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Après m'avoir nettoyé, Diane me prit et m'apporta dans sa chambre, avant de me plaquer contre son sein pour la nuit. Elle m'expliqua que si je passais du temps à stimuler ses tétons alors cela pourrait induire une production de lait. Cependant, si jamais ça ne fonctionnait pas elle me dit qu'une de ses amies avait un traitement qui pourrait l'aider.

"Mais on est pas obligés de faire ça Diane, je peux simplement manger de la nourriture normale."

Elle fronça les sourcils. "Je n'ai jamais eu d'enfants chéri, et je veux ressentir ce que ça fait. Alors tu vas le faire, et tu vas apprécier." Elle appuya mon visage contre son téton.

Cette nuit je dormis sur son sein, couvert de sa chaude main. Elle était tellement gigantesque comparé à moi. Mon corps de 5cm n'était même pas comparable à un seul de ses doigts qui me dominait. Je me sentais en sécurité sur son sein, et je ne mis pas longtemps à m'endormir.

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Je me réveilla au bruit de l'alarme de Diane, lui disant qu'elle devait se préparer pour sa journée de travail. Elle roula sur le côté, me plaquant toujours contre sa poitrine, et l'arrêta. Je pense qu'elle croyait que je dormais encore, parce qu'elle me mit directement son soutient-gorge par-dessus. Capturé contre son téton, elle attaqua sa journée. Je profitai de mon environnement chaud et doux pour me rendormir, sans me soucier de quoi que ce soit.

Diane se déplaçait, elle mettait des vêtements, faisait son petit déj, entrait dans sa voiture. J'étais à moitié conscient la plupart du temps -ses mouvements les plus rapides me réveillaient parfois. Lorsqu'elle démarra le moteur je fis l'effort de poser mes lèvres autour de son téton, ce qui le fit légèrement grandir. Je m'amusais avec, le massant et le stimulant jusqu'à ce qu'il devienne dur.

Je sentis une légère caresse sur mon dos, alors qu'elle tapotait son sein. "C'est bien mon bébé, comme ça. Continue à faire ça toute la journée, et bientôt Maman pourra te nourrir." L'entendis-je murmurer de plus haut.

Je me demandais bien ce que ça allait donner alors que je me remis au travail. Ma femme se rendit vite à son boulot. La gentille oscillation de ses seins me donnait du mal à rester à éveillé. C'était presque comme sur un bateau. Diane fit sa vie, aidant les clients et les caissiers. J'entendais sa voix à travers sa poitrine, et je stimulais périodiquement ses tétons. Plusieurs heures passèrent ainsi -je m'endormais pendant quelques instants, je me réveillais soudainement lorsqu'elle faisait un mouvement brusque ou qu'elle parlait fort, puis je caressais et suçais son téton pour m'assurer qu'il reste stimulé. J'avais la sensation d'être vraiment très obéissant, et j'espérais que ma Déesse allait se montrer reconnaissante.

Au milieu de la journée Diane se rendit aux toilettes, et ferma la porte derrière elle. Je pouvais la sentir déboutonner son t-shirt de travail à travers le doux mouvement des son soutient-gorge, puis elle s'assit sur les toilettes. Elle me tapota doucement pour être sûre que j'étais réveillé et descendit enfin son soutient-gorge, me regardant amoureusement de là-haut alors que je restais couché dans la coupe de son sous-vêtement.

"Salut beau gosse. Est-ce que tu veux être gentil et passer à l'autre ?" Murmura-t-elle alors qu'elle me pinçait gentiment les fesses. "Tu es juste tellement mignon !" Roucoula-t-elle.

J'hochai la tête alors que des doigts gros comme des troncs d'arbre m'attrapèrent. Elle me déplaça jusqu'à me tenir dans la paume de sa main gauche, lécha l'index de sa main droite et vint le poser sur mon sexe. Elle commença rapidement à me caresser, son gigantesque doigt plaquant mon membre chaud contre mon estomac. Je la laissais simplement faire ce qu'elle avait envie.

Je mis mes mains sur son ongle rose et m'y accrochai alors qu'elle m'offrait une masturbation juste avec son doigt. Lorsque ce fut terminé elle m'essuya avec un peu de papier toilette et me sourit d'adoration. On aurait dit qu'elle avait du mal à retenir ses émotions. Elle m'apporta à ses lèvres et me fit un doux baiser, sa bouche recouvrant tout mon torse. J'attrapai son nez avec mes deux mains alors que ses lèvres appuyaient contre mon corps, me baisant avec affection avant de me déposer à nouveau dans son soutient-gorge et de m'apporter à son sein. Je me sentais plutôt bien, mais vraiment fatigué.

Elle reboutonna son t-shirt et quitta vite les toilettes. Je travaillai avec acharnement sur son téton, et il se dressa fièrement. Je la sentis encore taper sur son sein pour approuver, et je passai une bonne heure à juste lécher, masser et toucher son auréole rugueuse et son téton avant de me rendormir à nouveau.

Je me réveillai lorsque je sentis les seins de Diane se balancer de haut en bas comme si elle courait. Je me demandais ce qui se passait, lorsque je l'entendis expliquer à un client qu'il avait oublié un sac à une caisse. Elle doit être sur le parking, me dis-je.

Je cherchai son téton, mais sans succès. La course de Diane m'avait désorienté, et je sentis Diane remonter son soutient-gorge en tirant sur la bretelle, pour réajuster son lourd convoi. Cela ne m'arrangeait en rien, et avant que je m'en rende compte j'avais glissé sous son sein, et le lourd membre reposait désormais sur moi, me coinçant alors qu'elle rentrait dans le magasin.

Je ne pouvais plus bouger, et j'entendis Diane pénétrer à l'intérieur. Elle alla jusqu'au bureau des employés, chaque pas causant un rebond de sa poitrine. Chaud et lourd, son sein appuyait contre mon minuscule corps, m'écrasant sous son poids. Diane m'avait sûrement oublié, parce qu'elle n'avait pas l'air de savoir ce qui se passait ! Je me débattais en vain contre sa poitrine monstrueuse, mais je ne fus pas capable de me libérer.

J'entendis Diane s'excuser pour être sortie, puis elle recommença à aider les employés pour les retours de caisse. Même si ce n'était pas si dérangeant que ça, je me demandais quand est-ce qu'elle allait bien s'en rendre compte.

Puis, la pire des choses arriva. Diane s'assit sur une chaise et se pencha vers le bureau. Alors qu'elle assistait des gens, elle se penchait régulièrement en avant et le dessous de ses seins frottait ou se posait légèrement sur la table. Ainsi, je fus de temps en temps victime du poids entier de sa poitrine sur moi. La chair adorable de son sein m'enveloppait, entourant tout mon corps alors qu'un poids incroyable reposait sur moi. Ma femme commença à avoir de plus en plus chaud, son travail difficile la faisant ainsi commencer à transpirer. Sa transpiration collait à mon corps, et mixée au parfum qu'elle portait, cela créait une puissante odeur féminine. Cet arôme combiné au poids intense de sa poitrine surpassait mon corps insignifiant, une pure démonstration de domination féminine. Même si c'était presque douloureux, j'appréciais vraiment chaque seconde. Sentir le poids de ma femme gigantesque sur moi, c'était une façon de montrer à quel point elle était puissante et cet instant était intoxicant pour moi. J'en voulais plus, je voulais la sentir entièrement sur moi. Mon cerveau se souvint alors de lorsqu'elle s'était tenue debout sur moi la veille, et mon membre se dressa instantanément, une bien drôle de réponse. J'étais vraiment un garçon étrange.

Je me repris un instant. Je devenais sûrement fou ! En ce moment Diane m'écrasait inconsciemment sous son sein et j'adorais ça. Je désirais même plus -son énorme sein ne me suffisait pas. Je me demandais si Diane allait bien vouloir se tenir à nouveau debout sur moi. Le fait est que je trouvais ça à la fois excitant et terrifiant. Je pense que j'en découvrais plus sur moi.

Je restai couché sans bouger pendant plus d'une heure, comprimé par sa poitrine. Puis la nuit commençait à tomber et le magasin devint bien plus silencieux. Je me sentis soulagé lorsque Diane se dirigea à nouveau vers les toilettes.

Elle referma la porte derrière elle et se déboutonna avec précipitation, enleva son soutient-gorge pour m'exposer à l'air frais, me libérant de cette prison de chair. Après avoir été si longtemps dans le chaleur de sa poitrine, l'air ambiant me paraissait froid.

"Pardon mon chéri !" S'excusa-t-elle alors qu'elle soulevait mon corps nu. "Je ne pouvais pas venir te chercher, y'avait trop de monde !"

En utilisant ses doigts elle me mit contre l'autre sein et manipula mon corps de sorte à ce que je sois face à son téton avant de refermer son sous-vêtement sur moi et de me capturer dans l'obscurité une fois de plus. Je caressai lentement son téton jusqu'à ce qu'il se dresse encore une fois puis je me rendormis. Le fait est que d'avoir de lourds seins reposer sur soi pendant plus d'une heure est vraiment exténuant.

 

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