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Author's Chapter Notes:

Désolé pour l'attente entre les chapitres, j'ai terminé la traduction de cette histoire depuis un bon bout de temps, mais j'oublie de poster régulièrement..

 

Diane marcha jusqu'à sa voiture une fois qu'elle eut terminé son travail. Elle ouvrit sa porte, s'assit, démarra la voiture et me sortit de son soutient-gorge. Elle me déposa entre ses jambes, près de son sexe, comme pour dire 'tu es toujours à moi'. Elle caressa sensuellement son entrejambe avant de sortir du parking, et je câlinai un de ses énormes doigts.

Je lui demandai comment s'était passée sa journée, essayant de faire un peu de conversation. Elle se lâcha donc un peu. Le fait de retenir ce qu'on avait sur le coeur ou dans la tête était par nature assez stressant, vu que les gens pouvaient parfois être parfois assez problématiques. Je le laissai donc se décharger alors que nous rentrions à la maison, écoutant avec attention. Étrangement, je commençais à avoir l'impression que je l'aidais à tenir le coup, ce qui était assez ironique étant donné qu'elle avait bien spécifié qu'elle serait celle en charge dans notre relation. Cependant, une fois qu'elle eut terminé elle me sourit et me remercia. Je me sentais bien, comme si je contribuais à notre relation. Dans un certain sens, j'aimais vraiment Diane. J'étais inquiet pour son bien-être. Elle me faisait sentir utile, désiré et aimé.

Alors qu'elle conduisait, je réfléchis un peu à cela. Au fond, je savais que je n'étais pas encore prêt à accepter pleinement ce style de vie. J'avais encore l'impression qu'il me fallait m'enfuir dès que je le pouvais. Évidemment, une partie de moi avait envie de redevenir normal, refaire à nouveau une taille ordinaire. Je voulais pouvoir conduire ma voiture, manger de la vraie nourriture, voir ma famille et avoir du vrai sexe. Ne vous méprenez pas, je voyais des tonnes d'avantage avec ce nouveau style de vie, mais je n'étais pas encore prêt à oublier mon ancienne vie.

D'un autre côté, Diane avait fait plein de choses pour me montrer qu'elle serait gentille avec moi, et elle comptait beaucoup pour moi. Cependant, elle m'avait tout de même rétréci, ce qui était basiquement un geste de domination et de contrôle qui ne me laissait pas beaucoup le choix. Je me sentais aimé, mais je n'avais pas le sentiment qu'elle me faisait confiance. C'était comme si elle avait besoin de me rétrécir pour me garder avec elle, ce qui, je devais l'admettre, était probablement vrai. Finalement, je conclus que c'était ce manque de confiance qui me dérangeait. Ce n'était pas vraiment le fait de m'avoir rétréci. Si Diane voulait que notre histoire fonctionne, alors il allait falloir qu'elle me croit. J'en avais besoin; autrement je savais que je risquais de m'enfuir.

Nous arrivâmes dans son garage et elle me mit vite dans son soutient-gorge avant de rentrer dans sa maison. Elle ferma la porte et je l'entendis la verrouiller rapidement. Elle commença à chantonner, sa douce voix féminine vibrant dans mes oreilles à travers son torse. Ses seins rebondissaient un peu alors qu'elle trottinait jusqu'à l'étage. Je l'entendis entrer dans sa chambre et claquer la porte derrière elle, puis elle marcha jusqu'à son lit et s'assit dessus.

Elle retira ses vêtements, ouvrit son soutient-gorge et me fixa, l'air affamée. Diane avait un de ces regards, "l'oeil du tigre", si vous voulez. Elle voulait du sexe, et de la pire manière qu'il soit. Sa massive main m'attrapa, m'enfermant entre ses doigts alors qu'elle me déposait au milieu du lit.

Ma femme se leva et se retourna, me regardant désormais dans les yeux alors qu'elle se déshabillait séductivement. Je sentis ma partie privée se dresser, j'étais excité, et pourtant encore un peu effrayé.

J'étais couché sur le dos, l'observant descendre sa culotte jusqu'au niveau de ses chevilles. L'odeur émanant de son sexe était immanquable -elle mouillait comme jamais. Une fois qu'elle eut terminé elle posa, entièrement nue, les mains sur les hanches et les seins pointant fièrement.

"Chéri, si tu savais ce que je vais te faire..." elle sourit, tout en me fixant et en rampant jusqu'à moi. Ses mains et ses genoux gagnaient du terrain, donnant de drôles de pentes au lit, jusqu'à ce qu'elle arrive au-dessus de moi. Elle s'arrêta encore une fois, savourant la position dans laquelle elle m'avait mis. Je ne pouvais rien faire pour lui résister.

Je levai le regard en direction de cette immense machine de destruction féminine. Sa soif de sexe était intimidante, et je m'écrasai devant elle.

Un pouce immense appuya sur mon torse alors qu'elle me pinçait entre ses doigts, puis elle posa un oreiller juste en-dessous de moi, avant de me reposer dessus.

"Diane !" Hurlai-je. "Qu'est-ce que tu veux me faire ?"

"Ta gueule bébé." Diane se pencha au-dessus de moi, et son immense chatte apparut dans mon champs de vision. "Maman va se faire plaisir maintenant."

Le monstre poilu qui s'était dressé me fonça dessus, claquant contre mon corps et m'enfonçant dans la main de Diane. Je paniquai, attrapant des poils pubiens blonds et essayant de crier du bout de mes poumons. Ses fortes lèvres se battaient contre moi, me soumettant avec brutalité. Son clitoris gonflé se découvrit, envahissant mon champs de vision. Du poids me tomba dessus, encore et encore et le monstrueux clito me frappait avec force. Je me débattis et essayai de gigoter, lorsque j'entendis un énorme râle suivi d'un long gémissement.

Ce n'était pas sensé arrivé ! J'allais mourir, c'était sûr et certain. D'aussi loin que j'étais concerné, Diane était partie. Je ne pouvais plus la voir du tout. Ce que je pouvais voir était un monstre oppressant, un monstre féminin, poilu et brutal qui ne voulait rien de plus que dévorer mon pauvre corps. Il enroulait ses lèvres autour de moi d'un air affamé, appréciant avec succulence mon insignifiance, jouant avec moi. Je me mis à paniquer encore plus, cherchant de l'air à tout prix et je me débattis du mieux que je pus. Je devais m'échapper ! La chatte en profita encore plus, mouillant et tremblant, frappant mon visage avec son clitoris qui faisait office de poing. Un poids immense s'en allait et revenait avec insistance, alternant des périodes de pression très élevée.

Je n'allais nul part. Mon combat, ou plutôt tentative de fuite, n'avait pas fonctionné. Je frappai avec puissance le clitoris, des fluides giclant de partout sur moi. J'étais trempé. Le monstre vaginal répondit à mon attaque en m'écrasant de plus en plus. De larges lèvres m'immobilisèrent alors qu'un poids incommensurable était placé sur moi, et que des fluides giclaient dans tous les sens. J'entendis de brusques exclamations et gémissements féminins. Je toussai, attrapant les poils autour de moi dans un espoir d'échapper à la noyade. Les poils étaient humides de mouille, et ils glissaient douloureusement à travers mes doigts. Je finis par réaliser que ma situation était désespérée et j'abandonnai, complètement détruit.

 

Chapter End Notes:

J'espère que ça vous a plu !

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