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Note: Cette partie commencera en douceur, (quoi que... ) , pas encore de réelles humiliation, mais quelques scènes...très spéciales qui vous attendent néanmoins, surtout vers la fin ;) Bonne lecture !

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Chapitre 1 : Le début du cauchemar

 

Il devait être minuit passée et Jean dormait profondément lorsqu'il fut réveillé par le bruit d'un craquement sourd provenant de dehors...un arbre était probablement tombé à cause du vent, ce n'était sans doute rien de grave... 

Alors qu'il tenta de retrouver le sommeil, un autre craquement,bien plus fort cette fois, résonna de plus belle à quelques mètres à peine du village... cette fois, il se leva de son lit.

Un animal avait peut-être réussi à passer le périmètre défensif ? Des pièges imposants avaient pourtant été installés encore récemment...

Tandis qu'il enfilait ses pantoufles, le jeune homme put apercevoir au travers de sa fenêtre que des dizaines de petites lumières prirent forme dans la nuit. Les habitants, sans doute réveillés par ses bruits suspects et probablement tout aussi inquiets que lui allumaient des lanternes et scruttaient nerveusement les environs pour tenter de déceler l'origine de la possible menace, personne n'osaient sortir... Un silence de mort régnait sur le village.

"Jean ! Ne reste pas à la fenêtre !"

Le jeune homme se retourna d'une traite pris de panique, mais il ne s'agissait là que de Roger, son père, le quarantenaire était lui aussi encore en pijama et semblait pâle comme un linge, une tension insoutenable pesait lourdement sur leurs épaules.

Jean voulu lui répondre, mais fut pris de cours par une série de hurlements strident ! Des cris de paniques provenaient de l'arrière du village et s'amplifiaient à chaque secondes, couvert seulement par le bruit répétés de craquements sourd, c'était peut être dû à la panique, mais il lui semblait même qu'à certains moments, le sol se mettait à trembler... que faire ? Lui comme son père ne bougèrent pas, semblant comme paralysés par la peur...

Soudain, ce fut l'horreur ! Alors qu'il s'apprêtait à quitter la pièce pour prendre des nouvelles de sa mère, le plafond tout entier fut violemment arraché et projeté au loin par une silhouette géante ! Prit par la panique, Jean s'encouru à toutes jambes, il ne lui fallut que quelques secondes pour quitter ce qui restait de sa maison, son père lui, eut moin de chance, bien qu'il ne prit pas la peine de se retourner, le jeune homme entendit clairement son père hurler de terreur, ces cris cependant furent rapidement étouffé puis disparurent...

Dehors, c'était le chaos, tout le monde hurlait et courait dans tout les sens. Pour une raison indéterminé, des "géants" avaient fait irruption dans le village et s'en prenait à la population. Jean n'en savait pas plus et et ne comptait pas perdre une seule seconde pour analyser la situation, une seule chose comptait à présent, fuir vers la forêt, se cacher, survivre... 

Mais ses espoirs s'envolèrent rapidement, tout comme son propre corps qui fut  saisit et emporté sans ménagements dans les airs par ce qui semblait être une main, une main géante !

Tout se passa très vite, il n'eut pas le temps de pouvoir dévisager son ravisseur qu'il fut jeté violement dans  ce qui semblait être un énorme container en bois, cette caisse avait des proportions démesurée comparé à sa petite taille, elle était bien plus imposante que sa propre maison ! Bien qu'il n'y voyait rien à cause de l'obscurité, Jean se rendit rapidement compte qu'il n'était pas seul, des pleurs et des cris de paniques provenaient de l'autre bout du container. N'aillant pas l'âme d'un héros, Jean ne s'en souciait guère, seule comptait la fuite, il fallait sortir de ce trou à rats le plus vite possible ! Mais il n'y avait rien à faire, les murs devaient facilement faire 30 centimètres de haut, les parois étaient lisses et il n'y avait aucun moyen de les escaladées. Ils étaient tous pris au piège.

Occasionnellement, la main géante remplissait le container avec d'avatanges de villageois. Sous le choc et totalement désamparé face à la situation, Jean tomba à genoux et pleura toute les larmes de son corps, il n'y avait plus rien à faire.

Qu'allait-il advenir de lui ? Et ces parents étaient-ils encore en vie ? Se raccrochant à la seule chose qui lui restait, le jeune homme se mit à hurler le nom de son père dans l'espoir de le retrouver, venant rajouter un peu plus de confusion aux cris et pleurs des dizaines de villagoeis pris au piège dans l'énorme caisse.

 

Jean: "PAPA ? ROGERR?!!! Réponds Moi bordel, je t'en supplie !!! Papaaaa ???!!! "

Jean parouru toute la caisse hurlant à  tout va et cherchant désespérement son paternel, son effort s'avéra payant... il le retrouva au bout de quelques minutes à peine, il était là... il gisait au sol inconscient, dans l'indiférence générale...

Le jeune homme tenta de le réveiller en vain...au moins il respirait...pour l'instant.

Totalement impuissant, Jean se contenta d'attendre, il ne pouvait rien faire d'autre que caresser la tête de son père dans l'espoir qu'il ne se réveil. Un problème survint cependant... il y avait maintenant non plus quelques dizaines, mais bien une bonne centaine d'individus dans la caisse, et la place commencait à manquer...les gens étaient entassés les uns sur les autres et son père se retrouvait peu à peu piétiné par la foule en manque d'espace.

Au bout d'une dizaine de minutes, la silhouette géante posa un énorme couvercle sur la caisse, refermant l'intégralité du container. L'air et la lumière déjà peu présente devinrent une denrée rare et la panique reprit le dessus, les gens hurlaient mais manquaient d'espaces pour se débattre. Privé d'air, ils furent bientot forcés de se calmer sous peine d'étouffer, la nuit qu'en à elle avait beau etre fraiche, la chaleur à l'intérieur de la caisse devint vite insoutenable et Jean s'inquiéta de plus en plus pour son père gisant au sol encore inconscient, il avait du se relever faute d'espace et ne pouvait plus l'atteindre...

La situation, déjà catastrophique empira encore lorsque leurs ravisseurs se mirent en marche, la caisse bougeait dans tous les sens, projetant les captifs les uns sur les autres, les plus malchanceux disparaissaient sous la foule en hurlant avant de réaparaitre quelques minutes plus tards totalement inertes... 

Après une période qui parut durer une éternité, la caisse se stabilisa enfin, elle avait été reposée sur le sol, et les captifs purent enfin profiter de quelques minutes de répis. Ils n'émirent cependant aucun bruits, à bout de souffle, à bouts d'énergies, leurs vies ne tenaient plus qu'à un fil, et Jean savait au fond de lui que tout comme son père, beaucoup n'avaient probablement pas survécu au voyage. Le jeune homme aurait probablement versé une larme si il n'avait pas été aussi épuisé et terrorisé.

Une  lumière providencielle revint soudain lorsque le couvercle fut finalement retiré du container et , d'un geste synchronisé, la caisse fut violement basculée de 45° sur le coté. Emporté par une marée humaine, Jean fut entrainé bien  malgré lui hors de la caisse sur un sol tout fait de pierre. Il s'extraya difficilement du tas de corps suffoquant et profita de ce moment de liberté pour pouvoir enfin respirer à plein poumons. Tout en reprenant son souffle, il tenta de garder son calme et d'analyser scrupuleusement la pièce dans laquelle il se trouvait.

C'était une chambre immense et luxueuse, la chambre d'un géant, Un lit gigantesque tout fait de soie tronait au milieux de la pièce. Des petites batisses et des échafaudages avaient spécialement été conçus pour des catégories B et dispoé tout autour du lit ainsi qu'un peu plus loin sur ce qui semblait être un trône.

Il n'y avait cependant nul traces de leurs habitants...

Qu'en aux ravisseurs, il s'agissait de deux hommes d'armes en cottes de mailles, tout deux étaient en train de fouiller dans le tas de corps, semblant retirer les gens qui n'avaient pas pu survivre au voyage pour les remettres dans une autre caisse.

Voyant son père saisit par l'une des deux brutes, Jean ne put s'empecher de courir vers lui en hurlant, mais n'eut pour toute réponse qu'un léger de coup de pied qui le propulsa violement en arrière...

D'autres caisses étaient également présentes et ouvertes sur le sol laissant apparaitre des victimes kidnapés d'autres villages, il devait être environs 200 surivants qui se  regroupèrent instinctivement terrorisé en une masse compacte. Ne sachant que faire... Jean se remit difficilement debout et les rejoignis.

Soudain, une immense porte s'ouvrit laissant appaitre un individu des plus gracieux. C'était apparament un adolescant, bien que de petite taille par rapport aux deux gardes, (il ne faisait qu'un 1m65) il semblait leur inspirer beaucoup de craintes. Les deux soldats cèsserent aussitôt leurs basses besognes pour se prosterner à ses pieds.

Soldat : Bonjour, excellence ....nous vous avons rapportés quelques centaines de catégories B, selon votre désir...

La voix de l'homme semblait hésitante, craintive....
Le jeune adolescant lui ne dit rien, se contentant de congédier ses hommes d'un geste méprisant de la main.

Serait-il possible que....s'agissait t'il donc de l'Empereur ? L'empereur Renaud en personne ? Bien que très petit par rapport à ses soldats, il dominait de toute sa hauteur les petits êtres regroupés prêt de lui, Jean devait probablement lui arriver un peu plus haut qu'à la cheville, et encore...

Jean n'arrivait pas à s'expliquer la raison de son kidnaping et le sort qui fut réservé à ses parents...l'Empereur avait toujours protéger les petits et les faibles pourtant...

 

Bien qu'aillant 14 ans, Renaud paraissait plus jeune, il avait des cheveux blond foncé et ces yeux étaient d'un vert resplendissant, sa peau était légèrement bronzé et son sourrire carnassier fit apparaitre une dentition quasi parfaite, d'un blanc éclatant.

Il s'était légèrement penché en avant, dévisageant ses captifs avec un sourrire étrange...

Rompant le silence, une femme d'une vingtaine d'année aux cheveux long et bouclés se précipita vers lui et s'agenouilla en l'implorant..

Dame: "Je vous en supplie ex...excellence ! Nous avons été kidnapé contre votre gré, ces brutes on tué des dizaines de nos frères, de no...

 

La malheureuse n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle fut saisie par l'adolescant, son énorme main l'avait attrapée avec une vivacitée extra-ordinaire, quasi surhmaine. La pauvre ne pouvait plus bougée, son corps tout entier était enfermée dans cet étau de chair, seul sa tête dépassait encore au niveau de son énorme pouce. Et bien qu'elle voulu crier de terreur, elle en fut incapable, la pression qu'il exercait sur son corps était abominable, elle souffrait le martyr mais ne pouvait l'exprimer, c'est à peine si elle pouvait respirer...

Renaud  semblait savoir exactement quand s'arrêter pour ne pas la blessée trop gravement. Et tandis qu'elle suffoquait dans sa mains gauche, il se releva pour dominer son assemblée de toute sa hauteur, puis leurs dit d'une voix menacante.

Renaud:  " Bande de cloportes, vous n'êtes rien, même pas des insectes. Vous allez avoir le privilège de servir votre Dieu pour le restant de votre vie, la durée et les conditions de celle ci ne dépendra que de votre soumission."

Sans même preter attention à sa victime qu'il tenait toujours fermement dans la main, il tendis son bras, et là lacha simplement en souriant. La pauvre fit une chute quasi mortelle, une série de craquements sourds résonnèrent lorsqu'elle heurta finalement le sol. Il ne faisait nul doute qu'elle avait les jambes cassées, elle pleurait de toute ces forces et appellait à l'aide, mais personne n'osa lever le petit doigt, tout étaient tetanisés...

Non content d'en avoir finit avec son jouet, l'Empereur la saisit  à nouveaux, par les cheveux cete fois, il tenait sa chevelure fermement entre son pouce et son index. Et, à l'aide de rotation de son poignet, la fit tournoyée autour de sa main presque aussi vite que l'élice d'un ventilateur ! 

Jean était terrorisé, il n'osait même plus regarder la scène, son cuir chevelu n'allait probablement pas tenir bien longtemps...la pauvre tentait d'hurler mais ses cris étaient étouffé par la vitesse de rotation....

Ne s'en souciant pas le moindre du monde, l'adolescant Tyrannique continua son discours.

Renaud: "Vous ne me répondrez que si je vous donne la parole, et vous m'appellerez Maître dès à présent. Ceux qui s'acquitteront de leurs tâches pourront espérer survivre....quelque temps, qu'en aux autres..."

Comme pour appuyer sa phrase, il lacha finalement la pauvre femme qui, prit par l'élan de rotation, alla s'écraser violement sur le murs le plus proche, le bruit fut horrible. Elle, ou du moins ce qu'il en restait, sembla adhérée un moment au mur avant de retomber violement sur le sol.

L'empereur semblait avoir savouré ce moment, celà n'augurait vraiment rien de bon... ignorant ses victimes, il se déchaussa puis parti s'installer sur un Trône taillé sur mesure pour sa personne à quelques mètres de la foule.

Il avait beau être éloignée, l'odeur épouvantable qui émanaient de ses chaussures, et pire encore, de ses chaussettes humides de transpiration recouvrait toute la pièce, certain se bouchaient le nez en cachette, d'autres, trop craintif pour le faire, en devinrent pâle et nauséeux, Jean fit parti de ceux là...

Une espèce de petit escalier en colimaçon grimpait des pieds du siège jusqu'à un accoudoir où reposait le bras droit du jeune Tyran. Il était convenu que tous devraient l'emprunter et lui rendre hommage en baisant sa main...

 

La suite au prochain chapitre. ;)

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