. "Baguette... Pamplemousse... J-Jaques Cousteau... La bibliothèque... s'il te plais... s'il vous plaît, s'il vous plaît, Lili..." Il suppliait pour sa vie, tout ses efforts sortant pour que les troues noirs en bas ne lui avalait pas.

Les yeux en face de lui ne lui regardait même pas. "Trop tard. Voilà une phrase a apprendre, crétin: Aux revoir, a la prochaine."

Et Lili lui laissa tomber. Il resterait ses derniers souffles d'air pur en folie et larmes. Avec la grandeur des bottes gothiques, pleine de boucliers, il était couvert de la noirceur des minutes avant d'atterrir. Le fond avait des morceaux de chaussettes noires détruites, avec des rivières salles. Il y avait six régions foncées: un pour un talon gigantesque, cinq pour les orteils actifs, chaqun assez grand pour qu'il pourrait nager dedans et assez odieux pour brûler son nez. Ses yeux était des fontaines, et il couvrait son ventre en douleur. Sur son dos, Angelo a vu le visage de son capteur un dernier fois.

Lili jouait avec son portable. "Tu vas ajouter plusieurs nouveaux mots a ta vocabulaire, Angelo. Esclave. Jouet. Fourmis. Servitude. Peur. Enfer." Elle met un doit sur sa bouche. "Mais surtout... tu vas apprendre a apprécier l'odeur de fromage bleu."

Avec ces mots simples, le pied est descendue dans l'endroit dont il appartenait. Les mouvements de la botte tout autour d'Angelo lui secouait de son stupeur. Il a essayé d'échapper, mais il n'y a aucune endroit sain ou sauf des orteils de Lili. Comme cinq lunes dans un ciel sans étoiles, ils remplissant la nouvelle monde d'Angelo et ne lui donnait aucune place. Sur sa vente, il avait l'air d'une ver vert dans une verre qui allait envers nulle part. Son résistance a été écrasé par la pression dans une empreinte, la peu mouche lui couvrant entretiennent.

Puis Lili a marché en avant, lui enfermant dans un prison de mouvement plus intense qu'un bateau dans un orage.

"Liliiii!" Zari avait les mains en l'air, appelant sa amie. "Il y en a des autres mignons petits gars ici qui n'ont pas fait leur Duolingo!"

"Calice..." Lili l'a suivi lentement, sa tête pointé vers le sol. "Notre travail n'est jamais fini..."