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Author's Chapter Notes:

Mon Dieu j'ai pris du retard ! Allez vite la suite, here we go !

Bonne lecture à tous :)


-"Adrieen.. Réveille-toi..."

 

La chaude main d'Alice me recouvre de toute sa douceur, et je sens son index se glisser sur ma poitrine et contre mon visage. Je le sers donc contre moi, comme un doudou qui me mettrait de bonne humeur dès le matin. Et en l'occurrence, ça fonctionne.

 

-"Hihi, arrête d'être tout mignon.."

 

En disant cela, elle me caresse quelques fois le visage, tout doucement, puis essaie de retirer lentement son doigt. Je ne sais pas si c'est par peur de me faire mal, ou bien car elle ne veut pas que je m'en rende compte, mais dans les deux cas ma réaction aurait été la même : je la sers encore plus, en enroulant aussi mes jambes autour de son index. Ma réaction semble la faire craquer.

 

-"Adrien arrête, c'est l'heure de se lever... Hihi..."

 

Le volume de sa voix est fort, mais pas violent. C'est comme lorsque l'on ressent quelque chose de puissant, mais que cela ne dépasse pas notre limite de bien-être. Au contraire, malgré sa voix très féminine voire presque enfantine en ce moment précis, l'entendre parler si fort est réconfortant, sa simple voix me surpasse et m'englobe, me protégeant dans une douce orbe de bienveillance.

 

Je me mets à gémir un timide "Mmmh...", qui lui décroche un autre rire.

 

Elle continue de me tirer avec son doigt, puis s'arrête brusquement.

 

-"Bon écoute moi Adrien, soit tu lâches mon doigts, soit je te force à le lâcher."

 

J'ouvre discrètement un oeil, intéressé par son dilemme. Mais, joueur comme je suis, je sers son doigt plus fort entre mes bras et mes jambes, relevant pleinement le défi.

 

-"Très bien, tu l'auras voulu. Je vais employer les grands moyens... Ou les petits, peut-être.."

 

Mais je n'attends que ça ma grande, pensais-je intérieurement. C'est alors que, sans prévenir, je sens à nouveau son doigt bouger contre ma peau nue. Je le sens glisser contre moi, lentement au début, puis de plus en plus vite. Mais, chose étrange, j'ai l'impression d'avoir de moins en moins d'emprise sur lui, et c'est vraiment très déstabilisant...

 

Alors que je serre encore mes membres autour de son doigt, la réalisation de ce qui est en train d'arriver me frappe de plein fouet : son doigt devient de plus en plus petit, Alice est en train de rétrécir, contre moi ! Surpris et ne voulant pas lui faire mal en serrant trop fort, je relâche un peu la prise que j'avais sur elle. Alors qu'il faisait vraisemblablement la même taille que moi au début, son index fait moins de la moitié de sa longueur initiale, ce qui veut dire qu'Alice est au moins deux fois plus petite qu'avant ! Elle me regarde, fière d'elle, ses sous-vêtements désormais bien trop grands pour tenir en place. C'est d'ailleurs pourquoi elle tient de sa main libre ce qui lui servait auparavant de soutien-gorge, même si maintenant une seule coupe pourrait presque lui suffir pour conserver son intimité.

 

En faisant glisser son doigt contre mon corps dépourvu de vêtements, nous nous apercevons l'un comme l'autre qu'une partie de moi apprécie véritablement le spectacle qui se déroule devant mes yeux. Je ne m'en étais même pas rendu compte, mais il est vrai que voir Alice deux fois plus petite qu'auparavant, et tout aussi gigantesque pour moi est vraiment quelque chose qui m'excite; mon naturel ne se gênant pas pour lui en fournir la preuve.

 

Je vois ses yeux descendre sur mon intimité que je m'empresse de cacher en me retournant sur le lit. Après tout, même si nous avons joué l'un avec l'autre à deux reprises déjà, cela ne date que d'hier et je pense qu'il me faudra encore un peu de temps pour ne plus être gêné du tout.

 

Me voilà donc à moitié sur le côté, ma jambe la plus haute légèrement recroquevillée pour pouvoir me cacher, et mon visage tourné vers le sien, qui se retrouve suspendu à environ 10 mètres au-dessus de moi - après un rapide calcul, sachant qu'elle doit être environ deux fois plus petite qu'auparavant et que je fais environ 8cm, sa taille relative doit être d'environ 20 mètres pour moi, ce qui lui donne cet air de mini géante. Je dois vraiment paraître ridicule comme ça, nu et vrillé sur le matelas, complètement dépourvu de la moindre défense face à cette créature énorme.

 

Comme par évidence, Alice affiche un grand sourire qui montre ses dents blanches : on dirait vraiment qu'elle apprécie la position dans laquelle elle se trouve, tout comme la mienne.

 

-"Et ben Adrien, qu'est-ce qu'il y a..?" Me demande-t-elle en se penchant lentement, au rythme de sa question. Elle feint l'ignorance, et son mauvais jeu d'actrice nous laisse tous les deux parfaitement savoir qu'elle sait pourquoi je me tiens comme cela.

 

-"Je t'ai pourtant demandé de te lever... Alors tu vas être obligé de le faire..."

 

Ne pouvant plus continuer à se baisser sans utiliser ses mains comme support, elle choisit d'abord de déclipser son soutien-gorge, qu'elle pose de l'autre côté du lit. Puis je sens un côté du lit, dans mon dos, s'affaisser alors qu'elle y pose une main dessus. Désormais équilibrée, elle continue encore à se pencher vers moi et, une main qui me donne maintenant l'impression d'être petite, s'empare de ma cuisse gauche (celle que j'utilise pour me cacher).

 

-"Tu comprends pourquoi je fais ça Adrien, tu ne peux pas rester couché toute la journée..."

 

Elle commence à forcer, et alors que je me bats pour garder ma jambe à plat, je la sens exercer de plus en plus de pression, inexorablement.

 

-"Alors tu vas commencer par te retourner."

 

Maintenant je ne cherche plus à me cacher par pudeur, car je sais très bien que nous avons entamé un jeu intime, mais je veux résister pour notre désir. Malheureusement nous savons l'un comme l'autre qu'elle va gagner sans effort, et ce moment arrive bien plus tôt que prévu. Elle me retourne donc avec une facilité hors du commun, et une faim qui transpire de son regard confiant.

 

Sans retirer sa main de ma cuisse, elle fait glisser le gigantesque membre sur ma peau nu jusqu'à finalement toucher le mien.

 

Son expression faciale feignant cette fois la surprise, je vois sa bouche s'arrondir et ses yeux s'écarquiller, avant qu'elle ne me quitte du regard pour observer ce qu'elle vient de toucher. Tout ce qu'elle parvient à faire avec sa comédie, c'est me faire sourire.

 

-"Tu m'as l'air pourtant bien réveillé toi..." Dit-elle en ne s'adressant pas à ma personne, mais à ce qu'elle a désormais pincé entre deux doigts chauds, doux et géants.

 

-"Qu'est-ce qui te met dans cet état petite chose...?" Sa voix adopte lentement un ton qui serait approprié lorsque l'on s'adresse à un petit bébé, comme pour le consoler.

 

Je ne réponds pas. Mais le fait qu'elle entame des va et viens m'oblige à fermer les yeux et à me mordre la lèvre inférieure.

 

Me sentant très sûrement tendu, Alice a du relever les yeux pour regarder mon visage, c'est pourquoi elle reprend un ton normal :

 

-"Adrien... Regarde-moi."

 

Alors que j'obéis à ce qu'elle me demande, son visage vient se poser face au mien, avant qu'elle ne plaque ses lèvres aux miennes (ou plutôt qu'elle ne recouvre la moitié de mon visage). Je la sens accélérer doucement et, lorsqu'il me semble que je vais avoir le droit à une libération, elle s'arrête de me masturber. Ses doigts glissent sur mon sexe jusqu'à ce qu'elle enveloppe tout mon membre de sa main chaude. Et là, je ressens pour la première fois de ma vie la dose de plaisir la plus extrême sans même approcher de la jouissance : Alice se remet à grandir.

 

Le plaisir n'est pas uniquement physique, mais il est aussi psychologique. Je sens la peau de sa main glisser sur mon sexe, le caressant alors qu'elle s'étend lentement. Il en est de même pour ses lèvres qui se mettent à grandir contre mon visage, atteignant et dépassant rapidement le niveau de mes yeux, jusqu'à finalement englober tout mon visage. J'imagine sa main grandir sans cesse, ridiculisant ce qu'elle tient dans son emprise de par sa taille et sa puissance.

 

Malheureusement, cette sensation de plénitude sensorielle s'arrête bien trop tôt pour moi, et je sens Alice lâcher les moindres contacts que nous entretenions. Ses lèvres se séparent de moi, tout comme sa main. Alors que j'ouvre les yeux, je la vois se redresser, un sourire satisfait embellissant son visage sans imperfection.

 

Debout derrière le lit, elle se met à regarder dans toutes les directions, comme si elle cherchait quelque chose. Puis je la vois partir dans un angle de la pièce et se baisser pour ramasser un objet de petite taille. Elle se redresse rapidement, chassant quelques cheveux qui avaient glissé devant son visage, et prend la parole : "Allez tu es suffisamment réveillé, enfile cette petite chose et on y va."

 

En disant cela, elle ma tend le morceau de tissu qu'elle avait ramassé, qui n'est autre que ma robe d'hôpital toute spécialement fabriquée ! C'est ridicule dans sa main toute fine, suis-je si petit que ça pour elle ?

 

Elle jette la robe dans ma direction, et cette dernière virevolte de façon incertaine avant de venir se poser à quelques mètres de moi - à mon échelle. Je l'enfile rapidement et avance vers elle en trottinant sur le drap du lit.

 

À mon arrivée, elle se baisse jusqu'à descendre son visage au niveau du matelas, puis elle m'accueille d'un petit bisou qui recouvre la totalité de mon visage. Je suis un peu surpris par son geste, ce qui explique le fait que je recule de quelques pas.

 

-"Qu'est-ce qui a Adrien ?" Me demande Alice, amusée par ma réaction.

 

-"Hum rien, c'est juste que... Je suis un peu perdu là... J'arrive plus trop à savoir si on est amis ou..."

 

Elle se penche lentement et amène ses mains devant elle, sa position me rassurant dans mon malaise.

 

-"Si tu veux mon avis, et je pense qu'il t'intéresse, je nous aurais plus catégoriser dans l'autre.." Elle se penche en souriant tendrement.

 

-"L'autre...?" Lui demandais-je, déstabilisé par cette réponse sortie de nul part.

 

-"Hihi t'es bête !" En disant cela elle m'attrape entre ces mains et m'élève jusque devant ses grands yeux marrons. "Je pense qu'on a passé l'étape de simples amis, tu vois ?"

 

-"Mais alors ça voudrait dire qu'on est en...?"

 

-"Mmh.." Son regard s'envole, et elle observe le vide d'un air pensif pendant quelques secondes. "Je ne veux pas te vexer mais... Je ne pense pas non plus qu'on soit en couple. Il n'y a rien de bien officiel tu vois..."

 

-"Oui oui je comprends t'en fais pas." Lui répondis-je en souriant.

 

-"Et puis.." Au milieu de sa phrase elle me descend au niveau de son torse, avant de me plaquer contre sa poitrine. "T'avoir en tant que sexfriend me convient très bien pour le moment, hihi !"

 

En ricanant elle fait vibrer toute sa cage thoracique, ainsi que ses seins que je sens légèrement gigoter contre moi, à travers son t-shirt en coton. Devrais-je être fier de ce qu'elle vient de dire et le prendre comme un compliment, ou alors devrais-je être déçu qu'elle ne me voit que comme un simple sexfriend..? Je crois que c'est assez clair pour moi, j'apprécie vraiment Alice, et j'éprouve un sentiment d'attachement assez fort envers elle. Peut-être plus que de la simple amitié..

 

-"Bon, je sais qu'on est arrivés ici que hier, et que tu viens tout juste d'apprendre l'existence de notre organisation, mais pourquoi ne pas continuer sur ta lancée ? Si tu es intéressé je peux te présenter les deux autres mutants présents ici, qu'en dis-tu ?" Elle me sourit gentiment, fière de me proposer un divertissement aussi intéressant.

 

Je lui souris à mon tour.

 

-"Ah ouais carrément ce serait trop cool ! Ils ont des pouvoirs comme toi eux ?!"

 

-"Hihi calme toi, arrête de gigoter ! Et oui ils ont pouvoirs comme moi, et comme toi aussi."

 

Je réfléchis un court instant, avant de lui répondre. "Mouais.. Enfin moi il est inutile alors que le tien il te donne trop de classe !"

 

-"Disait le garçon qui était capable de réamorcer son coeur.." Dit Alice ironiquement alors qu'elle se met à marcher en direction de la sortie de la chambre.

 

Une fois la porte passée, elle la referme derrière elle, et se dirige au bout du couloir. Arrivés à la fin du couloir, nous faisons face à un ascenseur qu'elle appelle immédiatement. La boîte de métal s'approche lentement, et je fixe les chiffres qui défilent : 3...2...1. Cela me fait penser à une question.

 

-"Alice ?"

 

-"Oui ?"

 

-"Y'a combien d'étages dans le bâtiment ?"

 

-"Là l'ascenseur était au sommet, en fait y'a que 3 étages ici." Ding ! Nous pénétrons dans l'ascenseur, et je la vois sélectionner le troisième étage avant d'entendre les portes se fermer dans mon dos. "Le premier est simplement composé de nos chambres à coucher, des quelques lits d'hôpital et des bureaux. Au deuxième étage se trouvent les pièces à vivre et le self. Et au dernier étage.."

 

À peine entame-t-elle sa phrase que nous arrivons à destination, et les portes s'ouvrent. Alice nous fait sortir de l'ascenseur et nous pénétrons dans un genre de couloir en long, perpendiculaire à celui du premier. Il ne s'étend donc pas devant nous mais nous oblige à prendre directement un angle droit sur notre droite. Après seulement quelques foulées gigantesques d'Alice, nous arrivons au pied de trois marches qu'elle grimpe tout en ouvrant une porte. Le couloir auparavant plutôt sombre est soudainement empli de lumière alors que se révèle derrière cette porte une pièce relativement illuminée. À première vue j'aperçois plusieurs genres d'ordinateurs ou autres machines, ainsi qu'une machine à café. Au milieu de la pièce se trouvent une table ronde et quelques chaises que je ne prends pas la peine de compter. Puis en regardant un peu mieux autour de moi, je vois une grande vitre qui recouvre presque tout un pan de mur. Alors que je comptais demander à Alice ce que c'était, elle prend la parole avant moi.

 

-"Ici c'est l'étage d'entraînement. Tous ces appareils que tu vois là sont faits pour simuler des situations diverses, et la grande vitre qui se trouve juste là.." Alice s'en approche en parlant, jusqu'à atteindre ce qui m'intrigue le plus. "Est en réalité un double vitrage teinté qui nous permet d'observer les entraînements sans y prendre part."

 

Étant donné qu'Alice me tient juste au dessous de sa poitrine, je suis suffisamment haut pour pouvoir voir à travers la vitre. C'est pourquoi j'ai la sensation de perdre ma mâchoire, cette dernière se décrochant avec une force presque sans précédent : Dans la gigantesque pièce se trouve un genre de femme, de taille presque normale, en train de se batte contre des mannequins. Mais la chose étrange est que celle ci ne se contente pas de les toucher ou de les faire tomber, non, elle les pulvérise et les déchire sans même donner l'impression de forcer. Et c'est quasiment pas si étonnant que ça : Les pauvres sacs de sable en tissu n'ont aucune chance de survie face à la quantité ahurissante de muscles saillants qui composent cette être humain. Ses muscles presque disproportionnés sont recouverts de sueur et semblent plus solides que des os.

 

Alice a du remarquer ma réaction de décomposition, car elle se met à rigoler.

 

-"Hihihi ! Bah alors, tu as vu un monstre ou quoi ?!"

 

Avant de lui répondre, je continue à observer les cibles artificielles se faire pulvériser par ses coups puissants.

 

-"Bah... Euh... J'ai plus vu un mutant je suppose, non...?" Lui demandais-je, stupéfait.

 

-"Tout juste ! Si t'es pas incroyablement perspicace toi !!" S'exclame-t-elle en se moquant de moi. Elle apporte l'index de sa main libre au dessus de ma tête et me frotte les cheveux. J'ai le réflexe de me baisser, surtout que je déteste ça !

 

-"Aliceuh !!"

 

Alors que je me retourne pour exprimer mon mécontentement, nous entendons tous les deux la porte par laquelle nous somme entrés s'ouvrir.

 

-"Tiens Alice tu es là !" S'exclame une voix joyeuse, et surtout étonnamment jeune.

 

Alice pivote sur elle même et fait face au nouveau-venu.

 

-"Aah bah tiens, Julian, quel hasard !" S'exclame celle qui me tient dans sa mien. Je me tourne moi aussi pour le voir, et je tombe sur un enfant, auquel je ne donnerais même pas 13 ou 14 ans, qui se tient devant la porte d'entrée. En m'apercevant, ce dernier s'arrête net.

 

-"Ooh mais ne serait-ce pas Adrien, le p'tit nouveau !" Dit-il avec joie, fier de son jeu de mot. "Tu n'imagines pas comme je suis ravi de te voir !"

 

Mais il a quel âge ce gosse pour parler aussi bien ?

 

-"Oh.. Vraiment ?" Lui répondis-je poliment, un peu surpris par cet excès d'affection si soudaine.

 

-"Ouais carrément !" Il s'approche de nous à pas pressés, avant de légèrement se baisser en face de moi -il n'a pas besoin de beaucoup se baisser, car Alice me tient au-dessus de son nombril et la tête de l'enfant ne lui arrive pas plus haut que la poitrine.

 

Il me tend son doigt.

 

-"Salut, moi c'est Julian."

 

Je reste encore bête face à don doigt, jusqu'à me rappeler qu'il attend que je lui serre ! J'avais oublié ça, c'est une drôle de façon de saluer quand même !

 

Je m'en empare et lui retourne la formule de politesse.

 

-"Enchanté, moi c'est Adrien."

 

Alors que le garçon blond se relève, et qu'il nous montre la direction des chaises pour nous asseoir, notre petit groupe de trois entend une nouvelle porte s'ouvrir. Mais ce n'est pas celle par laquelle nous sommes tous entrés, c'en est une à côté de la vitre teinté. Nous nous retournons pour apercevoir la femme de tout à l'heure encore transpirante, mais ses muscles semblent étrangement beaucoup moins saillants... Leur présence est indéniable, certes, mais leur apparence est beaucoup plus harmonieuse, plus naturelle.

 

Je lève les yeux vers Alice, qui me regarde en souriant avant de prendre la parole.

 

-"Bon et bah voilà, le groupe est au complet !"

 

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