Une amitiƩ banale ? by dood07
Summary:

Pauline et Michel sont deux amis qui profitent de la situation dans laquelle ils se trouvent. En effet, le jeune homme se trouve être rétréci, et ils adorent sa condition, autant l'un que l'autre. 
Jusqu'au moment où la limite entre amis et amants devient trop floue pour eux... Leur relation amicale survivra-t-elle à cela ?


Categories: Giantess, Young Adult 20-29, Feet, Gentle, Humiliation, Insertion, Mouth Play Characters: None
Growth: None
Shrink: Minikin (3 in. to 1 in.)
Size Roles: F/m
Warnings: This story is for entertainment purposes only.
Challenges: None
Series: None
Chapters: 2 Completed: Yes Word count: 7731 Read: 7324 Published: September 21 2017 Updated: September 21 2017

1. Chapitre 1 by dood07

2. Chapitre 2 by dood07

Chapitre 1 by dood07

 

 

-"Miiichel... Où es-tu...?" Ronronnait Pauline, agenouillée au milieu de sa chambre. Elle avait les mains posées sur le sol, ses longs doigts fins grattant le tapis sur lequel elle se trouvait. Même si ses ongles étaient relativement courts (et vernis d'un très beau noir uni), ils faisaient office de griffe pour la partie qu'elle jouait.

La tête de la jeune fille aux cheveux bruns se tournait de part et d'autre pour observer les moindres recoins de la pièce, ses yeux magnifiques à la recherche de sa proie. Elle fit quelques pas en direction de son lit, toujours agenouillée au sol.

-"Allez mon petit, montre toi..." Ses pas étaient légers et voluptueux, comme la voix douce qu'elle empruntait pour parler à son compagnon de jeu. Ce dernier, Michel, restait bien caché où il se trouvait. Il y faisait très sombre et un poil chaud, mais rien n'était pire que ce qui l'attendait dehors.

Elle regarda furtivement sous son lit, balayant de sa main les quelques objets qui y traînaient : une culotte et quelques chaussettes portées disparues depuis peu, une bouteille d'eau à moitié remplie, et des bricoles telles qu'un vieux crayon et des boules de papier. -"Alleeez, sors de ta cachette... Je te promets que je ne te ferai pas souffrir !" Malgré sa promesse, Michel frissonna intérieurement.

"Mais bien sûr..." Pensa-t-il, absolument persuadé du contraire. De là où il se trouvait, le jeune brun pouvait sentir les vibrations de chaque pas effectué par Pauline, et son coeur se serrait par moment lorsqu'il croyait l'entendre s'approcher.

-"Je me dirige vers la penderie, et tu sais comme moi que c'est TOUJOUUURS là que tu te caches..." Ronronna Pauline à nouveau, sûre à 200% de son coup. Le ton qu'elle venait d'utiliser fit sourire Michel, d'autant plus que l'indication qu'elle venait de faire était amusante aux yeux du jeune homme. Toujours à quatre pattes, la belle fille brune arriva jusqu'à la penderie. Elle se dressa sur ses jambes -qui faisaient actuellement office de pattes arrières- pour s'emparer d'une des poignées du meuble, faisant ainsi coulisser la porte de droite vers l'extérieur. Elle répéta le processus avec l'autre porte, puis redescendit pour se mettre à quatre pattes à nouveau.

-"C'est ouveeert..." Annonça-t-elle gaiemant, comme si Michel ne s'en était pas rendu compte de lui-même. Avant même de fouiller dans ses vêtements ou autres recoins de la penderie, Pauline attrapa directement une de ses paires de chaussures et elle y enfouit sa main dedans, cherchant du bout des doigts la présence de la moindre petite proie. Lorsqu'elle était sûre qu'il n'y avait personne dedans, elle exagérait la fouille, grattant au fond de la chaussures avec ses ongles saillants afin de faire un peu de bruit. Elle espérait ainsi effrayer un Michel, ce qui fonctionnait plutôt bien.

De son côté, le jeune homme sentait son coeur accélérer à chaque secondes. Le moindre bruit qu'il entendait le mettait sous tension; que ce soit le grattage des ongles de Pauline, le son qu'elle faisait lorsqu'elle ronronnait, le bruit sourd produit par ses mains lorsqu'elle les posait au sol pour marcher, etc. Pauline reposa la paire de talons en velours rouge (elle savait très bien que Michel les adorait, mais qu'il ne s'y cacherait pas dedans car elles n'étaient pas assez "confortables"), et s'avança vers d'autres paires de chaussures. Elle ne savait pas trop laquelle prendre désormais, car il les aimait toutes plus ou moins autant : il y avait une paire de bottines beiges ultra confortables (fourrées à l'intérieur, mais qui tenaient très chaud), sa paire de chaussures plates qu'elle portait quotidiennement, et enfin une magnifique paire de baskets Nike qu'elle avait eu il y a peu de temps (on lui avait d'ailleurs très gentiment offert).

-"Laquelle des trois as-tu choisi cette fois petit coquin...?" Demanda Pauline sans vraiment attendre de réponse. Elle pensait bien qu'il n'allait pas se manifester pour lui indiquer où il se trouvait, même s'il fallait avouer que l'idée d'une minuscule main dépassant de l'une de ses chaussures était totalement irrésistible. Michel, lui, sourit à l'idée de savoir que son amie était sur le point de le chercher dans ses trois paires de chaussures favorites. Il recula encore plus, se préparant pour l'inévitable.

Pauline décida de commencer par sa nouvelle paire de chaussures, car elle s'attendait vraiment à ce que Michel ait choisi celle-ci (leur récente présence leur conférant une attractivité supérieure, selon elle). Elle attrapa donc celle destinée au pied droit, et l'éleva de quelques dizaines de centimètres dans les airs avant de la retourner. Lorsqu'elle ne vit rien sortir, elle glissa sa main libre dans le trou pour aller toucher le fond de la chaussure. Il était malin, et bien entendu il se cachait toujours au fond, là où elle aurait le plus de mal pour le dénicher -si toutefois elle avait du mal pour en faire ainsi.

Le bout de ses doigts toucha le fond de la chaussure, lui assurant alors qu'il n'y avait rien d'autre que du tissu à l'intérieur de celle-ci. Elle répéta avec précaution le processus pour fouiller la deuxième chaussure, avant de parler sur un ton faussement dépité. -"Oooh.. Je suis déçue, je pensais que tu allais choisir mes nouvelles Nike. Elles sont tellement jolies et mignonnes..." Elle s'arrêta un instant, marquant un court silence avant de reprendre. -"Bon, ce n'est pas grave. Il me reste encore deux paires à fouiller. Et puisque je sais désormais que tu n'as pas opté pour la nouveauté, voyons voir si tu as choisi les plus utilisées."

Sur ce, Pauline s'approcha de sa paire de chaussures plates sans plus attendre. Elle les secoua l'une et l'autre gentiment, comme un enfant sur le point de manger un Kinder, à la recherche de la surprise qui se trouve à l'intérieur. Lorsqu'elle crut sentir quelque chose dans l'une des deux chaussures, elle parvint à se retenir de parler, mais elle ne put s'empêcher de sourire à pleines dents. Comme si le hasard l'avait choisi, elle posa la chaussure supposément habitée sur ses cuisses et enfouit sa main droite dans l'autre, cherchant quelque chose à l'intérieur. Bien entendu, elle n'y trouva rien, mais pourtant la déception n'était pas au rendez-vous. Au contraire, son excitation grandissait.

-"Hum... Pas dans celle-ci apparemment..." Dit-elle d'un air faussement pensif tout en reposant la chaussure vide. Puis, Pauline s'empara de celle qu'elle avait posé sur ses genoux pour la soulever avec précaution dans les airs, avant d'approcher sa main de l'ouverture. Ses longs doigts fins entrèrent finalement dans la chaussures, ses ongles d'un noir brillant éclairant leur passage. La pulpe de chacun de ses doigts toucha la semelle et, très lentement, elle fit glisser le bout de ses doigts vers le fond de la chaussures. Immanquablement, à force d'approcher le fond de la petite caverne de tissu, elle sentit son index et son majeur heurter un obstacle minuscule et légèrement mou (il se déformait un peu au contact de ses doigts), et le sourire qu'arborait la géante sembla s'élargir encore un peu. La jeune fille brune sentit que ce qu'elle touchait était en train de bouger, et elle fut alors certaine de l'identité de cette petite bosse. "Ooh ?" Prononça-t-elle, à moitié surprise, mais vraiment très heureuse. "Qu'est-ce que ça peut bien être...? Ne me dis pas que tu as encore choisi cette paire là..." Sans plus faire durer le suspens, la géante s'empara du petit être caché au fond de sa chaussure.

Ce dernier essaya de se débattre un peu, mais il savait avec l'expérience que ça ne porterait jamais ses fruits. C'était juste pour le réalisme du jeu de rôle.

-"Ooh, mais arrête de te débattre !" Gronda Pauline de plus haut, amusée par son agitation. Une fois qu'elle fut sûre d'avoir une bonne prise sur Michel, elle contracta rapidement la poing pour rappeler le mini à l'ordre, sans lui infliger la moindre douleur bien entendu. Le mini se prêta donc au jeu, arrêtant de se débattre contre plus fort que lui.

Une fois qu'elle ouvrit à nouveau son poing, Michel fut exposé à la lumière du jour, et il dut fermer les yeux tant l'aveuglement était fort. Lorsqu'il les rouvrit, il se rendit compte qu'il était situé à plusieurs dizaines de mètres de haut (à son échelle), perché sur la magnifique main de Pauline. Il prit le temps d'observer à nouveau le membre de la géante qui le tenait, et il fut à nouveau émerveillé par la perfection de celui-ci. Le mini pouvait dire avec certitude que Pauline prenait très soin d'elle, et ceci allait de son visage parfaitement arrangé à ses mains, la peau adoucie par ses produits de beauté et ses ongles bien limés et vernis. Il s'attarda un instant sur son visage, aux formes si agréables à l’œil. Il appréciait ses joues à peine bombées, aux airs si doux et accueillants, ses lèvres fines surdessinées au rouge à lèvre, sa dentition parfaite, son nez mignon, ses yeux adorables et purs dans lesquels il pourrait s'imaginer plonger par moment. Il adorait aussi sa coiffure, ses cheveux d'un noir saisissant arrangés de sorte à être les plus agréables à regarder. Sa rêverie momentanée fut vite coupée par la géante qui fit tressaillir rapidement sa main, comme pour réveiller un petit être endormi.

-"Pourquoi cette tête ? Ça ne va pas ?" Demanda Pauline, ses traits adoucis par l'inquiétude qui commençait à transparaître sur son visage.

Michel secoua vivement sa tête comme signifier que ce n'était pas ça du tout. "Je vais bien, ne t'en fait pas ! J'étais juste.. Ailleurs, un court instant." Il s'arrêta pour reprendre son souffle, puis ajouta : "J'étais ébloui par... La lumière, probablement."

Un sourire se dessina à nouveau sur les lèvres de Pauline. "Mmh.. On va dire ça. Et puis je préfère savoir que tu es en pleine forme !" Soudainement, son sourire s'élargit et Michel put voir ses grandes dents blanches apparaître. "Je ne mange aucun produit abîmé."

La phrase, pourtant banale aux yeux de n'importe qui, fit l'effet d'une bombe au mini. Il se sentit prit d'une vague de sensations surpuissantes, partagé entre la confusion, l'effroi et l'excitation à la fois. Il tendit ses mains devant lui par réflexe, comme pour indiquer qu'il ne comptait pas la laisser faire ce qu'elle avait prévu. "Non Pauline, n'y pense même pas !" S'exclama-t-il, clairement pris dans le jeu.

-"Mais... Mais..." Commença Pauline, un air faussement triste dépeint sur son visage. "C'est la moindre des choses, petite proie. Quand un chat s'empare de ce qu'il cherche, il gagne le droit de jouer avec !" Elle exagéra sa mou expressive. "Et moi j'ai simplement envie de goûter à ma proie." La géante leva l'index de sa main libre et son vidage sembla s'éclairer. "Que j'ai rudement gagné d'ailleurs !"

Michel ne savait pas trop quoi répondre. Lui qui était habituellement adepte du fameux dicton disant que tout travail mérite salaire, il se retrouvait cette fois à vouloir que ce ne soit pas toujours le cas. "Non Pauline ! Arrête hein, tu ne peux pas faire ça !"

C'était drôle : avec le ton qu'il utilisait, il était presque possible de s'imaginer qu'il s'adressait à un animal qu'il essayait de dresser. Un peu à l'image d'un maître qui essaie d'empêcher son chien, beaucoup trop grand pour lui, de lui sauter dessus. Mais nous le savons tous, cette technique d'intimidation ne fonctionne jamais. Spécialement lorsque l'animal en question est une centaine de fois plus grand et infiniment plus puissant que celui qui lance la menace.

Comme pour ridiculiser le geste de défense effectué par Michel, la géante chasseuse tendit sa langue devant elle. Très rapidement, le monstre gluant de chair rose atteignit les mains tendues du mini, et elle les lécha comme si c'était le premier aperçu de son apéritif. Son amuse gueule en quelque sorte, et c'était d'ailleurs plus ou moins le cas.

Inconsciemment, Pauline ferma les yeux et elle se plongea dans l'instant, profitant de ce premier échantillon pour s'imaginer la suite du festin. Michel, d'un autre côté, se devait de bien moins profiter de la situation. Même si le contact entre ses bras nus et la géante langue visqueuse était loin d'être désagréable, son instinct de survie lui ordonna de se retirer. Et quelle erreur. La géante n'hésita pas un instant pour confondre cette tentative de fuite avec une invitation, et elle approcha sa main porteuse encore plus près de sa bouche, suffisamment pour que sa langue tendue puisse à nouveau lécher ce qui avait déjà été léché. Bien entendu, leur différence de taille n'était pas pour aider Pauline, et les détails si fins du mini qu'elle tenait la forcèrent à s'égarer par moment, la faisant déborder un peu.

Michel sentit la langue de Pauline glisser sur son torse, contre lequel étaient plaqués ses bras, avant de visiter le reste de son corps. L'immense membre rugueux -et visqueux à la fois, aussi incroyable que cela puisse paraître- passa tout d'abord sur son cou et ses épaules, ainsi que sur son ventre. La géante put alors sentir (et non voir) que le mini avait une ligne plutôt fine, ce qui n'était pas pour lui déplaire. Cette redécouverte lui donna un peu plus d'énergie -ou de libido, peut-être ?- et sa langue accéléra ses mouvements, passant de plus en plus vite sur les parties corporelles du minuscule petit homme qu'elle tenait. Elle gagna aussi en amplitude, le bout atteignant désormais le visage entier du mini, mais aussi le haut de ses cuisses.

Il était bien sûr habillé (au plus grand regret de l'un comme de l'autre), et lorsque Pauline s'aperçut qu'elle ne faisait que lécher des morceaux de tissu au final, son action en devenait tout de suite beaucoup moins passionnante. Michel avait sentit la langue ralentir ses mouvements juste après avoir autant gagné en intensité, ce qui lui fit doucement rouvrir les yeux, revenant petit à petit à la réalité.

Finalement, Pauline s'arrêta de jouer avec lui, et elle l'éloigna de son visage. Ses immenses yeux noirs étaient scintillants et, si sa vue avait été plus aiguë, elle se serait rendue compte qu'il en était de même pour les yeux de Michel. Aussi, le mini pouvait apercevoir que les joues de la géante s'étaient colorées : même si ce n'était que très léger, elle s'étaient ornées d'un rose pâle, très timide.

De son côté, Pauline remarqua que les cheveux de Michel étaient humides et sa coupe avait été désordonnée par ses coups de langue. Cela la fit sourire un court instant, mais son esprit était occupé à quelque chose de plus sérieux. C'est pourquoi son expression se dégrada plutôt rapidement, un air sérieux assombrissant son visage aux habitudes si lumineuses.

-"Michel... Qu'est-ce qu'on fait...?"

À son tour, l'expression du mini se détériora suite à cette question sortie de nulle part. "Hum... Qu'est-ce que tu veux dire Pauline ?" Lui demanda-t-il, stressé par la situation.

-"Et bah..." Commença la géante en détournant le regard. "On est amis depuis longtemps et on s'entend super bien et tout, mais... Depuis que tu es devenu comme ça, notre relation a vraiment changé, et... J'ai l'impression qu'on est en train de devenir plus qu'amis. Pourtant je n'ai pas l'impression d'être amoureuse..." Pauline dirigea à nouveau son regard vers le jeune brun debout dans sa main. "Je ne sais pas ce que je ressens ! C'est comme si le fait que tu étais devenu tout petit m'avait... Je ne sais pas comment l'expliquer..."

-"Comme si ça avait réveillé quelque chose en toi ? C'est ça ?" Répondit Michel. Il savait qu'il était dans la même situation que Pauline, il ressentait une claire attirance vers elle, mais il n'aurait pas su dire si cela venait de la personne, ou juste de sa taille titanesque. Pauline hocha la tête, un peu hésitante. Alors le mini continua. "Je ne sais pas toi, mais pour moi c'est comme si une étincelle avait été créée par mon rétrécissement. Et... Quand on joue comme ça... J'ai toujours envie d'aller plus loin, comme si cette étincelle s'enflammait ! Et... Lorsqu'on se calme, et bien... Je prends du recul et je me demande un peu où on en est, tous les deux..." C'était au tour de Michel de baisser les yeux, car il venait d'avouer ce qu'il ressentait vraiment en la présence de l'objet de ses désirs. "Pourtant je suis sûr qu'une partie de moi t'aime vraiment, toi... Pas juste ta taille incroyablement excitante, mais aussi ta personne... Tes sourires, tes clins d'oeil, tes expressions, tes rires et tes insultes ! J'aime tout ce qui vient de toi, et... Et voilà."

Alors que le mini n'osait pas relever à nouveau le regard, un magnifique sourire apparut sur les lèvres de Pauline. "Alors on ressent la même chose. La question est, maintenant, qu'est-ce qu'on fait ? On ne peut plus se considérer comme simples amis, si ? Est-ce que tu nous crois sur le point de franchir une nouvelle étape ?"

Chapitre 2 by dood07

 

 

Les deux jeunes se regardaient les yeux dans les yeux, mais aucun des deux n'osait prendre la parole; d'une part car ils avaient peur de blesser l'autre, mais aussi parce qu'ils ne savaient pas non plus où ils en étaient l'un comme l'autre.

Le silence ayant duré plusieurs longues secondes, Pauline décida de renchérir sur sa dernière phrase, celle-ci ayant visiblement eu l'effet d'une bombe : "Tu sais quoi ?" Demanda-t-elle en éloignant un peu Michel de son visage et en commençant inconsciemment à lui caresser le haut du crâne du bout de l'index, "Je pense qu'il ne faut pas qu'on s'arrête là. Ça ne veut pas dire que toutes les portes sont ouvertes et qu'on va se marier la semaine prochaine, mais il ne faut pas pour autant se prendre la tête. On a vingt ans, c'est l'âge des aventures ! On a encore toute la vie devant nous sauf exception, et on est trop bien lancés pour tout abandonner maintenant." Plus l'immense brune parlait, et plus elle se sentait emportée par son discours. Elle y croyait dur comme fer, et qui pouvait bien la contredire ? S'ils ne profitaient pas de la vie maintenant, alors quand ?! C'était maintenant ou jamais, et ça personne sauf elle ne saurait l'en empêcher ! "On a une chance incroyable de vivre une telle aventure tu sais ! Toi qui est plus petit que ma main, qui peut rentrer dans ma bouche comme dans mes chaussures, et on adore tellement s'en amuser.. Ce serait du gâchis de ne pas en profiter !" Elle s'arrêta là, pensant avoir proposé les arguments suffisants pour justifier ce qu'elle voulait dire. Après avoir repris brièvement son souffle, elle termina son plaidoyer. "Enfin bref, tout ça juste pour dire que je t'aime plutôt bien comme ça, même si tu restes une véritable peste. Et aussi que j'ai envie de continué à m'amuser avec toi. Voilà."

Michel attendit sagement que la géante finisse de parler. Il comprit que ce fut le cas lorsqu'elle résuma son précédent exposé tout en esquissant un sourire mignon. En voyant ses lèvres fines dessiner de telles courbes, le petit homme su qu'il pensait la même chose. Un tel visage lui donnait envie d'explorer la géante a nouveau, de s'y frotter, de nager dans ses cheveux et de dormir au creux de son cou... "Oui ok ! Tu as trouvé les mots justes ma grande, encore une fois." Il posa sa main droite sur l'index de Pauline, qui s'arrêta alors de lui caresser les cheveux. Michel aimait passer ses doigts sur les ongles de la géante, ils étaient toujours si lisse et bien taillés, et puis avec sa petite taille il pouvait sentir qu'ils dégageaient un peu de chaleur, eux-aussi. Il s'y perdit, contemplant la perfection de ces petits miroirs. Mais il fut vite rappelé dans le monde réel par une taquinerie de Pauline, cette dernière se moquant de lui parce qu'il était "encore en train de rêver sur sa beauté évidente"... Elle ne se prenait vraiment pas pour n'importe qui celle-là ! Et il adorait ça...

- "Oui bah c'est pas de ma faute aussi, tu mentirais si tu me disais que tu ne fais pas tout pour attirer le regard des autres !"

- "Bah pas vraiment. J'aime bien que les gens me regardent, forcément, mais c'est surtout ton regard que je cherche à attirer. Et sache que c'est vraiment très facile ! Ta petite taille n'est pas ta seule faiblesse tu sais.. "

- "Oh ?" Rétorqua Michel, faussement vexé par ce que venait de dire sa géante préférée. "Moi qui me croyait invincible et tout puissant, tu m'en apprends des choses dis donc ! Et toi, divine divinité qui sait tout, peux tu citer à un pauvre mortel comme moi ses faiblesses qu'il ignore ?"

Pauline le vit croiser ses bras avec arrogance, et elle dut se forcer pour ne pas se moquer de lui. Il n'était pas du tout imposant, et même plutôt ridicule dans sa position... Mais l'humilier sans se moquer explicitement de lui était bien plus drôle encore. Elle décida donc de prendre une voix supérieure pour assumer le rôle de la Déesse qu'elle était à ses yeux : "Mmh... Je ne sais pas si les mots seront assez forts..."

Sans même avoir le droit à plus d'explications que ça, le minuscule brun fut rapidement déplacé dans les airs, puis déposé au sol, entre les genoux de Paulinde Il sentit les poils doux du tapis frotter son coup et se mélanger à ses cheveux, tandis que la géante changeait de position. Elle ne resta pas agenouillée, préférant passer sur ses fesses pour la suite de sa démonstration. En faisant cela, elle se pencha en arrière de sorte à libérer ses jambes, lasses en réalité d'avoir eu à la supporter tout ce temps. Elles s'étendirent au-dessus de Michel à une vitesse vertigineuse, le pauvre étant placé plus ou moins sous ses genoux en terme de distance.

L'immense jeune fille prit le temps de se dégourdir rapidement les jambes, avant de poser ses mains au sol pour reculer un peu. Une fois quelle semblait située suffisamment loin de lui (une soixantaine de centimètres), elle s'installa presque correctement; posant un pied au sol, pas très loin de Michel. L'autre en revanche resta suspendu au dessus de lui, et les yeux de ce dernier commencèrent à s'affiner alors qu'il fronçait les sourcils, l'air méfiant.

- "C'est moi ou quelque chose de mauvais est sur le point de se passer ??"

- "Mmh..." Commença Pauline, faisant progressivement descendre son pied au-dessus de lui. "Je ne sais pas. Objectivement, ta Déesse vénérée est juste sur le point de poser son pied au sol. Après, il est vrai que de ton point de vue, la scène est moins banale : c'est quelque chose d'immense qui t'arrive dessus. Et capable de t'écraser sans exercer la moindre force, par ailleurs." Ajouta-t-elle, comme si de rien n'était. Mais, le petit être à ses pieds ne bougeait toujours pas, et cela confirmait bien ce qu'elle pensait. "Cependant, il se trouve que tu n'as toujours pas essayé de t'en aller de là, ni même essayé de te décaler de quelques centimètres. Et tu sais comme moi que tu ne bougeras pas, parce que tu voudras être pile au centre de toute l'action."

- "Toute... L'action ?" Demanda Michel surpris par les termes qu'elle employait.

- "Oh bah oui... Tu vois mon pied qui arrive, n'est-ce pas ? Même de là où il est, il te ridiculise déjà de par sa taille, alors impossible que tu ne l'aies loupé. Tu vois le détail de chaque contour, et ma chaussette fine te fais encore plus fondre. Tu sais comme moi que tu as la force physique de te relever et de t'en aller. Mais tu n'as pas la force mentale de le faire, oh ça non... Et c'est là que réside ta plus grande faiblesse."

En disant cela, Pauline fit brièvement bouger ses orteils, comme pour exciter encore plus sa petite victime. Et ça avait fonctionné à la perfection : ses yeux avides de détails s'étaient jetés sur le mouvement de ses orteils. Il buvait la moindre parole de la géante, sans même oser répondre : sa bouche s'ouvrait, mais aucun son ne sortait. C'est comme si son cerveau avait été déconnecté, et pourtant il était capable de s'apercevoir que la situation s'aggravait à chaque seconde qui passait.

Pauline aussi, de son côté, pouvait dire que la situation se dégradait de plus en plus. Très paradoxalement, elle avait de plus en plus d'emprise sur son mini, et de moins en moins sur elle. Le pouvoir qu'elle était capable d'avoir sur un homme en remuant simplement le bout de ses pieds lui montait à la tête, l'empêchant petit à petit de garder prise sur ses pulsions. Celles-ci se traduisaient par l'envie incessante d'enfermer le petit insecte sous son pied, et de lui dire des obscénités, qu'elle parvenait encore à repousser pour le moment. Les choses commençaient à s'accélérer, et elle ne pensait pas être capable de les arrêter. Je ne sais même pas si j'en ai vraiment envie ! Est-ce que je vais vraiment prendre du plaisir à l'humilier encore plus que d'habitude ?

Les questions que se posaient Pauline l'empêchaient de s'immerger complètement dans le jeu de rôle. Pour autant, son pied ne s'arrêtait pas de descendre, et sa voix reprit de plus belle, ignorant magistralement ses doutes silencieux : "Alors ? Qu'est-ce que tu préfères ? Mes orteils, ou le centre de mon peton ? Est-ce que veux te sentir dominé par ces cinq petits soldats, ou est-ce que tu préfères te retrouver là où tout mon poids s'exerce quand je marche ? Tiens... Je me demande où est-ce que ma transpiration sent le plus fort...?"

Elle venait vraiment de dire ça ?! L'un comme l'autre avaient été surpris par cette dernière phrase, et ils avaient tous les deux reçu un genre de décharge électrique après avoir entendu ses mots. Qu'est-ce qui les excitait tant que ça dans cette situation ? C'était censé être sale et repoussant, pas désirable au point de vouloir l'expérimenter dans la seconde qui suit...

Une fois de plus, Michel ne répondit pas, tandis que ses yeux effectuaient de brefs aller-retours des orteils au talon de la géante, encore couvert par la géante chaussette.

- "J'ai l'impression que tu as perdu ta voix en même temps que ton esprit de combativité. Mais ne t'en fais pas, ta passivité démontre toute ton impuissance face à ce que je représente pour toi. Et tout comme toi...ma superiorité m'excite." Ça y est, elle venait de le dire. Mais est-ce qu'elle n'allait pas trop vite ? Il y a seulement quelques minutes ils ne savaient ni l'un ni l'autre s'ils allaient continuer à être amis, et les voilà qui étaient à présent en train de s'avouer qu'ils s'excitaient. C'était tellement soudain et puissant qu'elle était un peu effrayée par la chose.

Cependant son tiraillement était vain, car elle savait quelle partie d'elle allait gagner le combat : et ça l'excitait plus que ce que ça lui faisait peur.

- "Tu sais quoi ? On va tester les deux en fait." Déjà, son pied avait presque fini sa course, se trouvant désormais à seulement quelques centimètres de Michel. "Et tu vois, tu n'as toujours pas bougé d'un millimètre. C'est trop facile, misérable petit humain... Je suis sûre que depuis cette distance tu me sens. Tu dois pouvoir sentir l'odeur de ma lessive, mélangée à mon odeur naturelle... Hein ? Et alors, est-ce que c'est aussi excitant que ce à quoi tu t'attendais ?"

Et bon sang oui, ça l'était ! Le pauvre brun avait du mal à réfléchir sainement, son cerveau étant bien trop occupé à analyser les moindres détails de la situation : il y avait l'odeur oui, et la forme immense et sexy du pied de Pauline, mais il pouvait aussi ressentir de la chaleur s'émaner depuis elle. Et la température rendait le moment encore plus excitant. Sans même le vouloir, Michel tendit une main tremblante devant lui, et son coeur s'arrêta net lorsqu'il se rendit compte que sa main était contre le pied de Pauline. La chaussette était toujours là, mais elle était tellement fine qu'il était capable d'ignorer sa présence. La surface était tellement douce et chaude qu'il avait le sentiment de fondre en touchant la géante.

Pauline fut surprise par ce que venait de faire Michel : elle s'était attendue à le toucher tôt ou tard, mais pas tout de suite ! Et c'est en prenant un peu de recul sur la chose qu'elle comprit ce qui venait de se passer : ce n'était pas elle qui l'avait atteint, mais bien l'inverse. Étonnamment, ce contact inattendu la fit frissonner. Elle sentit son coeur vibrer suite à l'avance de Michel et, sans même l'avoir senti venir, elle aplatit son pied sur le mini. L'action avait été rapide et brutale, mais... Qu'est-ce que c'était bon !

- "Mmph !" s'exclama Michel contre son gré, mais aucun son véritablement distinctif ne sortit de sa bouche. Sa voix avait été tue par le pied gigantesque de Pauline car la bouche du mini, tout comme le reste de son corps, venait d'être écrasée par la géante. Instinctivement, les yeux de Michel s'étaient fermés et il se retrouvait désormais dans le noir. Quoiqu'il l'aurait été même s'il avait gardé ses yeux ouverts : le pied de Pauline recouvrait la totalité de son corps et l'avait plongé dans son ombre sans le moindre effort. Le petit brun fut surpris lorsqu'il s'aperçut qu'il n'y avait aucune douleur. À la limite, une petite gêne se ressentait du fait qu'il n'était pas libre de ses mouvements, mais ça n'allait pas plus loin. Il respirait presque parfaitement, à l'exception du fait que l'air qu'il inspirait semblait lourdement chargé et épais. Il était chaud, humide, comme débordant d'hormones et d'une odeur prononcée. Ce n'était pas assez pour que ce soit inconfortable, il savourait chaque bouffée d'air, et se surprit même à inspirer de l'air par le nez plutôt que par la bouche, pour profiter pleinement de l'arôme. Par ailleurs, sa langue s'aventura entre ses lèvres et vint toucher la chaussette de la géante. Celle ci avait un léger goût salé, même si Michel distinguait ave facilité qu'elle était encore propre. C'était comme si elle était en train de gagner en saveur avec le temps qui passait.

Et le mini ne se doutait pas que sa supposition était juste. L'immense brune commençait à transpirer. C'était encore infime, mais elle sentait que la sensation gagnait en intensité. Une chaleur montait en elle, initiée par la petite personne qui se trouvait sous son pied. J'y crois pas !, pensait-elle, j'ai en ce moment-même une toute petite personne coincée sous mon pied ! L'idée hatisait en elle un désir puissant. Elle se sentait immense, supérieure, divine. Elle le maîtrisait sans même forcer, et heureusement qu'elle ne lui voulait aucun mal, car elle pouvait faire de lui absolument tout ce qu'elle voulait. Une simple pression et...

Pauline se ressaisit. Cette simple idée venait de lui donner une autre bouffée de chaleur, et elle s'était mise à appuyer sur son pied malgré elle. Tout en enlevant complètement son pied de Michel, elle se baissa pour s'approcher de lui et lui demanda avec inquiétude comment il allait.

- "Ça va... Hum, très bien." Dit-il faiblement. Il n'avait pas l'air effrayé, juste incroyablement gêné.

- "Tu es sûr, je ne t'ai pas fait mal ? Tu n'as pas peur de... Moi ?"

La crainte de Pauline était claire, que ce soit sur son visage ou dans sa voix. De son point de vue, Michel voyait une Déesse penchée au-dessus d'un misérable mortel, inquiète pour lui. Cela le réchauffait de l'intérieur, il se sentait important et, par dessus tout, aimé. Elle prenait soin de lui, faisant attention à son corps comme à sa sensibilité émotionnelle.

- "Oui ma grande, tout va bien. C'est adorable de prendre soin de moi, je te remercie vraiment. Et ne t'en fait pas, si c'est vraiment trop pour moi je te le dirai, tu peux compter sur moi. J'ai déjà été dans ta bouche et dans tes chaussures, alors sous ton pied tu sais..."

Comme réconfortée par la sincérité de Michel, la gigantesque brune termina sa phrase avec une voix pleine de confiance : "Comment ça ? Tu veux dire que mon pied ne t'intimide pas ?". Elle se redressa et posa les mains sur ses hanches, comme indignée par ce qu'il venait de dire. Immédiatement, le mini se sentit rétrécir sous le regard lourd de la Déesse en colère. " Mon pauvre, si tu savais de quoi il est capable..."

Avec son aisance de retour, Pauline positionna son pied titanesque au dessus de l'homme minuscule. Là, une paire de mains immenses vinrent s'emparer de sa fine chaussette blanche, avant de la retirer avec facilité.

Face à ce spectacle, le mini tremblait d'excitation. Elle venait de reprendre son rôle de dominante, et il savait ce qui allait se passait. Elle était sur le point de le comprimer à nouveau avec son pied, mais sans la chaussette cette fois.

En revanche, ce à qui il ne s'était pas attendu était l'ordre que Pauline allait lui donner : "Déshabille toi." Sa voix avait été ferme. Elle était si sûre d'elle quand elle parlait que lui désobéir ne semblait même pas être une option.

Au début immobile, Michel s'empara rapidement de son haut pour le retirer, et il fit la même chose avec son pantalon. Alors que ses mains se posèrent sur son caleçon, un doute le traversa : était-ce vraiment le bon choix à faire. Cependant, un simple coup d'œil au pied nu de Pauline qui pendait au-dessus de lui suffit à le convaincre. Sans la moindre once de résistance, il s'empressa de faire glisser son sous-vêtement. Il était désormais nu, allongé sur le dos aux pieds de Pauline, en parfaite position de soumission. Son coeur battait la chamade, il savait qu'il ne pouvait plus faire demi-tour désormais ! Si Pauline continuait leur petit jeu, alors ils ne seraient plus jamais de simples amis.

De son côté, la géante venait de penser exactement à la même chose. Et elle n'en avait plus rien à faire. La pauvre petite créature qui gisait là sur le sol, à sa merci, lui implorait silencieusement d'être asservie. Et elle allait se faire un plaisir de lui montrer de quoi elle était capable. Elle s'apprêta à descendre à nouveau son pied sur le mini, mais cette fois elle déposa uniquement son talon sur lui. La sensation du mini contre sa peau était merveilleuse, et pourtant la précision du message nerveux était faussée par le fait que son talon était la partie la moins sensible de son pied. Si déjà la sensation l'excitait, alors elle peinait à s'imaginer ce que ça allait être lorsque ses orteils se poseraient sur lui.

En se concentrant sur ce qu'elle ressentait, elle fut surprise par une toute petite chose humide qui se baladait contre sa peau. En penchant légèrement la tête sur le côté, elle aperçut Michel occupé à la lécher. Son coeur fit un sursaut, et son cerveau mit un certain temps à analyser le spectacle qui se déroulait à ses pieds. Lorsqu'elle comprit ce qui se passait, ses yeux se fermèrent pour profiter de la sensation, avant qu'elle ne commence à faire bouger son pied. Elle appuya doucement sur son talon, puis elle le frotta contre le corps nu du mini. Elle distinguait parfaitement ses jambes de son buste et de ses bras, et il n'y avait aucun doute : elle touchait immanquablement son sexe. Une vague d'excitation se répandit en elle. Je suis en train de le branler ! Avec mon pied, je le branle ! Elle n'en revenait pas. Tant d'images sexuelles se créaient dans son esprit. Son désir grandissait au fur et à mesure que le temps passait. Je procure du plaisir à ce petit être insignifiant juste avec mon pied... Sa langue glisse sur moi, il goûte à ma transpiration, et il aime ça...

Soudainement, son talon glissa et s'en alla pour laisser la place au reste de son pied. Elle le caressa tout du long, le comprimant avec aisance contre le sol. Il devait avoir chaud là-dessous, l'odeur devait être si forte... Finalement, ses orteils arrivèrent au niveau du visage de Michel, et elle commença à jouer avec lui. Elle le contrôlait si facilement, imprégnant le moindre mouvement à tout son corps juste avec la force d'un seul petit orteil.

- "Embrasse les. Embrasse les tous, chacun leur tour." Dit elle fermement.

Elle n'ajouta rien, elle l'aida juste à accomplir sa tâche en lui approchant chaque orteil au moment opportun. C'était si bon de le commander comme ça, et le minuscule homme obéissait à la moindre demande. Le gros orteil, puis le deuxième, puis le suivant... Elle s'amusait avec lui, profitant de son impuissance pour le caresser avec les orteils. Elle le masturbait avec tellement de facilité, elle pouvait à peine le sentir !! Il était si petit, si faible...

Lors d'un éclair de lucidité, Pauline s'aperçut que l'une de ses mains s'était glissée sous sa culotte. Elle fut à nouveau prise de panique, mais cette fois la sensation s'estompa presqu'aussi vite qu'elle était venue. Au contraire, elle ferma les yeux et profita de l'instant, se caressant les lèvres à l'idée d'avoir un petit homme à sa merci. Elle était déjà très humide, et elle savait que ce n'était pas sur le point d'aller en s'arrangeant. Doucement, elle inséra deux doigts en elle, s'arrachant un long soupir de plaisir alors qu'elle se cambrait et recroquevillait ses orteils sur le mini.

- "J'en peux plus !" s'exclama-t-elle en arrêtant de se caresser. Elle se pencha au-dessus du mini tout en retirant son pied de ce dernier. Il fut éblouit par l'arrivée soudaine de lumière, mais cela ne dura qu'une fraction de seconde. Déjà il était à nouveau plongé dans l'obscurité, à l'exception du fait que cette fois ce n'était pas le pied de Pauline qui venait de s'écraser sur lui. Il se sentit envelopper par quelque chose, et une odeur forte lui emplit les narines presque immédiatement. Une substance visqueuse et humide le toucha par endroit, et son cerveau assembla les pièces du puzzle en un instant. La cyprine qui l'entourait lui faisait déjà savoir où il se dirigeait.

Sans surprise, il fut directement jeté dans la culotte de la géante.

- "Je sais que je ne devrais pas faire ça, mais... Je t'ai déjà touché, alors à ton tour de me faire du bien !" annonça Pauline. Elle était essoufflée, et ses idées n'étaient plus claires. Elle ne savait plus trop ce qu'elle faisait. Tout ce qui comptait était désormais de calmer toute cette tension sexuelle, et le mini était là pour ça. Elle l'aimait beaucoup, mais il y avait des priorités.

Un peu à cran, lorsqu'elle ne le sentit pas se mettre à bouger, elle s'empressa de rendre le deal intéressant pour lui. "Allez, dépêche-toi ! J'en peux plus, je ferais tout ce que tu veux, mais dépêche toi. Lèche moi, touche moi, pénètre moi, je m'en fous mais fais quelque chose !"

Comme transporté par les supplication de son immense Déesse, le tout petit homme s'exécuta. Il commença par faire glisser ses mains contre les lèvres gonflées de Pauline. Son sexe était si grand comparé à lui, il pouvait facilement y entrer. D'ailleurs, c'est sûrement ce qu'il allait devoir faire, car après avoir plongé un bras et arraché un soupir de la part de la géante, il comprit qu'il allait falloir faire mieux. Pour commencer, il décida de garder un bras à l'intérieur d'elle, tout en amenant sa main libre au-dessus de sa tête. Là-haut, il ne tarda pas à trouver une perle de chair gorgée de sang. L'orbe rose était si douce qu'il rêvait d'y goûter. Et comme il était quelqu'un de simple, il réalisa son rêve. Se hissant sur la pointe des pieds, il commença par lécher l'immense clitoris de Pauline. La sensation était exquise pour l'un comme l'autre. À l'extérieur, il entendait la géante gémir de plus en plus en fort, tandis que son sexe à lui était plus tendu que jamais.

Dans un éclair d'excitation, il mordilla la perle de plaisir. Cela fit pousser un cri de surprise à Pauline, qui donna un puissant coup de bassin dans le vide. Michel fut bousculé, mais il retrouva vite ses sens, continuant ses actions pour apporter un maximum de plaisir à la géante. Il l'entendait gagner en excitation, mais il savait que ça ne suffirait pas. La stimulation n'était pas assez puissante, et il fallait profiter de cette phase ascendante pour procurer le plus de plaisir possible à la géante. De toute manière, lui même mourrait d'envie de plonger dans la géante.

C'est pourquoi, sans hésiter une seule seconde, il inséra une jambe entre les lèvres immenses auxquelles il était collé. Il s'apprêta à faire suivre le reste de son corps, lorsqu'un courant d'air de fraîcheur passa sur lui. Il leva les yeux au ciel juste à temps pour voir entre les doigts gigantesques de Pauline dans sa culotte. L'index vint immédiatement se poser contre son dos, et il lui imprégna un mouvement timide pour commencer. Mais, très vite, les va et viens de haut en bas s'intensifièrent, au point que les pieds de Michel décollaient régulièrement de son "sol".

Tout du long, la géante continuait de gémir. L'orgasme se construisait, lentement mais sûrement, et elle n'avait qu'à s'occuper de profiter.

- "Allez mon petit... Prends une grande inspiration." dit-elle entre deux souffles.

Il l'entendit très bien, et à peine eut-il le temps de le faire qu'il sentait son corps se faire appuyer contre l'entrejambe de sa partenaire. La pression augmenta, jusqu'à ce que que finalement les doigts libres de Pauline viennent écarter ses lèvres. Le passage élargi, il glissa dans le sexe sans trop de peine; son corps avait tellement été lubrifié depuis le temps qu'elle se caressait avec. Michel sentit une odeur encore plus forte l'envahir tandis que la chaleur et l'humidité grimpaient toutes deux en flèche. Mais il était bien. L'endroit était accueillant, et pénétrer l'intimité de Pauline de la sorte était un cadeau à ses yeux.

Quand à la géante, l'avoir senti glisser en elle avait presque suffi a la faire venir. Elle poussa une longue inspiration pour se calmer et essayer de reprendre ses esprits. Cela fonctionna à peine, elle se souvint juste de Michel, du visage qu'il avait et surtout de ses yeux plein d'adoration lorsqu'elle avait commencé à le dominer. Elle savait qu'il prenait un plaisir immense à lui servir, et ça valait mieux pour eux car ils n'étaient pas sur le point de s'arrêter en si bon chemin.

- "Oh putain..." lâcha-t-elle entre deux souffles. "Comme c'est bon... Tu es si bien là...". Au fur et à mesure qu'elle parlait, elle se sentait emportée par l'excitation. " Je crois que c'est ta place au final... Que ce soit dans ma main, dans ma bouche, sous mon pied... Ou même dans mon vagin... Tu m'appartiens maintenant... Je te protégerai pour toujours... " Pauline ne préparait pas ses phrases, elles lui venaient comme ça. Elle se découvrait elle-même à chaque mot prononcé, et c'est pourquoi elle fit le choix de se laisser continuer. "Je suis parfaite pour toi, si grande, si puissante... Et tu es juste ce qu'il me fallait pour affirmer la Déesse qui est en moi... Tu...-" Le rythme de ses doigts accélérait. Sa voix se coupait par moment, la chaleur montait tellement. "Tu es tellement petit, et fragile... Aussi petit que mon doigt... Bien plus faible que lui...". À ce point, Pauline savait qu'elle ne tiendrait plus très longtemps. Ses propres doigts faisaient des aller-retours en elle, tandis que Michel l'excitait depuis l'intérieur. Elle le sentait se tendre et donner des coups par moment, il se frottait contre ses parois, résistait à l'écrasante force de ses muscles vaginaux... C'était si bon ! " Oooh..."

Pauline commençait à se cambrer. À l'exception de son jean à peine baissé, elle était encore parfaitement habillée. Ses orteils se retractaient d'eux-mêmes alors qu'elle entrouvrait la bouche pour respirer chaudement. Ses yeux étaient fermés car elle était concentrée à s'imaginer la scène en gros plan. Elle le voyait en train de se faire bousculer par ses doigts immenses, entièrement submergé par ses sécrétions chaude et sucrées. Ses tout petits cheveux étaient ébouriffés, il se débattait comme il pouvait, partagé entre son instinct de survie et l'envie de satisfaire sa déesse. Comme l'image était belle, comme elle adorait cette idée... Elle était amoureuse de sa toute puissance et de tout le pouvoir qu'elle avait désormais.

- "Michel, je-... C'est trop booon...! Je-...". Elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle pourrait regretter, mais c'était maintenant plus fort qu'elle. Cette fois, tout ses muscles se contractèrent, et la décharge nerveuse qu'elle subit lui fit l'effet d'une bombe. Elle se mit à crier : "Je t'aime !!"

***

- "Je ne t'imaginais pas comme ça." Dit Michel calmement, depuis sa petite place tranquille. Après avoir fini ses petites affaires, Pauline l'avait retiré de son vagin puis déposé sur son ventre. Il était actuellement allongé sur son t-shirt, les bras croisés derrière la tête et les yeux dirigés vers le plafond. Ses jambes étaient quand à elles repliées, pour garder un minimum d'intimité maintenant que leur session était terminée.

- "Hein ?" Demanda Pauline, espérant avoir mal compris ce qu'il voulait dire.

- "Hé ben," reprit Michel, sur un ton plus blagueur, "Je ne t'imaginais pas dans ce délire là. Une Déesse... Rien que ça !"

- "Oh arrête !" s'exclama Pauline, gênée par son amusement. "Moi non plus je pensais pas que ça pouvait être aussi... Jouissif on va dire."

Michel rigola. C'était vraiment drôle de la voir passer d'un extrême à l'autre en si peu de temps. Mais ce qui était encore mieux, c'était de pouvoir parler avec elle de tout ça sans avoir à utiliser de filtre. "Oh, ne t'en fais pas. C'était tout aussi bon pour moi, et puis tu saurais que je mens si je te disais que je ne suis pas du tout dans le même délire. C'était fun."

La géante sourit soudainement, reprenant confiance en elle. "Ah ça oui, tu faisais pas le fier sous mon petit peton. Je savais que tu étais attiré par ça, mais de là à te soumettre à ce point... Un vrai petit toutou !" C'était au tour de Pauline de se moquer de lui.

- "Hé !" rétorqua le mini, faussement indigné. "Je ne suis pas ton toutou, on est amis je te rappelle !"

- "Ah bon ?"

...Un silence tomba.

La gigantesque brune ne dit rien pendant quelque temps. Étant donné que Michel ne parlait pas non plus, elle décida qu'il était temps d'être honnêtes avec eux-mêmes.

- "Je vais être franche avec toi... Je pense qu'il faut arrêter de croire qu'entre nous, il n'y a qu'une amitié banale."

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