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Diane me réveilla à travers son soutient-gorge. "Hé, debout là-dedans." Je m’étirai.

"Bien, il commence à être tard, ça fait longtemps que tu dors."

Je pinçai son téton en réponse. Honnêtement j'avais assez envie de retourner dormir.

"Est-ce que tu as faim ?" Me demanda-t-elle gentiment.

J'avais effectivement faim. "Oui."

"Je t'ai fait un petit quelque chose. Tu veux venir voir ?" Elle n'attendit pas ma réponse, et déclipsa son soutient-gorge. Je fut assailli par la lumière alors que son sous-vêtement tomba sur la table. Il y avait de la lumière de partout. C'était éblouissant !

Toujours assis dans son soutient-gorge, je clignai des yeux afin qu'ils s'ajustent à la lumière. Je remarquai que Diane avait un grand bol de soupe avec quelques croûtons, et qu'elle était en train de manger. Elle souffla sur sa cuillère de soupe et en prit une gorgée. Le bol faisait la taille d'une piscine pour moi.

Ma bouche s'ouvrit lorsque je vis la poitrine nue de Diane, qui prenait tout mon champ de vision. Elle poussa un énorme croûton vers moi. "Vas-y, mange quelque chose."

J'attrapa ce qui m'était tendu, le morceau de pain faisait environ ma taille. J'y mordis dedans et réussis à le mâcher, mais les miettes étaient assez dures à avaler. Diane vit mon inquiétude, puis versa un peu de lait dans une petite cuillère avant de la poser à côté de moi.

"Tiens, goûte ça chéri."

Je réussis à laper un peu de lait depuis la cuillère. J'avais l'impression d'être un petit chat, mais cela me calait vraiment. Je n'avais pas eu besoin de grand chose. En même temps, Diane terminait sa soupe.

Juste après, elle me demanda si je n'avais plus faim. Je lui répondis que c'était bon, et elle souria doucement.

"Bien, tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant, n'est-ce pas ?"

Je secouai la tête pour dire non.

"Il est temps de te donner un nouveau boulot."

Elle attrapa mon minuscule corps et me porta jusque dans le salon. Elle prit ensuite la télécommande et installa des oreillers sur le canapé. Elle me déposa entre ses seins alors qu'elle retirait sa jupe et sa culotte, se déshabillant entièrement. Je devins instantanément curieux, quel travail allait-elle vouloir me donner ?

"Tu vois, il faut que j'aille travailler demain pour ramener de l'agent pour nous deux. Tu n'as plus besoin de t'inquiéter à propos du travail désormais. Ce pour quoi il faut que tu t'inquiètes par contre, c'est mon stress. Tu ne voudrais pas que je devienne toute stressée et que je sois incapable de travailler, hein ?"

Je secouai encore ma tête pour dire non, mais je ne comprenais pas où elle voulait en venir. "Qu'est-ce que je dois faire ?"

"Tu sais quel est le meilleur anti-stress, n'est-ce pas bébé ?" Elle s'assit et se percha sur les oreillers.

Elle voulait qu'on ait du sexe ? A cette taille ? Elle était folle, c'était impossible ! "On ne peut pas avoir de sexe Diane, tu me tuerais à cette taille !" Dis-je comme si de rien n'était, comme si ça allait l'arrêter.

Elle me sourit en réponse alors que je m'asseyais sur ses seins. "Hihi tu es bête, on ne va pas avoir de sexe. Enfin, pas encore... Tu vas me servir !"

Oh. Elle voulait que je descende plus bas, c'est ça ? Je voulais bien essayer, enfin je pense.

Son énorme main s'enroula autour de moi, et avant que je m'en rende compte j'étais déjà entre ses deux jambes écartées. Sa gigantesque caverne se présentait béante devant moi. C'était terriblement intimidant.

"Ça fait peur..." Dis-je. J'avais envie de courir.

Ses doigts géants me guidèrent en avant. "Ça va aller chéri, je ne vais pas te faire de mal. Commence simplement par me caresser. Je vais t'expliquer comment faire."

Je ne voyais plus que son vaste sexe. Je regardai à gauche, à droite et en haut, mais je ne voyais plus qu'un mur de peau, de poils et deux lèvres. La main de Diane arriva dans mon champ de vision puis écarta ses lèvres pour masser sa chatte. Son autre main me guidait plus proche, plus proche, jusqu'à presque m'appuyer contre elle.

Elle leva l'index qui écartait ses lèvres, et je fus jeté contre l'une d'entre elles. L'odeur était écrasante, assommante même. Ses vapeurs m'étourdissaient un peu, et la chaleur qui s'émanait de là était intense. Je sentis son doigt toucher mon dos puis commencer à me presser dans sa peau et ses poils pubiens. J'attrapai un poignée de poils et m'accrochai alors qu'elle se caressait, soulevant mon corps dans ses mouvements.

Je ne m'étais jamais senti aussi insignifiant de toute ma vie. À côté de cette femme immense, je n'étais rien d'autre qu'un insecte. En comparaison, elle était une Déesse, un corps paradisiaque qui pouvait prendre facilement ma vie et sans aucun effort. Elle était tellement au-dessus de moi que c'était presque comme si elle était inconsciente de ma présence. Comment faisait-elle pour se masturber, juste maintenant, en ignorant complètement ma minuscule existence ? Une simple erreur, le moindre faux mouvement et cette gigantesque chatte pourrait m'avaler entièrement. Et je disparaîtrais à jamais. Diane, la Déesse, me consumerait dans sa passion désastreuse sans même y penser à deux fois.

Je pouvais dire qu'elle en profitait de plus en plus. Je suis sûr que le plaisir de me dominer était agréable pour elle, parce que je ne faisais vraiment rien pour la stimuler physiquement.

Je réalisai que je devais changer ça, ou elle pourrait être déçue de ce que j'étais en train de faire. J'attrapai fermement sa lèvre et massai le bord de sa chatte avec vigueur et à l'aide de tout mon corps. Elle était satisfaite, et me déplaça vite de l'autre côté. La chair rose de sa lèvre vaginale devint vite gonflée de sang, et s'étendit devant moi. Les plis de sa peau commençaient à me faire peur alors qu'ils se mettaient à chauffer. C'était comme une grotte désormais.

J’eus une pensée terrible. Si je ne faisais pas du bon boulot, elle pourrait bien vouloir me balancer là-dedans. D'un autre côté, si je parvenais à l'exciter vraiment beaucoup elle pourrait aussi avoir envie de se branler avec mon corps. Je fis une crise de panique, et ne sus quoi faire.

"Lèche mon clito." Gronda une voix de là-haut. "Et fais quelque chose de bien." M'ordonna-t-elle alors qu'elle plaçait ma tête juste devant son clitoris.

Je fis de mon mieux pour lécher la peau toute lisse. Après une ou deux minutes, elle appuya mon corps contre sa chatte trempée en gémissant. La peau commençait à m’engloutir. C'en était trop; je me glaça sur place. Je ne savais pas quoi faire. J'avais l'impression que j'allais me mettre à pleurer.

Diane remarqua que j'avais arrêté, alors elle s'arrêta elle aussi puis me retira doucement avant de me poser sur son estomac, inquiète.

Je faisais un genre de mini dépression. Après qu'elle m'ait déposé, je me roulai en boule et commençai à pleurer. D'aussi loin que j'étais concerné, je venais tout juste d'échapper à la mort.

"Mon coeur, qu'est-ce qui ne va pas ? Tu te débrouillais si bien."

Je me retournai. Je ne voulais pas admettre que j'étais effrayé.

"Dis-moi ce qui t'embête. Je t'écouterai. Parle-moi s'il te plaît, pauvre bébé..."

"J'ai peur, d'accord ??" M'écriais-je. "Tu me fais peur ! Tu es si grande, et moi si petit. Pourquoi tu m'as autant rétréci ??!"

Elle était choquée, comme si elle n'avait jamais pensé que ça puisse être le cas. "Tu n'as besoin d'avoir peur de moi. Je t'aime. Tu es le premier homme qui m'a montré qu'il était capable de m'aimer en retour. Pourquoi voudrais-je te faire quoi que ce soit ? Tu es gentil et doux, et tu es mon petit homme."

Elle glissa son énorme doigt sous mon menton. "Sèche ces petites larmes. Si tu n'as plus envie de le faire, alors c'est bon. On n'est pas obligés de le faire."

Je restai assis là, et fis de mon mieux pour reprendre mes esprits. Diane me regardait à travers ses seins, m'observant avec inquiétude. On aurait dit qu'elle allait elle-aussi se mettre à pleurer.

Finalement, je m'assis et sécha mes larmes. Je réfléchis beaucoup à ce qu'elle venait de dire. Elle semblait vraiment beaucoup aimer prendre soin de moi, elle n'avait aucune de raison de vouloir me faire de mal. Et puis, elle avait dit qu'elle m'aimait, et elle avait vraiment l'air de le penser. J'y réfléchis encore quelques instants. Diane m'aimait profondément, comme une amoureuse et une mère. Honnêtement, j'avais le sentiment de l'aimer de plus en plus, même si avec cette taille elle me faisait encore un peu peur. Peut-être allais-je finir par m'habituer.

"Tu dois me promettre que tu ne vas pas me faire mal," Lui dis-je, "et tu dois t'arrêter dès que je te le demande."

Diane me sourit depuis là-haut. "On n'a pas besoin de faire quoi que ce soit de plus ce soir, si tu n'en as pas envie."

"Non. J'en ai envie Diane. Je veux te rendre heureuse, mais je ne veux pas rentrer à l'intérieur. Ça me fait beaucoup trop peur." Je finis par l'admettre. "Est-ce que c'est possible ?"

"Oui, seulement si tu en as envie. Je serai gentille avec toi, je te le promets."

Elle déplaça sa main pour me reprendre, fit une pause, puis enroula doucement ses doigts autour de moi. Elle m'apporta de nouveau en bas et son visage disparut de mon champs de vision. Il fut remplacé par son énorme sexe, un monstrueux rempart de chair féminine. Elle me percha près de son clitoris, en faisant attention d'être la plus douce possible.

Je devais le conquérir. Au fond de moi, j'avais vraiment envie de faire plaisir à Diane. La partie logique de mon cerveau me disait que tout ça n'était que de la folie, mais je voulais vraiment que ça fonctionne. Je ne savais pas si je pouvais donner une raison et expliquer pourquoi.

Je commençai à travailler, léchant son clito du mieux que j'en étais capable. Elle se tortilla et me plaqua contre elle avec excitation. Lorsqu'elle sentit que je commençais de nouveau à bloquer, elle me parla doucement.

"Ça va... C'est bon, mmm..."

"J'aime ça... Oui... Tu vois ? ... Tout va bien..."

Je câlinai sa lèvre engorgée pour être plus stable, puis augmentai encore l'intensité. Les doigts de Diane massaient les parois de son vagin. Elle commença à gémir d’extase, et ses hanches se mirent à bouger, essayant désespérément de baiser quelque chose.

Soudainement, j'entendis un bruit humide juste sous moi, alors que les doigts de Diane pénétraient ses lèvres. Si elle se mettait à se branler, je pourrais tomber dans son trou vaginal, je commença de nouveau à avoir peur.

"Bébé, tout va bien ! Ah... AH... J'aime ton petit corps, juste là où il est. Mmhm... Maman ne va pas te faire de mal... Alors profite en autant qu'elle." Elle n'avait plus d'air et était essoufflée par tout ses efforts, approchant très clairement de l'orgasme.

Ses pénétrations devenaient bien plus profondes alors qu'elle se faisait plaisir avec ses doigts. J'attrapai son clitoris et le serrai, lui offrant de nombreux et puissants orgasmes.

Finalement elle se fatigua et arrêta. Je ne savais pas combien de fois elle était venue, mais je savais qu'elle avait dépassé la dizaine. Une fois qu'elle eut terminé elle me prit dans sa main et m'apporta sur son sein, afin que je sois près de son visage.

Son immense tête était toute rouge, et je pouvais voir une fine couche de transpiration. Ses seins montaient et descendaient alors que sa cage thoracique se gonflait pour respirer. Je pouvais dire que ça lui avait pris beaucoup d'énergie, et c'était sûrement l'activité la plus intense qu'elle avait connue depuis des années.

Elle me sourit, ses yeux verts rayonnant de joie. Elle semblait vraiment fière de moi. J'étais heureux de savoir que j'avais tant fait plaisir à ma géante femme. Je sentis une chaude sensation se répandre dans mon corps.

"C'était vraiment GENIAL chéri." Elle respira. Il y avait quelque chose d'incroyablement sexy dans le fait de la voir satisfaite. J'étais resté assez excité durant toute cette petite session, mais désormais je me sentais m'enflammer. J'avais soudainement envie de la baiser si fort. C'était, bien sûr, impossible à cette taille.

Elle massa gentiment ma tête, me caressant les cheveux avec son doigt.

"Wow. Il va bientôt être l'heure d'aller au lit. Mais on a pas besoin d'y aller tout de suite quand-même." Elle me regarda de manière sexy. "Si je veux espérer des choses de toi, tu vas espérer les même choses en retour, est-ce que je me trompe ?" Son doigt titilla mon membre désormais en érection.

"Maman va s'occuper de ça." Dit-elle avec assurance.

J'étais excité de découvrir ce qu'elle comptait exactement faire pour ça.

"Laisse-moi te demander mon petit.. Tu aimes mes pieds, hein ?"

J'hochai doucement la tête. Je les aimais vraiment -elle avait des pieds ultra sexy.

Elle sourit, fière d'elle. "C'est bien ce que je pensais." Elle reprit la télécommande et mit les informations. Puis elle me plaça sur le sol, juste à côté de ses pieds.

"Couche-toi sur le dos chéri, tu vas aimer ce que je te prévois."

Je fis comme demandé.

Diane leva son pied droit, l'apportant au-dessus de moi. Je regarda sa semelle, alors qu'elle commençait doucement à occuper tout mon champ de vision. Je lui faisais confiance, mais je m'agrippai tout de même à la moquette alors que je tremblais d'anticipation.

Son gros orteil se posa doucement sur ma queue, recouvrant presque tout mon corps. J'inspirai profondément sous la délivrance, et sentit pleinement l'odeur de son pied. Je tendis les mains et attrapa son orteil, ressentant la douce surface de son ongle au-dessus. Je pouvais à peine faire le tour de son orteil avec mes bras, il était gigantesque.

Doucement, tellement doucement, elle fit bouger son orteil. Elle faisait bien attention à ne pas appliquer trop de pression, et la sensation était fantastique. La peau chaude de son énorme et imposant orteil stimulait mon pénis alors qu'elle frottait contre. Je ne voyais plus que la peau de dessous son orteil, puis son ongle rose, et de nouveau le dessous de son orteil alors qu'elle m'offrait des vagues de plaisir avec chaque caresse.

Ininteressée, Diane continuait à regarder les infos alors que je faisais tout mon possible pour me retenir d'éjaculer. Plusieurs minutes passèrent durant lesquelles elle massa l'intégralité de mon corps avec ses orteils, et je pénétrais les crevasses entre chaque orteil, essayent désespérément de les soumettre. Ça ne fonctionnait pas, et cela ne faisait que m'exciter encore plus.

Soudainement, elle s'arrêta et se pencha alors que j'allais enfin éjaculer. Son joli visage entra dans mon champs de vision.

"Quoi, ça ne te suffit pas ?" Elle me taquinait car elle savait parfaitement que j'étais au septième ciel. "Je pense que tu as besoin d'un petit encouragement." Elle augmenta la pression, ce qui me rendit fou. Puis la pression augmenta encore, encore et encore. J'entendis les lattes du canapé craquer alors qu'elle se levait. Diane s'éleva de toute sa hauteur, son poids entier reposant désormais sur moi.

Elle était debout sur moi ! Je finis par me dire qu'il allait falloir s'inquiéter alors que j'entendais mon dos et mes côtes craquer. La femme géante me regarda à travers ses deux seins. Ses mains étaient sur ses hanches.

"Regarde toi, si petit, si minuscule sous mon pied. Je vais faire de toi ce que je veux. Tu vas m'aimer comme une Déesse. Ton existence entière est vouée à me vénérer."

Je me tortilla sous son pied. Je ne voulais que me vider, je ne voulais plus que ça. La pression sur mon sexe m'empêchait de le faire, mais ces mots m'en donnaient tellement envie. Pourquoi ? Je sentis soudainement une attraction sans précédent envers elle. Je commençais vraiment à penser d'elle que c'était une Déesse, et j'aimais chaque seconde passée avec elle. Je l'aimais.

"Et je t'aime aussi. Je vais devenir toute ton existence, ta Déesse. Tu vas vivre dans l'unique but de me satisfaire, et je prendrai soin de toi en retour. Je suis une Déesse maternelle Joe. Je ne veux rien de plus que prendre soin de toi, te nourrir et te protéger. Mais ne te trompe pas chéri, c'est MOI la boss ici. Si tu es bon, alors je n'aurais pas besoin de te punir."

J'hochai la tête pour confirmer.

"Voilà ce qui va se passer. Tu vas vivre tes journées dans mon soutient-gorge jusqu'à ce que je te laisse sortir, je pourrai te placer dans d'autres endroits si jamais j'en ressens le besoin. Lorsque je rentrerai du travail, tu auras plusieurs corvées à faire -masser mes pieds, m'aider à me masturber, vernir mes ongles, et généralement être le jouet de mes moindres désirs. Si tu es capable de faire ça, alors je prendrai soin de toi, et je te nourrirai. Tu n'as désormais plus le droit à de la nourriture solide."

J'étais perdu. Plus de nourriture ? Qu'allais-je manger alors ?

"Tu boiras mon lait, et juste ça. Tu devras être totalement dépendant de moi pour que ça fonctionne."

L'idée de complètement me soumettre à Diane était extrêmement érotique et enivrante. Dans une situation normale, avec une taille normale, je n'aurais jamais accepté. Cependant, avec cette taille et dans ma position, je ne voulais rien de plus que la vénérer. Je l'adorais.

"Je peux faire tout ça Diane."

"Bien." Elle releva légèrement son pied, mais garda son orteil sur moi tout en arquant son pied comme je l'aimais. "Tu peux terminer. Mais je veux te voir faire." Elle resta debout sur moi de manière provocante, les mains sur les hanches, son pied appuyant sur mon corps insignifiant.

Je pompa furieusement, finalement autorisé à décharger toute la tension sexuelle. Je me battais avec son orteil, complètement surpassé par sa taille mais n'en tenant pas compte, j'essayais désespérément de le soumettre.

"Oooh... Allez mon bébé, tu peux faire mieux que ça." Diane dit de plus haut, "on dirait que tu es dépassé par l'orteil de Maman... Tu peux bien résister à un seul de mes orteils, non ?"

Elle était clairement en train d'apprécier cette démonstration de domination, et elle en profitait autant qu'elle le pouvait.

"Quel genre d'homme es-tu ? Tu trembles sous mon pied. Je peux prendre ce que je veux de toi, et tu ne peux rien faire contre ça, misérable petit homme." Elle roucoula alors que j'éjaculais de partout sur son pied. C'était pour moi un genre de démonstration qui symbolisait le poids de son pouvoir dans notre relation, ainsi qu'un dramatique changement de style de vie. J’eus le sentiment que je n'allais plus jamais avoir de vie normale.

 

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