A chance with a cougar (French !!) by dood07, littlemac
Summary:

Présentation faite par l'auteur : "N'ayant que très peu de succès avec les femmes, un jeune étudiant est rétréci par sa bosse, sexy et mature, qui est en quête d'une relation sérieuse pour combler le vide dans sa vie ainsi que tous ses autres besoins..."


Categories: Giantess, Mature (40-49), Feet, Gentle, Insertion, Maternal Characters: None
Growth: None
Shrink: Doll (12 in. to 6 in.), Dwarf (3 ft. to 5 ft.), Lilliputian (6 in. to 3 in.), Munchkin (2.9 ft. to 1 ft.)
Size Roles: F/m
Warnings: Following story may contain inappropriate material for certain audiences
Challenges: None
Series: None
Chapters: 12 Completed: No Word count: 16930 Read: 64182 Published: April 27 2015 Updated: May 14 2016
Story Notes:

Ceci n'est qu'une traduction, mais sentez-vous libre de laisser un ptit mot pour me faire savoir ce que vous en pensez, comme d'hab ;)

 

Disclaimer: All publicly recognizable characters, settings, etc. are the property of their respective owners. The original characters and plot are the property of the author. The author is in no way associated with the owners, creators, or producers of any media franchise. No copyright infringement is intended.

1. Chapitre 1 by dood07

2. Chapitre 2 by dood07

3. Chapitre 3 by dood07

4. Chapitre 4 by dood07

5. Chapitre 5 by dood07

6. Chapitre 6 by dood07

7. Chapitre 7 by dood07

8. Chapitre 8 by dood07

9. Chapitre 9 by dood07

10. Chapitre 10 by dood07

11. Chapitre 11 by dood07

12. Chapitre12 by dood07

Chapitre 1 by dood07

Je venais juste de terminer l'école et je me dirigeais vers le boulot. J'aimais bien être caissier à McClanahan's Fleet, une compagnie de magasins dans laquelle je travaillais pour pouvoir me payer mes études. Je venais de me trouver un boulot ici il y a quelques mois et je commençais donc tout juste à connaître les gens, ce qui rendait le travail beaucoup plus intéressant. La chose vraiment cool dans le fait de travailler à McClanahan's Fleet était qu'ils embauchaient des tonnes de très attirantes étudiantes. Et parce que j'avais la chance d'être caissier, je leur parlais pas mal. Malheureusement pour moi, je m'étais vite rendu compte que la plupart d'entre elles étaient déjà toutes prises.

Malgré le fait que chaque fille que je visais au boulot était en couple, j'avais l'impression d'en plus ne pas réussir avec celles à l'université. C'est ce à quoi je réfléchissais en arrivant dans le parking pour employés. Même si c'était déconcertant, je décidais que ce n'étais pas si dérangeant que ça - je ne m'attendais pas vraiment à une relation sérieuse de toute façon. Ça serait quelque chose de bien pour passer le temps, mais au final je pouvais m'en sortir sans elles. En réalité j'étais un homme exclu. J'aimais la compagnie des femmes et je le savais. Donc je me mentais, et je faisais de mon mieux pour me convaincre que je n'étais pas seul.

Je ferma ma voiture à clé et pénétra dans le magasin. Entrant joyeusement dans la salle de repos des employés, je vis que j'arrivais pile à l'heure et me dirigea vers l'étage inférieur.

Alors que je me dépêchais pour être assigné à une caisse, j'entra en collision avec ma chef, Diane Pritchard. Diane était une très jolie femme, grande avec une forte poitrine. Elle avait l'air d'avoir trente ou trente cinq ans, mais je savais qu'elle avait probablement plus de quarante ans. Diane n'était pas une manageuse, mais c'est elle qui dirigeait la partie "caissiers", donc elle était en quelque sorte ma patronne. Pourtant, elle était si sympathique avec moi que je ne me sentais jamais particulièrement stressé quand elle était là. Elle avait avec elle son carnet et elle jeta un coup d'oeil par dessus ses lunettes et me sourit.

"Salut Joe, contente de te voir." me dit-elle.

Je fesais partie des quelques caissiers qui parlaient avec Diane. Elle avait l'air de l'apprécier, et venait souvent me voir quand il ne se passait pas grand chose pour discuter avec moi.

"Hey Diane. Tu travailles au rez-de-chaussée aujourd'hui ?" Si elle y travaillait ça signifiait que j'allais beaucoup la voir en train de régler des soucis de caisse durant la journée.

"Tu le sais, bien sûr." me dit-elle heureuse, comme si elle aussi savait qu'on allait se parler jusqu'à tard le soir.

"Ça embellit ma journée." Au premier coup d'oeil on pourrait croire que je suis lèche-cul, mais je pensais vraiment ce que je disais. À force de n'aller nulle part avec les femmes de mon âge, c'était agréable d'avoir un peu de compagnie féminine.

Elle sourit et rougit légèrement. "Ooh merci mon chou.. Tu seras à la 12 aujourd'hui." Elle me pointa la caisse à laquelle j'étais assigné et se replongea dans ses notes.

J'alluma donc ma machine ainsi que la lumière de ma voie et attaqua le boulot. J'ai toujours pensé que par rapport aux autres caissiers de mon âge j'ai toujours eu plutôt pas mal de travail. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle Diane et moi avons commencé notre amitié - elle avait remarqué mon assiduité et m'avait félicité. À partir de là nous avons développé une relation amicale qui s'est améliorée au cours du temps. C'était étrange de penser que j'étais ami avec une femme qui avait environ deux fois mon âge, mais je l'étais.

Il y eut beaucoup de boulot ce matin, et j'eu des clients quasiment constamment. Un homme paya avec un très gros chèque, ce qui demandait d'appeler un supérieur pour vérifier, j'ai donc appelé Diane pour le faire.

Je la regardais s'approcher de ma caisse et entrer dans la voie. Elle se pencha en avant et commença la procédure pour inspecter le chèque, histoire d'être sûre qu'il n'était pas faux. Diaboliquement, je laissa mes yeux jeter un coup d'oeil à sa poitrine, pour voir si elle l'avait exposée un peu. Je fus surpris de m'apercevoir que c'était le cas, ses deux seins pendaient fermement, me montrant une très jolie vallée juste entre eux. Je resta absorbé par la vue de la poitrine de cette femme mature et l'apprécia réellement.

Diane termina et me passa le chèque, je fis donc attention à ne pas être remarqué en train de la regarder. Je récupéra le chèque et la remercia.

Au cours de la journée j'eu régulièrement besoin de l'appeler. J'en profitais donc honteusement pour regarder son corps à chaque fois qu'elle était occupée. Elle était vraiment sexy, avec ses cheveux d'un blond magnifique, ses yeux verts et ses ongles d'un très joli rose. Cependant, au bout d'un moment je commençais à me sentir coupable : Diane avait probablement 20 ans de plus que moi. Je ne pense pas qu'elle apprécierait découvrir le genre d'attention que je lui porte. En fait je savais que je me comportais en pervers, et ma culpabilité commençait à s'éveiller. Pourtant je n'étais qu'un simple garçon tout seul, qui venait soudainement de réaliser à quel point sa boss était attirante. Mais je décida finalement d'arrêter de la mater, ce serait quelque chose de bien plus respectueux.

La vague de clients se termina peu après, et la nuit commença à pointer le bout de son nez. Une femme âgée vint à ma caisse avec de gros sacs de nourriture pour oiseaux. Elle avait besoin d'aide pour les soulever de son caddie car elle les avait placé tout en bas.

Ce n'était pas un gros problème, alors je sortis de ma case et me pencha pour pouvoir biper les produits. Et là arriva la chose - entre les caisses se trouvaient des miroirs pour pouvoir voir ce qu'il y avait dans le compartiment bas du caddie, histoire d'attraper les voleurs. Lorsque je me pencha, mon regard se posa sur les miroirs et je pu voir ce qui se passait dans mon dos.

Quelle fut ma surprise lorsque je vis Diane marcher comme si de rien n'était. Elle me regardait du coin de l'oeil, s'arrêta, et me fixa. Je pouvais dire qu'elle ne savait pas que je la voyais, et le regard qu'elle m'accordait était immanquable : elle était réellement en train de me mater. Je ne savais pas comment me sentir, plutôt violé ou plutôt complimenté. Je suppose que j'avais juste à prendre ce qu'elle me donnait.

Je continua mon travail comme si rien ne s'était passé. En revanche, je me résolu à surveiller Diane Pritchard dans le futur. Une partie de moi était fier qu'une femme avait enfin pensé que j'étais quelqu'un de beau à regarder.

 

Chapitre 2 by dood07

Ce soir-là Diane et moi parlèrent jusqu'à la fin de mon service. Ce n'était qu'une discussion banale, rien de bien important. Je me suis retenu de lui demander si elle était mariée, elle ne portait pas d'anneau et les autres l'appelaient mademoiselle Pritchard, donc je supposais qu'elle ne l'était pas. Pourtant vu son âge et son physique, je trouvais ça difficile de l'imaginer seule. Cependant, j'étais totalement irréaliste de penser à quelque relation romantique que ce soit avec elle - elle était bien plus vieille que moi et surtout bien mieux classée que moi dans la catégorie "physique". Mais je l'avais pourtant vue m'examiner, et elle avait l'air vraiment intéressée. Ça lui plaisait clairement de parler avec moi, et elle semblait vraiment faire la démarche pour venir me voir. Peut-être était-elle attirée par moi au final ? Ce n'était pas important. Il fallait que je reste professionnel, elle avait le double de mon âge et voyait très sûrement quelqu'un en dehors du boulot. Mais ça ne m'empêchait pas d'avoir des pensées osées, même si elle était simplement hors d'atteinte pour moi dans la vraie vie.

Alors que nous nous éloignions l'un de l'autre, je pensais de plus en plus à elle. Je ne pouvais la faire sortir de mon esprit. Je déposa la caisse tard le soir, ferma, et me dirigea chez moi.

Sur le chemin, je me souvins que je n'avais plus de mousse rasante ni de shampoing. J'épia donc l'endroit cible et décida de m'y arrêter. Il fallait d'ailleurs que je prenne une pizza ou quoi pour le dîner.

Je me déplaça donc dans le magasin en attrapant les choses dont j'avais besoin. Lorsque je me dirigea vers les caisses, j'entendis une voix féminine que je connaissais. J'alla voir et je découvris que c'était Diane, et elle téléphonait avec quelqu'un.

Je me glissa dans la caisse voisine, en faisant gaffe qu'elle ne me remarque pas. Je n'avais pas trop envie de rencontrer ma boss en dehors de mes heures de boulot. De plus, j'avais des devoirs à faire et je ne voulais donc pas trop traîner. Enfin, je ne souhaitais pas avoir l'air d'espionner sa conversation. La caissier bipa mes produits.
En revanche le fait d'être juste à côté d'elle faisait que j'entendais ce qu'elle disait : elle avait l'air de parler à une amie proche. J'attrappa quelques extraits de la conversation qui m'intéressèrent.

"Oh oui tu sais ça a vraiment été très dur pour moi, la maison est toujours vide."

"Non, j'en suis sûre. Évidemment. Oui, c'était il y a 16 ans. Tu as raison."

"Eh bien je me débrouille, Joanne. J'apprécie vraiment que tu t'en souviennes tu sais. C'est tellement gentil à toi de penser à moi."

"Non, je ne vois personne. Il y a bien quelques hommes qui m'intéressent, mais je suis pas convaincue. Je ne sais pas si je peux faire le premier pas."

"C'est vrai, je devrais tenter le coup. Ouais."

C'était difficile de comprendre exactement de quoi elles parlaient, mais d'après ce que j'entendais Diane avait souffert d'une perte importante. Sûrement était-ce une de ses amies qui l'avait appelé pour l'anniversaire de la mort de son fiancé et l'encourageait à s'engager dans une nouvelle relation.

Je me sentais très mal. Je ne savais pas que Diane était veuve depuis 16 ans. Ce n'était donc pas étonnant qu'elle vienne souvent me parler - elle devait être vraiment seule. Je voulais faire quelque chose pour elle, en tant qu'ami.

Elle raccrocha et attrapa ses affaires, puis se dirigea vers la sortie. Je termina de payer et m'éclipsa discrètement dans son ombre, pour la suivre sans faire de bruit. Dès qu'elle sortit du magasin elle prit directement à gauche et s'écroula sur un banc, anéantie.

Je m'assis sur un banc pas très loin et attendis qu'elle termine de pleurer. Clairement, elle était encore en plein deuil, et je me sentais obligé de l'aider. En fait, je pensais même en être capable. Aussi étrange que ce soit, sa solitude me rappelait MA solitude.

Je patienta donc jusqu'à ce qu'elle reprenne contrôle d'elle-même. Je savais ce que je devais faire. Tel un Casanova, je me lança à sa "rescousse".

"Coucou Diane.." Étrangement, je me sentais plutôt à l'aise. A chaque fois que je parlais avec des filles plus jeunes j'avais toujours cette sensation de malaise qui émanait de ma timidité. Par contre, dans ce moment précis les bons mots me parvenaient facilement. C'était vraiment bizarre, puisque que je ne devrais pas me sentir aussi bien dans ce genre de situation, mais à ce point je m'en fichais.

Elle masquait son visage dans ses mains, et ne m'avait même pas remarqué. "Que...? Qui est là ?" demanda-t-elle en reniflant.

"C'est moi, Joe. Du boulot."

"Oh." Elle essaya de se cacher en se retournant. "Je suis désolée que tu aies à me voir comme ça Joe."

Je posa mon bras sur son épaule. "C'est bon Diane. Je vois que tu n'es pas dans ton assiette, pourquoi ne pas m'en parler ? Je suis sûr que tu te sentirais mieux."

Au début elle refusa en maintenant que ce n'était pas grand chose. Une fois que j'eu réussi à l'amadouer, elle commença à parler. Elle m'expliqua que c'était l'anniversaire de la mort de son fiancé, le seizième. Je l'écoutais attentivement. Elle me dit que son amie l'avait appelée, et que ça lui faisait plaisir que quelqu'un pense à elle. Je fis de mon mieux pour la réconforter. En un rien de temps j'avais réussi à la faire penser à d'autres choses, tout ce qui concernait son futur et qui l'attendait encore.

Son état d'esprit s'était franchement amélioré. J'appréciais parler avec elle, et écouter tout ce qu'elle avait à dire. Finalement, j'escortais Diane jusqu'à sa voiture, qui était sur le parking. Diane pleurnichait légèrement quand on marchait, mais semblait regagner confiance en elle. Je pense que l'air frais lui faisait bien, la nuit venait tout juste de tomber et donc l'air était rafraîchissant.

Elle se dirigea vers sa voiture en la pointant, et nous nous en rapprochions. Je me sentais horriblement mal. Elle était là, une magnifique femme sans personne dans sa vie. Je réalisais qu'elle n'avait jamais vraiment recouvert de cette perte. Elle était très attirante, donc je lui dis qu'elle ne devrait pas avoir de soucis pour trouver de compagnon. Elle prit bien ma remarque, et semblait s'illuminait un peu.

Notre rencontre atteignait un point bizarre lorsque je me demandais quoi faire une fois arrivé à sa voiture. En un instant elle allait disparaître et la prochaine fois que je la verrais serait au boulot. Ce n'était pas vraiment un moyen génial de terminer cette conversation. Je savais ce que je devais faire.

Quand elle se retourna pour ouvrir la porte de sa voiture, je posa ma main sur son épaule. "Hey Diane, ça ne me dérange pas de te tenir compagnie un peu plus longtemps, si ça te va. Il est encore assez tôt, et je détesterais te voir rentrer seule dans cet état."

Elle s'approcha pour faire un câlin, ses yeux en larme rayonnaient alors qu'elle me serrait dans ses bras.

"Ooh merci ! J'adorerais tu sais. Tu es si mignon, Joe." Je ne pouvais m'empêcher de sentir ses seins impressionnants contre moi. Je savais que ça m'excitait, mais j'étais déterminé à faire ça pour elle. Je me redressa donc -je n'allais pas laisser mon "deuxième cerveau" dicter mes actions ce soir.

"Joe, j'ai une idée merveilleuse." proposa-t-elle subitement, terminant notre câlin mais en me tenant toujours par les bras. "Pourquoi ne viendrais-tu pas chez moi, je te ferais quelque chose à manger ! Ça fait si longtemps que je n'ai eu personne à qui cuisiner ! S'il te plaît Joe ?"

"Je devrais pouvoir faire ça." Je n'avais vraiment rien d'autre à faire.

Elle rigola comme une petite fille, et déverrouilla les portières de sa voiture. "Allez, rentre !"

 

Chapitre 3 by dood07
Author's Notes:

Sorry pour l'attente, la faute aux partiels ! ^^

Bonne lecture !

Son comportement avait totalement changé, comme quelqu'un qui avait enfin redonné un sens à sa vie. Soudainement, elle avait quelque chose qui l'excitait, et ça me faisait plaisir de la voir heureuse. Je m'installa sur le siège passager.

Sur le chemin vers sa maison, toute agitée, elle discuta de notre dîner. Elle me posa toute sorte de question sur mes goûts, ce que j'aimais ou non. Toute cette conversation me faisait vibrer, étrangement. C'était comme si j'étais à un rendez-vous avec une jeune fille, et qu'elle allait cuisiner pour moi pour la première fois. En même temps, d'un autre côté, c'était comme discuter avec ma mère au sujet du dîner. Diane comportait une certaine maternité en elle, mais gardait aussi cet aspect de jeune fille. Je mentirais si je disais que je ne trouvais pas ça incroyablement sexy.

Du temps qu'on arrive à sa petite maison, nous nous étions mis d'accord sur le fait que j'aimais les steaks et les frites avec des biscuits. Je l'aida à porter les sacs, et elle me pressa dans sa maison.

C'était sympa, presque pittoresque. Au premier regard on pouvait dire que c'était habité par une seule personne. La plupart des pièces semblaient être peintes d'un jaune soleil ou rose clair, et il y avait pas mal d'espace vide, mais c'était très propre. Ce n'était pas une très grande maison, mais j'étais impressionné.

"Tu as une maison charmante Diane."

Elle souria fièrement, et me montra la cuisine. "Assis-toi, fais comme chez toi ! Tu veux quelque chose à boire ?" Elle ouvrit le frigo. "Tu veux une bière ?"

Je vis qu'elle avait quelques canettes de Miller Lite. Au début je pensais refuser, je ne me sentais pas consommer aucun alcool que ce soit, même pas une petite bière, ce dont je n'étais d'ailleurs pas un grand fan. Cependant, tout cela était pour elle, donc je finis par me dire qu'une canette n'allait pas me tuer. En plus, je savais qu'elle voulait que j'en prenne une.

"Oui, ce serait gentil." Elle ouvrit la bière et me la tendit, je l'accepta avec plaisir.

"Et bien, je vais monter tout ça là-haut, et après je commencerai le dîner ! Ce ne sera pas long !" Diane récupéra ses sacs et se dépêcha à l'étage d'au-dessus.

Elle devait être tellement seule. On aurait presque dit qu'elle était transcendée par le fait d'avoir quelqu'un à qui parler. En vérité, j'étais heureux d'avoir quelqu'un à qui parler moi aussi.

Je l'entendis faire du bruit, claquer des portes de placard. Elle était sûrement en train de se changer.

Mes pensées s'en allèrent alors que j'imaginais Diane se déshabiller. Je me la suis toujours imaginée porter de la lingerie blanche. Mon membre tirait un peu lorsque que je pensais à ses parties féminines. Pour une femme plus âgée, j'étais impressionné à quel point elle pouvait m'enflammer. Plus j'apprenais à la connaître, plus intoxicante elle devenait.

Je l'entendis se déplacer, comme pour aller dans sa salle de bain. Elle devait être en train de se préparer. Je pensa un peu plus à Diane, en m'amusant un peu alors que je buvais ma bière. Diane ne serait pas intéressée par quelqu'un d'aussi jeune que moi, n'est-ce pas ? J'étais sûrement suffisamment jeune pour être son fils. Cependant, Diane n'avait sûrement pas d'enfants...

Un placard de pharmacie se referma, et Diane se précipita en bas. Je ne devrais pas penser à elle comme ça ! Je me souvins la raison pour laquelle j'étais là -cette soirée était sensé être pour elle.

Elle entra dans la cuisine, et me coupa le souffle. Je pouvais voir qu'elle avait choisi une jupe et un joli haut, et elle portait de petits talons. Elle s'était aussi un peu maquillée. Je ne pouvais m'empêcher de remarquer qu'elle s'était plus appliquée à être attirante que nécessaire pour une rencontre banale comme ce soir. Cette femme était définitivement seule.

Elle flasha un sourire mignon, puis sortit quelques steaks du congélateur et les plaça dans le micro-ondes pour les dégeler.

"Tu es ravissante ce soir Diane." la complimentais-je sincèrement. Elle était vraiment belle.

"Oh, merci. Je fais ce que je peux."

"Est-ce que t'as besoin d'aide pour quelque chose, je peux éplucher les pommes de terre si tu veux."

"Ce serait gentil !" Elle m'expliqua ensuite où se elles se trouvaient à l'intérieur de la cave. Je m'y rendis et trouva rapidement le sac de patates. J'en attrapa quelques unes et retourna en-haut.

Nous parlâmes un peu alors que j'épluchais les patates. Diane prit aussi une bière. Une fois encore, je remarqua mieux sa silhouette. En la regardant préparer les biscuits, je me rendis compte qu'elle avait de magnifiques hanches, un beau petit cul, et des seins succulents. Ses cheveux blonds à longueur d'épaules étaient lumineux avec beaucoup de volume, et ils bouclaient légèrement au bout. Une fois maquillée elle semblait vraiment beaucoup plus jeune, et je ne pouvais me retenir de l'observer.

Je m’aperçus que je regardais ses fesses trop longtemps quand elle se retourna et me vit. Je prétendis retourner à l'épluchage, mais je pense qu'elle savait. Elle semblait prendre le silencieux compliment plutôt bien. Pour me couvrir je pris une gorgée de bière. Elle avait d'ailleurs un goût étrange, mais ça venait sûrement du fait que c'était une bière "light".

Ce ne fut pas long avant que Diane termine le dîner. C'était une cuisinière talentueuse. Pendant le repas nous parlâmes d'une grande variété de choses. J'essayais de garder la conversation à son sujet, mais elle semblait être bien plus intéressée par ce que j'avais à raconter. C'était comme si elle cherchait un moyen de me demander quelque chose. Finalement, la curiosité a du l'emporter sur sa patience puisqu'elle me demanda directement : "Est-ce que tu es avec quelqu'un Joe ?"

La question était assez déstabilisante. Elle me rapporta aux pensées que j'avais eues de Diane possiblement intéressée par moi d'un point de vue romantique. Même si les chances semblaient s'agrandir, c'était aussi possible qu'elle soit simplement curieuse. Quand bien même, je devais la jouer tranquille, je ne voulais pas paraître ennuyeux.

"Pas du tout." admettais-je "J'ai à vrai dire assez de mal pour trouver quelqu'un en ce moment."

Je me concentrais franchement sur elle, essayant de jauger ses réactions. Elle semblait étrangement satisfaite.

"Comme c'est dommage ! J'aurais penser que les filles se jetteraient toutes sur un garçon aussi gentil que toi."

Je pris une autre gorgée de bière. "Non. Je profite juste d'être seul pour l'instant, je suppose."

"Et bien je vais te dire jeune homme, il faut persister ! Tu as des tonnes de qualités que les femmes adorent, crois-moi." Elle prit ma main et regarda profondément dans mes yeux.

Elle avait de magnifiques yeux verts, grands et expressifs. Elle avait un regard à la fois affamé et calme. Je pouvais avancer qu'elle était vraiment seule, et qu'elle recherchait de la compagnie masculine.

Elle se déplaça de l'autre côté de la table et commença à caresser ma main, gentiment. Ses yeux me suppliaient. Je commençais à me sentir un peu mal à l'aise, elle était en train de m'envoyer un clair message de ses intentions.

Pour un long moment, j'étais juste perdu dans son regard. Devant moi se tenait une femme certainement assez âgée pour être ma mère, et elle était aussi ma boss en quelques sortes. Mais en même temps elle était tellement attractive, et elle me désirait clairement de la pire manière qui soit. Mon esprit se balançait entre ces deux pensées.

Je n'allais nul part avec les filles de toute façon. Qu'est-ce que j'avais à perdre ? J'étais très clairement attiré par cette femme.

D'un autre côté, comment faire si Diane s'attendait à une relation sérieuse ? Serais-je capable de lui assurer ? Non. Mais je ne voulais pas passer pour un connard qui se la faisait le temps d'une nuit et bail.

Et puis pourquoi chercherait-elle une relation sérieuse ? Ne rends pas tout ça plus gros que ça l'est déjà ! Fonce simplement ! Tu n'auras qu'une seule chance, c'est certain.

J'attrapa donc sa main avec mon autre main, et la caressa doucement. Diane sourit timidement. Je savais qu'elle avait planifié tout ça depuis le début, mais elle devait être surprise de me voir accepter son avance. Je l'entendis retirer ses talons sous la table.

"On devrait peut-être monter à l'étage," dit-elle doucement. "On pourrait faire un peu plus connaissance.."

Je me leva. Diane se retourna et marcha séductivement en direction des escaliers, dans l'ombre. Elle ne s'embêta même pas à allumer les lumières en passant.

Oh mon Dieu. Il était temps. Mon coeur battait très fort, mon esprit frappait. Allais-je vraiment faire ça ? Je siphonna le reste de ma bière et essaya de clarifier mes pensées. Oui. Oui j'allais le faire. J'étais sur le point d'avoir du sexe avec Diane !

 

Chapitre 4 by dood07
Author's Notes:

Sorry pour l'attente, voici la suite ! Bonne lecture !! :D

J'attendis quelques secondes pour qu'elle s'apprête, puis la suivis vers l'étage. Une fois au second étage, je vis la porte de sa chambre ouverte, et une petite lumière de lampe de chevet illuminait le cadre. En avalant ma salive, j'entra.

Diane était étendue sur la couette, une véritable Déesse, la Beauté incarnée. Elle avait déjà retiré ses lunettes, tout comme son haut. Je regarda son soutient-gorge blanc, tiré à la limite de ses capacités par sa magnifique poitrine. Elle était sensuellement en train de se caresser l'intérieur de la cuisse, puis bougea son doigt d'une manière à dire "Viens là".

Je n'arrivais toujours pas à réaliser que ça arrivait. Je ne perdis pas plus de temps et m'approcha au bord du lit.

Je m'assis et retira mes chaussettes alors que Diane se rapprochait de moi. Elle m'enlaça de par derrière, faisant glisser ses mains de haut en bas sur mon torse en me susurrant "Tu vas avoir besoin de faire tomber ce tee-shirt.."

Elle n'attendit pas ma réponse. Ses mains se dirigèrent plein sud, attrapant mon haut et me l'enlevant par la même occasion. Une fois qu'elle eut terminé elle le jeta sur le bord en rigolant. Elle était vraiment en train d'apprécier de jouer le rôle de dominante.

Elle me tira sur le lit pour que je me couche avec elle. Elle n'arrivait pas à garder ses mains et les faisait glisser sur mon torse, puis mon cou.. Je posa énergiquement mes mains sur ses hanches et l'approcha de moi. Elle expira chaudement, jetant sa jambe autour des miennes. Sa main passa immédiatement ma ceinture, sous mon caleçon, jusqu'à atteindre son objectif. Elle me massa avec une main, attrapant mon membre à pleine main et en le serrant, pendant que son autre main défaisait ma ceinture.

"Je te veux nu, maintenant !"

Je la laissa simplement continuer, tout en travaillant sur son soutif. Finalement, je réussis à libérer ses seins de leur prison. Ils explosèrent librement, gros et fermes. Ses tétons pointaient déjà, et elle laissa échappa un petit bruit surpris lorsque sa poitrine fut enfin libre.

A ce point, elle avait complètement retiré mon pantalon et mon caleçon. Une main se posa sur mes fesses nues, m'approchant encore plus d'elle et permettant à mon membre enfin libre d'appuyer contre son bas. Je la regardais faire courir son autre main de manière affamée sur moi, avec ses ongles roses et ses doigts qui exploraient chaque parcelle de mon torse.

J'attrapa ses fesses, retirant sa jupe assez facilement. Elle la balança de l'autre côté de la chambre. Nous étions tous les deux nus, et la température montait de plus en plus en vite. Ma tête tournait.

Mais Diane ne m'offrit pas le luxe de réfléchir, elle m'embrassa rapidement en me prenant complètement. Ses douces lèvres embrassèrent les miennes, sa main libre caressant mon sexe très rapidement. Elle roula sur moi, me soumettant à sa poitrine gigantesque alors que ses seins étaient pressés contre moi. Elle continua à m'embrasser, comme si elle en était malade.

Quand elle fut satisfaite de la condition de mon sexe elle se déplaça rapidement, se plaçant au-dessus de moi. Elle laissa le poids de son corps m'envelopper complètement, son vagin glissant de plus en plus bas. Je n'arrivais pas à croire que je venais tout juste de la pénétrer ! Elle lança sa tête en arrière et gémit sous l'extase, j'en profitais pour lui embrasser le cou.

Ses hanches commencèrent à travailler presque immédiatement, et elle laissa enfin son poids entier reposer sur chacun de ses mouvements. Je pouvais sentir son humide chaleur, mon pénis glissant agréablement au fond de son vagin. Elle commença à respirer de plus en plus fort, se laissant emporter par le plaisir. Cette femme plus âgée, et bien plus mature que moi, me prenait complètement, choisissant de se laisser satisfaire par un jeune homme. Je savais que j'avais besoin de la délivrer.

Je m'enfonçais profondément, en faisant de mon mieux pour rendre à Diane ce qu'elle m'offrait, coup pour coup. A chaque fois que je me sentais approcher son tempo, elle augmentait sa vitesse, perdue dans les méandres de l'extase. Son sexe humidifiait mon membre et mon bas ventre de ses fluides. Elle me sourit démoniaquement alors que son orgasme commençait. Elle s'enfonça une dernière fois, se penchant en arrière et retenant mon pénis profondément en elle. En mordant sa lèvre inférieure, elle éjacula sur moi, ses lèvres vaginales tremblantes.

"Oh... OH..." Elle profitait son orgasme. Ses seins montaient et redescendaient alors qu'elle essayait de regagner son souffle. On aurait dit que ça lui avait pris beaucoup d'énergie, son visage magnifique était rouge, et ses paupières avaient un aspect fatigué, comme si elle allait s'endormir.

Je l'approcha de moi et l'embrassa tendrement. J'étais soulagé de ne pas avoir encore atteint l'orgasme, elle était complètement fatiguée et satisfaite. Je me sentais fier d'avoir accompli mon objectif : lui faire plaisir ce soir.

Convaincu qu'elle avait terminé, je commençais à me retirer d'elle. Elle m’attrapa rapidement les fesses avec ses deux mains, plongeant de nouveau mon membre dans son sexe.

"Non !" S'exclama-t-elle d'une voix désespérée. "Je n'ai pas fini !"

Elle m'appuya donc de nouveau au fond de son lit et s'assit sur moi, me bloquant. Son regard descendit séductivement sur moi, et elle commença les va et viens avec ses hanches, laissant ses mains parcourir ses seins. Elle s'amusa avec ses tétons, ses ongles roses les comprimant avec hardeur. Je pouvais dire qu'elle éprouvait beaucoup de plaisir, et qu'elle appréciait se sentir de nouveau jeune. Je la pénétrais de plus en plus fort, et elle s'enragea, griffant mon torse désespérément.

"Je te veux, tellement.. Je veux que tu sois à moi." Elle apporta ses lèvres autour des miennes, ne me laissant pas le temps de répondre. Ses hanches poursuivaient leurs mouvements libérateurs.

Elle termina son baiser, et plaça ma tête entre ses deux seins. Posséssivement, elle attrapa toutes les parties de mon corps les unes après les autres, comme si elle essayait de m’engloutir. Je la laissais faire ce qu'elle voulait, d'un autre côté je n'étais pas franchement sûr d'avoir le choix. Une femme dans cet état avait pas mal de force, et Diane ne faisait pas exception.

Elle était déterminée à complètement dominer mon corps, m'étouffant entre ses seins et s'enfonçant profondément avec ses hanches. Elle se laissait juste aller; perdue quelque part dans le septième ciel. En toute honnêteté, je commençais à avoir du mal à tenir le coup, et nous eurent tous les deux de puissants orgasmes quasiment en même temps.

Diane se laissa tomber en avant, enfouissant ma tête une bonne fois pour toute entre ses seins alors que je crachais tout ce que j'avais dans son sexe. Elle soufflait avec force, heureuse de recevoir tout ce que j'avais à lui offrir. Une fois que j'eu terminé, je fus atteint d'un léger malaise, comme une grosse chute de tension pendant quelques minutes.

C'était la session sexuelle la plus gratifiante de toute ma vie. Diane était bien plus sexy que toutes les filles avec qui j'avais eu des relations, et c'était une femme mature, dans tous les sens du terme. Elle me désirait plus que tout au monde, et elle avait eu suffisamment de confiance en elle pour tenter le coup avec le jeune étudiant que j'étais. Il y avait quelque chose d'incroyablement puissant avec une femme comme elle, et c'est ce qui faisait la différence sous la couette.

Elle s'étira puis nous déposa la couverture dessus. Elle me garda bloqué sous elle jusqu'à ce que ce fut terminé puis roula sur le côté, me tenant toujours fermement contre son corps.

"Tu vas passer la nuit avec moi. Je sais que tu en as envie."

"Je... Ah bon..?" Est-ce qu'elle avait raison ? Je n'avais vraiment rien de prévu pour demain de toute façon.

"Oui. Et tu vas continuer à en passer encore beaucoup.." Diane chuchota doucement.

Wow.. J'aimais ce qu'elle disait. C'était la meilleure nuit de ma vie, sans doute possible.

Diane m'enlaça de ses bras forts, m'approchant encore plus d'elle et je succombais doucement. La douce peau de son sein était confortable et invitante, et je m'endormis rapidement, bercé par son coeur.

 

End Notes:

On le sent approcher.. ça va être intéressant !! x)

Chapitre 5 by dood07

Le matin arriva, et une lumière dorée traversait les volets de la chambre. Je me réveilla lorsque je sentis Diane bouger, faisant gentiment glisser ses mains dans mes cheveux. C'était vraiment agréable, sur un plan physique et émotionnel. C'était bien de se sentir désiré à nouveau, et cette femme voulait vraiment tout ce que j'avais à lui offrir. Je pris donc le temps de profiter de ce merveilleux moment.

Elle continua à me caresser, puis posa une énorme jambe sur moi, tout en glissant un bras sous moi. Je pouvais sentir de la chaleur émaner depuis sa cuisse nue, et sa peau frottait à la mienne. Mon Dieu, sa jambe semblait si lourde sur la mienne, et ses parties privées commençaient à chauffer de plus en plus. Est-ce qu'elle veut une session de sexe matinal ? Rien n'allait rassasier cette femme ?"

Ses mains caressèrent mon bras de haut en bas, s'aventurant parfois plus bas pour caresser mon entrejambe pendant quelques secondes. Sans aucune raison, je ressentis le besoin de garder mes yeux fermés. Elle allait devoir travailler un peu avant de me faire partir cette fois, et j'étais curieux de voir jusqu'à où elle allait aller. Je fis semblant d'être encore endormi. Si elle me voulait il allait falloir qu'elle vienne me chercher.

Mon pénis trahissait mes actions, alors que je me sentais devenir de plus excité suite à ses efforts. Mon membre trahisseur grossissait doucement sur ma jambe. La sensation des doux poils pubiens de Diane contre mes fesses ne m'aidait en rien, son entrejambe brûlant comme un brasier. Elle commença à se frotter contre moi, histoire de tester ma réaction.

Je fus surpris lorsqu'elle me retourna sur le dos. Ses actions étaient un peu rudes, alors qu'elle déplaçait mon corps entier et monta simplement sur moi.

Quelque chose n'allait vraiment pas ! Mes yeux s'écarquillèrent, et je fus sujet à une vue spectaculaire.

Diane était géante, facilement deux fois ma taille ! Elle était assise sur moi, m'écrasant tout en faisant attention de ne pas laisser tout son poids reposer sur moi. Elle remarqua que j'étais réveillé et me sourit de manière sexy, comme si elle savait depuis le début.

Je m'absenta, alors que mon cerveau était incapable d'intégrer ce qui se passait. Ça m'effrayait, et je me sentis commencer à paniquer. Le corps massif de Diane s'étendait au-dessus de moi, ses seins à la taille de ballons de basket sursautant de manière menaçante lorsqu'elle expirait.

"Je te veux Joe. Maintenant."

Je ne savais pas quoi dire, mais ça ne comptait absolument pas alors qu'elle prenait mon pénis entre ses doigts. Je regarda avec horreur alors que mon pénis se faisait ridiculiser par ses, désormais, énormes mains. Je me sentais si petit et complètement surpassé en sa présence que je ne trouvais pas de mots pour m'exprimer. Je voulais crier, dire "non", mais elle prit mon membre entre son pouce et son index. Ses doigts se mettaient en action doucement, en prenant attention à ne pas m'abîmer.

Alors que je regardais, elle m'amena avec expertise à l'érection juste avec ses doigts. Pour une femme si massive, elle savait comment s'occuper d'un pénis, en exerçant la parfaite pression et force. Ses énormes ongles roses griffaient gentiment mes boules et mon sexe, et mon pénis se dressa d'un coup, dur et prêt à l'action.

Tout en me gardant coincé sous elle, elle apporta son sexe au-dessus de mon gland. J'étais transporté par l'extase lorsque je sentis mon gland caresser ses poils pubiens, avant de plonger profondément dans les entrailles de son vagin chaud et humide. Ses puissantes phéromones féminines emplissèrent mes narines, et Diane soupira sauvagement sous l'effet de ma pénétration.

Cependant, je réussis finalement à reprendre contrôle de moi. Je savais que sur le principe elle me violait à ce point, mais j'étais tellement choqué par sa taille que j'avais encore du mal à comprendre ce qui m'arrivait.

"N-non..." Réussis-je finalement à bégayer.

"Shhhshhhshhh..." Diane me tut alors qu'elle commençait ses mouvements de bassin. "Tu en as envie, c'est bon, crois-moi Joe."

Je ne lui faisais pas confiance. J'essaya de m'échapper. Elle allait m'écraser ! Je m'effraya en un rien de temps. Sa chatte affamée avalait mon membre entier sans aucun soucis, et je pouvais sentir mon petit gland frapper directement dans son point G.

Diane me bloqua facilement en attrapant mes épaules et en s'installant sur moi. Son poids m'enfonça dans le matelas, et je me faisais doucement écraser. Elle approcha son visage du mien, et ses cheveux tombèrent sur moi.

"Tout va bien chéri, tout va bien," elle s'arrêta, "Je ne vais pas te blesser. Je ne vais pas te blesser..." Sa voix essayait de me calmer, douce et gentille, alors qu'elle me regardait et continuait à sourire.

Je resta allongé, terrifié. Si j'essayais de m'enfuir cette femme pourrait bien m'écraser.

"ah... ah... AH..." Elle criait alors que ses coups de hanche accéléraient. Mon pénis ramonait son sexe, frappant son point G avec force et la stimulant plus que tout.

Elle m’agrippa fortement lorsqu'elle atteint l'orgasme, serrant mon minuscule corps. Ce fut vite terminé, et elle se retrouva à chercher de l'air juste à côté de moi, son corps transpirant légèrement. J'étais recouvert de sa sueur, et son corps nu m'enveloppait.

"Ce n'était pas si mal que ça, si ?" Demanda-t-elle gentiment, entre deux respirations.

"J'ai peur." Finis-je par admettre. "Pourquoi es-tu si grande ?!"

"Je ne suis pas plus grande chérie, tu es plus petit." Elle sourit vicieusement.

"Pourquoi... Est-ce que tu m'as fait ça ?!" M'écriais-je.

"Bébé, tout va bien... Je devais le faire."

J'étais choqué. "Pourquoi Diane ? Est-ce que je peux redevenir normal ?"

"Oh non, je ne pouvais pas prendre le risque que ça arrive." Elle fronça les sourcils, réfléchissant. "J'avais besoin de le faire pour te garder."

Me garder ? "Diane... Qu'est-ce qui se passe ? Dis-moi !" Je la suppliais.

Elle soupira. "Tu promets de ne pas t'enfuir ? Je n'ai pas envie de rester couchée sur toi toute la journée, et puis tu pourrais finir écrasé."

J'acquiesca et elle roula sur le côté, en faisant bien attention à garder une énorme main sur mon torse, dans le cas ou j'essaierai de m'enfuir. J'attrapa son pouce, mes doigts s'enroulant autour comme si je tenais un concombre.

Son petit doigt était sur mon membre, et il commença à me caresser alors qu'elle s'expliquait.

"Chéri, je suis vraiment une femme seule, et je ne rajeunis pas au fil des années. Quand je t'ai remarqué pris d'intérêt pour moi au boulot, je ne pouvais m'empêcher de me sentir attirée par toi. Tu es un garçon tellement gentil, et je voulais que tu deviennes mien, pour ne plus que tu veuilles me quitter... Et voilà !" Elle sourit, satisfaite de ce qu'elle avait fait.

Tant de questions se baladaient dans ma tête. Cependant, je n'arrivais pas à penser clairement avec Diane qui s'amusait avec ma queue. "Donc... Qu'est-ce qu'on fait maintenant Diane ?"

"Voilà comment ça va se passer : tu vas rester avec moi désormais. Tu n'auras plus à t'inquiéter pour le boulot ou l'argent, mais tout ce que je demande en retour c'est que tu me laisses faire, et que tu ne me laisses jamais seule. Bientôt nous serons très proches l'un de l'autre, comme une mère aime son enfant. Mais tu seras aussi mon mari, lorsque j'aurai besoin que tu le sois..." Elle me caressa sur toute la longueur, et je ne pus retenir un soupir de plaisir.

"... D'accord. Quand est-ce que je redeviendrai grand ?"

"Oh chéri, je suis désolée mais ça n'arrivera pas." Dit Diane d'un ton presque moqueur.

Quoi ?

"Je t'ai fait devenir petit comme ça avec un but bien précis, et tu vas devenir encore plus petit, j'en ai peur. Tu vois, il faut que je sois sûre que tu restes mien à jamais, celui que j'aime et dont je prends soin. Je ne veux pas prendre le risque de laisser mon petit homme s'enfuir et se blesser maintenant."

"Diane..." Elle me caressait plus vite désormais, me faisant approcher de l'orgasme. "Diane... Je..." J'essaya de protester, mais elle rendait la tâche difficile.

"Dis moi que tu m'aimes. Tu aimes ta grande Diane..."

"Mmhmm..." Ses efforts n'étaient pas vains. J'avais du mal à maintenir le contrôle.

"Dis-le bébé. Soumet-toi à moi. Laisse-moi te prendre..."

"Je... Je... T'aime Diane..." Je m'arrêta. Je ne savais pas vraiment si je pensais ce que je disais.

J'éjacula de partout sur son doigt et mon ventre. Elle continua à me caresser, faisant sortir la moindre goutte alors que se lèvres gigantesques se fermaient autour des miennes dans un baiser langoureux.

"Parfait. Je t'aime aussi chéri."

J'étais trop loin pour répondre. À quoi venais-je tout juste de me livrer ?

 

Chapitre 6 by dood07

Mon orgasme me fatigua énormément, et je me perdis au fond des yeux de ma géante ravisseuse. Elle me regardait amoureusement, heureuse que je sois content. Finalement, je la vis regarder l'heure, puis elle se tourna vers moi. 

"Allez, reposons-nous un peu. On a rien de prévu pour aujourd'hui." 

Ses bras forts s'enroulèrent autour de moi pour m'enfouir sous la couette et me serrer contre ses seins. Ces deux coussins étaient mous et très invitants, et elle m'enfonça contre son corps. La vallée entre ses deux seins acceptait facilement ma tête, et ses mains chaudes devinrent de douces couvertures. Ma fatigue sexuelle et le son de son coeur me bercèrent dans un sommeil profond. Je me laissais simplement aller. 

Nous nous réveillâmes plusieurs heures plus tard, lorsque mon "lit" se mit à bouger sous moi. Je pouvais instantanément dire que j'avais beaucoup rétréci. Mon "lit" se révélait être le corps de Diane, et elle était prête à se lever. 

"Hé Joe... C'est l'heure de prendre une douche mon chéri. Il faut te laver !" Dit-elle joyeusement. 

Elle n'attendit pas ma réponse, mais elle colla simplement mon minuscule corps contre le sien et elle se leva, me portant comme si j'étais un enfant. Et pour elle, je faisais la taille d'un enfant, je ne mesurais sûrement même pas plus de 60cm. Qu'avait-elle fait de moi putin, c'était dingue ! Et jusqu'à quand allais-je continuer de rétrécir ? 

J'avais bien envie de protester, mais ses bruits de pas me rappelèrent instantanément la taille de ma gigantesque ravisseuse. Ses pas vibraient juste au-dessous de moi et je me pencha pour regarder en bas. Ses pieds massifs s'arquaient lorsqu'elle faisait un pas en avant. Ses pieds tout mignons et féminins faisaient désormais la moitié de ma taille. Elle avait peint ses ongles d'orteil d'un magnifique rose métallique qui brillait parfaitement avec la lumière ambiante. Puis son pied s'écrasa sur le sol, me rappelant que cette femme était gigantesque. Je me retourna vers sa poitrine, qui vibrait et oscillait elle aussi sous l'effet de chacun de ses pas. 

Elle m'apporta à la salle de bain, une petite pièce rose pâle avec une douche dans un coin. Bien sûr à ma taille la pièce n'était pas si petite que ça. En vérité elle était assez vaste avec mes 60cm de haut. 

Elle me déposa pour que je me tienne debout tout seul, puis tira la porte pour qu'elle s'ouvre. 

"Allez, vas-y !" Elle me poussa sans peine avec une seule main et me suivit. Elle ferma ensuite la porte, mais pour moi j'avais plus l'impression qu'elle venait de la claquer, le bruit résonnant dans mon corps. 

J'avais besoin d'une douche. Je sentais comme la transpiration de Diane, ce qui ne puait pas vraiment, mais ne sentait pas particulièrement bon non plus. 

Je fixa l'énorme corps de Diane qui prenait tout mon champs de vision. Ses géants pieds s'étendaient loin devant, et ses cuisses tremblèrent lorsqu'elle fit un pas. Mes yeux suivaient le contour de ses formes plus haut, plus haut, plus haut jusqu'à ce que je vis ses seins me faire de l'ombre. C'était comme si Diane ignorait totalement ma présence. Je ne pouvais même pas voir son visage, et mon coeur s'effondra lorsque je m'aperçus que je n'étais pas plus grand que ses genoux. Je frissonna alors que j'imaginais ce qu'un corps féminin si grand pouvait être capable de me faire. Sa simple présence était intimidante. 

Elle alluma la douche, et de l'eau chaude en jaillit instantanément, un torrent qui s'écrasa sur moi. De chaudes gouttelettes glissaient sur ma peau nue, et je me cacha derrière sa jambe massive. Diane rigola alors que je serrais son énorme mollet. 

"C'est l'heure de se laver !" Déclara-t-elle en faisant un pas dans le jet d'eau chaude. Je resta accroché à sa jambe alors que son pas m'amena sous l'eau. 

C'était vraiment très chaud au toucher, et je suis presque sûr que Diane ne réalisait pas à quel point ça l'était pour moi. Pour m'abriter un peu, j'enroula tout mon corps autour de sa cheville et m'assis sur son pied. Puisque ses seins s'étendaient si loin devant elle, ils formaient un genre de petit toit au-dessus de moi qui me protégeait un peu mieux. 

Diane rigola encore. "J'aime te sentir à mes pieds chéri Mmmm..." Elle caressa son vagin un peu avant de prendre le savon dans sa main. 

Je n'étais pas vraiment sûr de savoir quoi en faire. Mais ça ne me dérangeait pas non plus, et je commençais à m'habituer à la chaleur de l'eau. Cependant, je ne voulais toujours pas lâcher sa jambe, je ne voulais prendre le risque de me faire marcher dessus par accident. 

Elle se frotta, et je fus soumis à une vue magnifique. Une sublime femme caressait ses énormes seins avec du savon moussant, faisant glisser ses mains partout sur son corps. Ses mains allaient dans tous les creux de son corps, sous ses aisselles et ses fesses. Je regarda en l'air en direction de ses lèvres humides. C'était le parfait point de vue dont les hommes rêvent lorsqu'une fille porte une jupe. 

"Chéri, est-ce que tu serais assez gentil pour me faire le dos s'il te plaît ?" Annonça-t-elle. Elle se pencha et me souleva avec ses deux mains avant de me déposer sur un petit rebord fait pour poser les bouteilles de shampoing. 

Je devais l'admettre, même avec ma taille réduite, j'avais du mal à tenir sur le petit rebord. Et puis il était trempé, alors j'étais vraiment effrayé de glisser et tomber. 

Diane se retourna et plaqua son corps contre le mur, me bloquant ainsi dans l'angle de la douche. Si jamais je venais à tomber je toucherai d'abord son dos. 

Je posa un pied sur ses fesses, mis du savon et commença à frotter. C'était comme essayer de laver un mur entier. Je frotta pendant plusieurs minutes, et elle apprécia beaucoup. Son dos était si grand, vaste et large. Ses cheveux qui étaient d'habitude si volumineux étaient collés à son corps, et se révélaient être bien plus longs que ce que je pensais. 

Cependant je me rendis compte que c'était agréable. Peut-être que je n'avais aucune raison d'être effrayé. Bien sûr, je n'avais apparemment plus aucune liberté, absolument. Mais bon, d'un autre côté je n'avais plus besoin de travailler. Et j'allais désormais faire des choses super cool de ce style ! 

Ou peut-être allais-je encore rétrécir, tellement que Diane pourrait m'écraser inconsciemment -ou consciemment. Je décida que ce n'était pas le moment d'y penser. 

Je finis de frotter son dos, et elle m'attrapa sous les bras puis me percha sur son sein. Là elle me tint d'un seul bras pendant qu'elle me lavait avec l'autre. Elle me nettoyait doucement et avec facilité, mais tout en faisant attention à ne pas me blesser. Lorsqu'elle eut fini elle me reposa par terre, et je m'agrippa encore une fois à sa jambe alors qu'elle attrapait le shampoing. 

"Est-ce que tu pourrais faire mes pieds aussi mon coeur ?" Elle posa le savon à côté de moi puis se releva pour se laver les cheveux. 

Je pouvais le faire. Alors que je prenais le savon, elle inclina son pied en l'air, pour que je puisse nettoyer dessous. Il y avait quelque chose d'incroyablement érotique avec cette expérience, son pied s'arquait de manière si sexy, ses orteils s'enfonçaient dans le sol, et de l'eau coulait tout le long de son pied. Je nettoya entièrement son gigantesque pied, en faisant bien attention de frotter entre chacun de ses orteils. Je réalisa ensuite que son gros orteil faisait la taille d'un melon, et son ongle était plus gros qu'un deck de cartes. Wow. C'était grand. 

Alors que je lavais son autre pied, je fus assailli par une soudaine envie de faire l'amour à son pied. Le fait qu'il soit désormais lubrifié avec du savon ne m'aidait en rien. Je devais sérieusement me battre contre cette envie -qu'est-ce que Diane allait penser de moi sinon ? Je devais avoir un genre de fétichisme du pied ! Ou alors peut-être que ça ne venait que des pieds de Diane. Oui, c'était sûrement ça. 

Pas très longtemps après je terminais, et je m'assis donc de nouveau sur son pied. Le fait de m'asseoir ne m'aidait pas à me calmer car mon membre se trouvait être en contact avec son pied humide et chaud. 

Je ne savais pas du tout ce qui m'arrivait, mais mes instincts primaires commençaient à surpasser ma capacité de réflexion. Peut-être qu'elle ne s'en rendrait même pas compte ? Juste un petit coup, juste pour sentir ce que ça fait. Je savais qu'il fallait que j'essaie. 

Je posa mes mains sur sa cheville et fit glisser mon sexe le long de son pied, vers ses orteils. Oh ça y est. Mon pénis touchait la peau douce et humide de son pied. 

Je me balança doucement, avec rythme, pour faire glisser mon pénis de haut en bas sur le dessus de son pied. Ce fut instantanément bon, une des meilleures choses que je n'avais jamais vécu de toute ma vie. Mon membre faisait des aller-retours sur son pied, il frottait sur les phalanges de ses orteils et sur ses douces veines. Je me perdis dans l'extase du plaisir, faisant glisser mon sexe de plus en plus sans même y prêter attention. Plus je forçais, et plus je pensais que ça allait me suffire. J'apporta mes boules sur ses orteils, jusqu'à les poser sur l'ongle de son gros orteil. 

Je posa mon visage contre le dessus de son pied, permettant à ma queue de glisser entre ses orteils, et je commença à les baiser. Absolument inconscient, j'enfonçais ma queue dans son pied et je le baisais du mieux que je pouvais. Je sentais ses doux ongles roses contre moi, ses orteils se soulevaient un peu alors qu'elle se balançait d'avant en arrière. Soudainement, ses orteils se dressèrent, acceptant ce que je leur faisais et ils forçaient réciproquement contre moi. Ça me rendit fou, et je passa le point de non-retour sur le coup. J'éjacula immédiatement sur ses orteils, me balançant encore et encore contre son énorme et magnifique pied. Je m'écroula de fatigue, mon membre dur et sensible après toute l'activité qu'il avait eu. C'était merveilleux... 

"Tu vas me nettoyer ça bébé, n'est-ce pas ?" Dit une voix nonchalante haut dans le ciel. Puis une noisette de shampoing tomba juste à côté de moi, avec un petit slap. 

Oh merde. Diane m'avait vu. Bien sûr qu'elle m'avait vu ! Je me sentais si bête. 

"J'y travaille déjà." Murmurai-je avec dégoût. Je n'arrivais pas à croire que j'avais fait quelque chose de si stupide. 

"C'est bon Joe, ne t'en fait pas. Tu vas devenir très habitué aux pieds de ta femme. J'exige que tu le deviennes." Elle rigola de manière féminine. 

C'était une bonne nouvelle je suppose. Peut-être que ce n'était pas un mauvais choix après tout. Je pris du shampoing et commença à frotter les pieds auxquels j'étais exigé de devenir très habitué.

 

Chapitre 7 by dood07

Diane me rapporte dans sa chambre pour se changer. Elle se mit un haut et une jupe, ce qui me rappelaient vraiment le stéréotype de la femme au foyer des années 70, puis elle enfila une paire de talons. Ils semblaient ne pas avoir été portés pendant des années.

Je m'assis sur son lit. "Avec quoi je vais m'habiller ?" Me demandais-je à voix haute. Je venais tout juste de réaliser que les vêtements avec lesquels j'étais venu ne m'allaient plus du tout.

"Oh, ne t'en fais pas pour ça mon chéri. Ça ne me dérange pas." Diane me dit en faisant un signe condescendant de la main.

Génial, pas de vêtements ! C'était trop bien.

Diane me porta jusqu'au rez-de-chaussée puis dans la cuisine pour faire à manger, alors que je me rendais compte qu'il était environ 11h du matin. Elle m'assit sur la plan de travail. C'était assez froid au toucher, et pas franchement confortable.

Diane chercha ses placards et en sortit une boîte de céréales. Elle versa le tout dans le micro-onde et le démarra, avant de me voir avoir des frissons.

"Oh mon coeur, ce plan de travail doit être froid ! Attends, laisse-moi te descendre." Elle me posa par terre avant de retourner vers ses étagères pour fouiller.

Je réalisa alors que c'était ma première pour m'échapper, mais je ne savais même pas si j'en avais vraiment envie. J'étais assez curieux de voir ce qui allait se passait par la suite. Et puis, elle semblait avoir plus confiance en moi, vu que j'étais hors de son champs de vision. Peut-être que ça allait être ma nouvelle vie ?

Diane posa le bol chaud sur le comptoir avant d'attraper une cuillère puis elle marcha au-dessus de moi et me prit avec elle. Elle me déposa sur le bord de la table, qui n'était pas froide ce coup-ci.

"Et voilà !"

Elle trempa la cuillère dans le bol de céréales, et souffla dessus plusieurs fois pour la refroidir. Ça y est je venais de comprendre -elle allait me nourrir. Je me sentais un peu comme un roi.

Elle me l'offrit en souriant, et je l'accepta volontiers. La cuillère, qui était de taille normale pour une personne quelconque, emplissait ma bouche. Je réalisa que j'allais devoir faire attention en mangeant ou je risquais d'en mettre de partout.

Les gros morceaux de céréales étaient assez difficiles à mâcher et avaler. J'avais vraiment du mal avec, et plusieurs je m'en renversa dessus alors que Diane me nourrissait. CA n'avait pas l'air de la déranger, et elle me dit qu'elle nettoierait après.

Je fus vite rassasié, et Diane jeta le reste de la nourriture. J'étais recouvert de miettes, et Diane se rendit compte que ce n'était pas agréable pour moi. Elle me nettoya dans le lavabo et me sécha avec une serviette.

"Voilà.." Elle me tint contre son sein. Soudainement, je ressentis un vertige, mon univers se mit à tourner et à zoomer puis dézoomer devant moi.

"Diane ! Je ne me sens pas bien..." Je murmura. Quelque chose n'allait vraiment pas, j'avais l'impression d'avoir été drogué.

Elle me mit sur son épaule et tapa dans mon dos. "Ça va aller mon coeur, c'est normal. Je t'ai donné une grosse dose ce coup-ci."

De quoi parlait-elle ? Une dose ? Est-ce qu'elle avait mis quelque chose dans ma nourriture ?

Je commença à me sentir nettement rétrécir. Ma tête tournait, comme si j'étais bourré, et Diane me tapa plusieurs fois dans le dos. Ses coups semblaient de plus en plus forts alors que je continuais à rétrécir. Quelle quantité m'avait-elle donné ? Je me sentis perdre conscience l'espace d'un instant.

Tout à coup, je réalisa que j'étais dans le salon, sur le canapé. Diane avait mis la télé et elle me berçait dans ses bras comme un bébé. Même si j'étais bien plus petit qu'un bébé normal. Elle ne savait pas du tout que son minuscule petit homme venait de se réveiller.

Je réalisa en la regardant que je devais faire de moins 30cm. Ses énormes bras et avant-bras étaient plus longs que mon corps entier. Je ressentis une drôle combinaison de peur et d'impuissance, alors que mon mal de tête revenait. Alors que je retombais inconscient, je finissais par me demander si j'allais en mourir.

Chapitre 8 by dood07

Je me réveillai plusieurs heures plus tard. J'étais étendu sur une surface synthétique noire, avec une chaleur intense s'émanant de dessous. J'étais dans un genre de vallée surmontée par deux collines de chaque côté. Je pouvais entendre la télé, loin de ma position. Je me retourna.

Diane était littéralement une montagne pour moi. J'étais sur ses genoux, et le tissu noir était sa jupe. Je regarda en haut, et je fus stupéfait par la paysage gigantesque qui s’étendait devant moi. Son tronc était comme un bâtiment, aussi volumineux qu'un gratte-ciel. Ses bras étaient de chaque côté de son corps, d'immenses bus comparés à moi. Ses seins montaient et descendaient alors qu'elle respirait, pointant fièrement depuis sa poitrine et cachant son visage vu d'ici. Je réalisa soudain avec terreur que chaque sein était désormais suffisamment grand pour me dominer.

Diane bougea pour croiser ses jambes. La "vallée" m'aspira vers le bas, plus près de sa chatte, et sa main vint se poser juste à côté de moi. J'attrapa son immense doigt, qui était aussi gros que moi, pour éviter de glisser plus bas. Son ongle rose et gigantesque faisait la taille de ma tête.

"DIANE !!" Hurlais-je de terreur, m'agripant à sa main. Je ne devais pas mesurer plus de 5cm, et je m'accrochais misérablement à ce que je pouvais.

"Oh !" Explosa sa voix au-dessus de moi. "Tu es réveillé." Elle décroisa rapidement ses jambes, et sa jupe se tendit de nouveau entre ses deux cuisses.

"Mon Dieu, regarde toi !" Susurra-t-elle, "Tu es si petit et si mignon !" Son doigt s'approcha au-dessus de moi, puis s'amusa à me bousculer. Je roula en arrière sous l'attaque de son doigt.

"Diane, ce n'est pas drôle ! Il faut que tu me refasses grandir !" Suppliais-je.

"Je ne pense pas que je puisse chéri. Et puis, je t'aime vraiment comme ça !" Elle continua à s'amuser avec moi, caressant mon torse avec la pulpe de son doigt.

J'attrapa son doigt pour l'arrêter, mais elle était bien trop forte. C'était simplement inutile de résister, alors j'abandonna rapidement l'idée.

"Mais Diane, si je suis aussi petit, comment est-ce que je suis sensé faire quoi que ce soit ? Tu pourrais m'écraser en plus !" Cela faisait un petit bout de temps que j'y pensais, et je l'avais enfin laissé sortir.

Elle réfléchit quelques secondes. "Bon, d'abord je n'ai pas besoin que tu fasses quoi que ce soit. Tout ce que tu as à faire, c'est me laisser faire. Et deuxièmement..." Elle me prit avec facilité, me pinçant entre ses doigts. Je cria et sursauta sous l'effet de la peur.

Elle me descendit jusqu'au sol et glissa son pied hors de son talon. Son pied nu, que je voyais désormais aussi grand qu'une voiture, s'éleva dans les airs et se déplaça au-dessus de moi. Je n'arrivais pas à y croire. C'en était fini de moi.

Et me lâcha, et j'essaya de m'enfuir avec que son pied ne m'atterrisse dessus. Malheureusement, je n'eu pas le temps d'aller très loin. La peau de son gros orteil s'écrasa sur mon dos, me jetant à terre et me pulvérisant par la même occasion. J'étais certain que j'allais mourir.

Et pourtant, ce ne fut pas le cas. Bien sûr, c'était inconfortable, et je sentais ma cage thoracique compressée, mais au final mon corps semblait être plutôt résistant. Je pouvais dire qu'elle commençait à mettre vraiment pas mal de poids, alors que son immense orteil bloquait mon pauvre corps contre le sol. Je ne pouvais pas bouger, mais je ne mourais pas non plus.

"Tu vois ?" Dit-elle avec joie. "Tu n'es pas en bouillie."

Quelle merveilleuse nouvelle, youhou. "Et si jamais tu m'avais VRAIMENT écrasé !" Dis-je en protestant.

"Je savais que je n'allais pas la faire. Tu penses vraiment que j'aurai mis mon petit homme en danger ? Je suis là pour prendre soin de toi, pas te faire mal."

J'étais encore un peu énervé qu'elle m'ait effrayé à ce point, mais j'étais tout de même soulagé d'apprendre qu'elle allait avoir du mal pour m'écraser. Heureusement, la mort accidentelle était écartée maintenant. Je savais donc désormais qu'il allait falloir qu'elle me frappe pour me tuer.

En revanche elle ne retira pas son pied. "Hé Joe chéri, vu que tu es là, est-ce que tu pourrais me rendre un immense service ? Est-ce que tu pourrais me masser les pieds ? Je suis sûre que ça te plairait."

Maintenant que je savais que ses pieds n'étaient pas de gigantesques machines de mort, je finis par penser que ça ne pourrait pas faire de mal que je lui fasse plaisir. Et puis, je n'avais vraiment pas envie de l'énerver dans cette position. Elle ne le savait pas, mais elle venait de me faire tellement peur qu'elle pourrait me demander ce qu'elle voulait, je le ferai très sûrement.

"Bien sûr."

Elle répondit en frottant doucement son pied sur moi, encore et encore. J'étais encore coincé dessous, donc tout ce qu'elle faisait n'était que caresser son pied sur moi. Je pouvais voir qu'elle ne regardait plus la télé, elle profitait simplement du fait qu'elle m'embêtait avec son pied. Je regarda à travers ses orteils géants, et je vis qu'elle portait un énorme sourire, de plus d'un kilomètre de long.

"Diane ! Non, pas comme ça ! NON ! Arrête ! Diane !" Suppliais-je pathétiquement. Elle s'arrêta.

"Mais tu faisais un si bon boulot ! Je pensais que tu aimais mes pieds.." Elle m'embêtait, faisant semblant d'être triste.

"Et c'est le cas ! C'est juste qu-"

"- Tu les aimais dans la douche." Me coupa-t-elle, souriant. Elle m'avait, et elle le savait.

"..."

"C'est bien ce que je pensais. Maintenant, sois un gentil garçon et caresse les pieds de Maman pour de vrai." Elle me libéra de ma prison. J'attrapa rapidement son orteil et essaya de le caresser.

"Maman.. Mmh.. J'aime bien. Tu devrais m'appelais comme ça à partir de maintenant. Une maman. Je n'ai jamais été une maman. Mais je t'ai toi maintenant !" Roucoula-t-elle.

Je me rendis compte que je n'allais pas pouvoir caresser son pied comme un massage ordinaire. Il allait falloir que j'utilise mon corps entier. Je colla donc mon torse contre sa plante de pied, m'enfonçant de plus en plus dans son pied colossal.

"Mmhmm... C'est bon..." Diane se pencha en arrière et ferma ses yeux. "Tu sais Joe, ça c'est quelque chose que tu peux faire. Vu que tu te demandais ce que tu pourrais faire à cette taille. Et je suis sûre qu'il y a des tonnes d'autres choses que tu peux faire... Il va falloir qu'on trouve tout ça plus tard..."

Environ une heure venait de passer, et je changea de pied. Je sauta sur ses gigantesques ongles roses et me mis au boulot. Quelques instants plus tard, Diane décréta que j'avais terminé. Elle se baissa et me prit facilement dans sa main géante.

"On a rien fait de très excitant depuis un petit bout de temps, est-ce que ça te dirait qu'on voit de quoi tu es capable ?"

Je ne savais pas vraiment ce qu'elle voulait dire avec cette phrase, mais j'étais excité de le découvrir.

 

Chapitre 9 by dood07



Diane se dépêcha de monter à l'étage, ses pas faisant vibrer mon corps entier. C'était comme si elle était un monstre, du style Godzilla ou un truc du genre. C'était majestueux et terrifiant en même temps. Dans un certain sens, cette situation m'excitait vraiment.

Ses pas puissants m'amenèrent sans effort dans sa chambre, où elle me jeta au milieu de son lit, qui était désormais comme un gigantesque désert de tissu pour moi, puis elle s'assit à côté de moi. Elle retira son t-shirt, révélant son soutient-gorge. Après elle enleva sa jupe et se coucha sur le dos, juste derrière moi.

Ses énormes doigts descendirent et elle les pinça pour me récupérer. Elle me tint devant son visage pendant quelques secondes, m'examinant.

"Mon Dieu... Tu ES vraiment une minuscule petite chose. Je pourrais simplement t'avaler ! Tu es si mignon et impuissant, comme un petit enfant."

Elle me reposa sur sa poitrine et me lâcha. Je m'aventura sur sa chair nue, de la chaleur émanant depuis la peau de son sein et pénétrant tout mon corps. Sa main attrapa la base de son sein, et elle le secoua vigoureusement, s'amusant avec moi. "Ooooh"

Je fus balancé de haut en bas, et presque éjecté de son sein. Je m'accrocha comme jamais.

Elle s'arrêta, puis se mit à réfléchir. Elle venait sûrement d'avoir eu une idée, parce qu'elle releva soudainement son soutient-gorge et me mit dedans. La coupe se referma sur moi, m'emprisonnant contre son sein.

C'était sombre, doux, et chaud. Honnêtement, c'était plutôt confortable. Je devais m'adapter au contour de son téton et je n'avais pas beaucoup d'espace libre, mais ce n'était vraiment pas si mal que ça. Je frétilla, et sentit quelque chose me toucher, juste à côté de mon pénis.

Rapidement, la température monta et ce qui me touchait grandissait avec rapidité. Je bougea encore alors que son énorme téton, qui était désormais plus gros que ma tête, appuyait contre mon sexe. Je rampa le long de son auréole jusqu'à avoir enfin son téton juste à côté de la tête, et là j'étais bien. Je m'installa alors qu'elle se levait.

Mon monde entier se déplaça avec vitesse comme dans un parc d'attraction, et son sein droit oscilla une fois qu'elle était debout. Mon visage rebondit contre son téton tout dur. Je pouvais dire qu'elle avançait vers son miroir lorsque j'entendis ses bruits de pas écrasants. Son sein bougeait à chacun de ses pas. Dans un certain sens, c'était comme être dans un bateau, flottant au-dessus des vagues. Combiné avec la chaleur et la sensation de sécurité, j'étais vraiment satisfait. J'avais l'impression de m'endormir dans cette douce bulle qu'était le soutient-gorge de Diane.

Elle s'arrêta de marcher et se tint debout en face du miroir avant de remettre son t-shirt. Je sentis le tissu me frôler, s'accrochant un peu à sa poitrine qui s'étendait depuis son torse. Elle pivota d'un côté puis de l'autre, sûrement pour se voir de profil.

"Héé c'est pas si mal ! Tu es tellement petit que je ne pourrais même dire que tu es là en portant un t-shirt ! Est-ce que c'est confortable chéri ?"

J'aquiesca. "Oui." Je remarqua son énorme téton, il s'élevait juste à côté de mon visage.

"Tu penses que tu pourrais rester combien de temps ?"

J'avais l'impression de savoir ce qu'elle pensait. "Assez longtemps je pense.. J'en sais rien."

"Bien. Tu n'auras plus jamais besoin de te séparer de moi maintenant. Je vais te garder là un peu ma merveille. Tu peux t'endormir tout de suite si tu veux, Maman a deux trois choses faire."

Maman, ah oui ? Je jeta un coup d'oeil à son téton. Je vais lui montrer.

Je me jeta dessus et commença à le sucer, caressant la peau plissée et salée de son téton dur avec ma langue. Il se dressa encore plus en réponse.

"Ooh ! Quelqu'un apprécie vraiment sa Maman !" Elle contenait difficilement sa joie.

Elle passa l'heure suivante à nettoyer la cuisine et à faire la vaisselle. Je travailla son téton, faisant de mon mieux pour le sucer et le stimuler. Cela devint vraiment agréable, son téton était super bien à sucer. Mais au bout d'un moment, soit je tomba de fatigue soit j'eus un coup de chaud, mais le fait est que je m'endormis comme une pierre, doucement bercé par la poitrine de ma "mère".

Chapitre 10 by dood07

Diane me réveilla à travers son soutient-gorge. "Hé, debout là-dedans." Je m’étirai.

"Bien, il commence à être tard, ça fait longtemps que tu dors."

Je pinçai son téton en réponse. Honnêtement j'avais assez envie de retourner dormir.

"Est-ce que tu as faim ?" Me demanda-t-elle gentiment.

J'avais effectivement faim. "Oui."

"Je t'ai fait un petit quelque chose. Tu veux venir voir ?" Elle n'attendit pas ma réponse, et déclipsa son soutient-gorge. Je fut assailli par la lumière alors que son sous-vêtement tomba sur la table. Il y avait de la lumière de partout. C'était éblouissant !

Toujours assis dans son soutient-gorge, je clignai des yeux afin qu'ils s'ajustent à la lumière. Je remarquai que Diane avait un grand bol de soupe avec quelques croûtons, et qu'elle était en train de manger. Elle souffla sur sa cuillère de soupe et en prit une gorgée. Le bol faisait la taille d'une piscine pour moi.

Ma bouche s'ouvrit lorsque je vis la poitrine nue de Diane, qui prenait tout mon champ de vision. Elle poussa un énorme croûton vers moi. "Vas-y, mange quelque chose."

J'attrapa ce qui m'était tendu, le morceau de pain faisait environ ma taille. J'y mordis dedans et réussis à le mâcher, mais les miettes étaient assez dures à avaler. Diane vit mon inquiétude, puis versa un peu de lait dans une petite cuillère avant de la poser à côté de moi.

"Tiens, goûte ça chéri."

Je réussis à laper un peu de lait depuis la cuillère. J'avais l'impression d'être un petit chat, mais cela me calait vraiment. Je n'avais pas eu besoin de grand chose. En même temps, Diane terminait sa soupe.

Juste après, elle me demanda si je n'avais plus faim. Je lui répondis que c'était bon, et elle souria doucement.

"Bien, tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant, n'est-ce pas ?"

Je secouai la tête pour dire non.

"Il est temps de te donner un nouveau boulot."

Elle attrapa mon minuscule corps et me porta jusque dans le salon. Elle prit ensuite la télécommande et installa des oreillers sur le canapé. Elle me déposa entre ses seins alors qu'elle retirait sa jupe et sa culotte, se déshabillant entièrement. Je devins instantanément curieux, quel travail allait-elle vouloir me donner ?

"Tu vois, il faut que j'aille travailler demain pour ramener de l'agent pour nous deux. Tu n'as plus besoin de t'inquiéter à propos du travail désormais. Ce pour quoi il faut que tu t'inquiètes par contre, c'est mon stress. Tu ne voudrais pas que je devienne toute stressée et que je sois incapable de travailler, hein ?"

Je secouai encore ma tête pour dire non, mais je ne comprenais pas où elle voulait en venir. "Qu'est-ce que je dois faire ?"

"Tu sais quel est le meilleur anti-stress, n'est-ce pas bébé ?" Elle s'assit et se percha sur les oreillers.

Elle voulait qu'on ait du sexe ? A cette taille ? Elle était folle, c'était impossible ! "On ne peut pas avoir de sexe Diane, tu me tuerais à cette taille !" Dis-je comme si de rien n'était, comme si ça allait l'arrêter.

Elle me sourit en réponse alors que je m'asseyais sur ses seins. "Hihi tu es bête, on ne va pas avoir de sexe. Enfin, pas encore... Tu vas me servir !"

Oh. Elle voulait que je descende plus bas, c'est ça ? Je voulais bien essayer, enfin je pense.

Son énorme main s'enroula autour de moi, et avant que je m'en rende compte j'étais déjà entre ses deux jambes écartées. Sa gigantesque caverne se présentait béante devant moi. C'était terriblement intimidant.

"Ça fait peur..." Dis-je. J'avais envie de courir.

Ses doigts géants me guidèrent en avant. "Ça va aller chéri, je ne vais pas te faire de mal. Commence simplement par me caresser. Je vais t'expliquer comment faire."

Je ne voyais plus que son vaste sexe. Je regardai à gauche, à droite et en haut, mais je ne voyais plus qu'un mur de peau, de poils et deux lèvres. La main de Diane arriva dans mon champ de vision puis écarta ses lèvres pour masser sa chatte. Son autre main me guidait plus proche, plus proche, jusqu'à presque m'appuyer contre elle.

Elle leva l'index qui écartait ses lèvres, et je fus jeté contre l'une d'entre elles. L'odeur était écrasante, assommante même. Ses vapeurs m'étourdissaient un peu, et la chaleur qui s'émanait de là était intense. Je sentis son doigt toucher mon dos puis commencer à me presser dans sa peau et ses poils pubiens. J'attrapai un poignée de poils et m'accrochai alors qu'elle se caressait, soulevant mon corps dans ses mouvements.

Je ne m'étais jamais senti aussi insignifiant de toute ma vie. À côté de cette femme immense, je n'étais rien d'autre qu'un insecte. En comparaison, elle était une Déesse, un corps paradisiaque qui pouvait prendre facilement ma vie et sans aucun effort. Elle était tellement au-dessus de moi que c'était presque comme si elle était inconsciente de ma présence. Comment faisait-elle pour se masturber, juste maintenant, en ignorant complètement ma minuscule existence ? Une simple erreur, le moindre faux mouvement et cette gigantesque chatte pourrait m'avaler entièrement. Et je disparaîtrais à jamais. Diane, la Déesse, me consumerait dans sa passion désastreuse sans même y penser à deux fois.

Je pouvais dire qu'elle en profitait de plus en plus. Je suis sûr que le plaisir de me dominer était agréable pour elle, parce que je ne faisais vraiment rien pour la stimuler physiquement.

Je réalisai que je devais changer ça, ou elle pourrait être déçue de ce que j'étais en train de faire. J'attrapai fermement sa lèvre et massai le bord de sa chatte avec vigueur et à l'aide de tout mon corps. Elle était satisfaite, et me déplaça vite de l'autre côté. La chair rose de sa lèvre vaginale devint vite gonflée de sang, et s'étendit devant moi. Les plis de sa peau commençaient à me faire peur alors qu'ils se mettaient à chauffer. C'était comme une grotte désormais.

J’eus une pensée terrible. Si je ne faisais pas du bon boulot, elle pourrait bien vouloir me balancer là-dedans. D'un autre côté, si je parvenais à l'exciter vraiment beaucoup elle pourrait aussi avoir envie de se branler avec mon corps. Je fis une crise de panique, et ne sus quoi faire.

"Lèche mon clito." Gronda une voix de là-haut. "Et fais quelque chose de bien." M'ordonna-t-elle alors qu'elle plaçait ma tête juste devant son clitoris.

Je fis de mon mieux pour lécher la peau toute lisse. Après une ou deux minutes, elle appuya mon corps contre sa chatte trempée en gémissant. La peau commençait à m’engloutir. C'en était trop; je me glaça sur place. Je ne savais pas quoi faire. J'avais l'impression que j'allais me mettre à pleurer.

Diane remarqua que j'avais arrêté, alors elle s'arrêta elle aussi puis me retira doucement avant de me poser sur son estomac, inquiète.

Je faisais un genre de mini dépression. Après qu'elle m'ait déposé, je me roulai en boule et commençai à pleurer. D'aussi loin que j'étais concerné, je venais tout juste d'échapper à la mort.

"Mon coeur, qu'est-ce qui ne va pas ? Tu te débrouillais si bien."

Je me retournai. Je ne voulais pas admettre que j'étais effrayé.

"Dis-moi ce qui t'embête. Je t'écouterai. Parle-moi s'il te plaît, pauvre bébé..."

"J'ai peur, d'accord ??" M'écriais-je. "Tu me fais peur ! Tu es si grande, et moi si petit. Pourquoi tu m'as autant rétréci ??!"

Elle était choquée, comme si elle n'avait jamais pensé que ça puisse être le cas. "Tu n'as besoin d'avoir peur de moi. Je t'aime. Tu es le premier homme qui m'a montré qu'il était capable de m'aimer en retour. Pourquoi voudrais-je te faire quoi que ce soit ? Tu es gentil et doux, et tu es mon petit homme."

Elle glissa son énorme doigt sous mon menton. "Sèche ces petites larmes. Si tu n'as plus envie de le faire, alors c'est bon. On n'est pas obligés de le faire."

Je restai assis là, et fis de mon mieux pour reprendre mes esprits. Diane me regardait à travers ses seins, m'observant avec inquiétude. On aurait dit qu'elle allait elle-aussi se mettre à pleurer.

Finalement, je m'assis et sécha mes larmes. Je réfléchis beaucoup à ce qu'elle venait de dire. Elle semblait vraiment beaucoup aimer prendre soin de moi, elle n'avait aucune de raison de vouloir me faire de mal. Et puis, elle avait dit qu'elle m'aimait, et elle avait vraiment l'air de le penser. J'y réfléchis encore quelques instants. Diane m'aimait profondément, comme une amoureuse et une mère. Honnêtement, j'avais le sentiment de l'aimer de plus en plus, même si avec cette taille elle me faisait encore un peu peur. Peut-être allais-je finir par m'habituer.

"Tu dois me promettre que tu ne vas pas me faire mal," Lui dis-je, "et tu dois t'arrêter dès que je te le demande."

Diane me sourit depuis là-haut. "On n'a pas besoin de faire quoi que ce soit de plus ce soir, si tu n'en as pas envie."

"Non. J'en ai envie Diane. Je veux te rendre heureuse, mais je ne veux pas rentrer à l'intérieur. Ça me fait beaucoup trop peur." Je finis par l'admettre. "Est-ce que c'est possible ?"

"Oui, seulement si tu en as envie. Je serai gentille avec toi, je te le promets."

Elle déplaça sa main pour me reprendre, fit une pause, puis enroula doucement ses doigts autour de moi. Elle m'apporta de nouveau en bas et son visage disparut de mon champs de vision. Il fut remplacé par son énorme sexe, un monstrueux rempart de chair féminine. Elle me percha près de son clitoris, en faisant attention d'être la plus douce possible.

Je devais le conquérir. Au fond de moi, j'avais vraiment envie de faire plaisir à Diane. La partie logique de mon cerveau me disait que tout ça n'était que de la folie, mais je voulais vraiment que ça fonctionne. Je ne savais pas si je pouvais donner une raison et expliquer pourquoi.

Je commençai à travailler, léchant son clito du mieux que j'en étais capable. Elle se tortilla et me plaqua contre elle avec excitation. Lorsqu'elle sentit que je commençais de nouveau à bloquer, elle me parla doucement.

"Ça va... C'est bon, mmm..."

"J'aime ça... Oui... Tu vois ? ... Tout va bien..."

Je câlinai sa lèvre engorgée pour être plus stable, puis augmentai encore l'intensité. Les doigts de Diane massaient les parois de son vagin. Elle commença à gémir d’extase, et ses hanches se mirent à bouger, essayant désespérément de baiser quelque chose.

Soudainement, j'entendis un bruit humide juste sous moi, alors que les doigts de Diane pénétraient ses lèvres. Si elle se mettait à se branler, je pourrais tomber dans son trou vaginal, je commença de nouveau à avoir peur.

"Bébé, tout va bien ! Ah... AH... J'aime ton petit corps, juste là où il est. Mmhm... Maman ne va pas te faire de mal... Alors profite en autant qu'elle." Elle n'avait plus d'air et était essoufflée par tout ses efforts, approchant très clairement de l'orgasme.

Ses pénétrations devenaient bien plus profondes alors qu'elle se faisait plaisir avec ses doigts. J'attrapai son clitoris et le serrai, lui offrant de nombreux et puissants orgasmes.

Finalement elle se fatigua et arrêta. Je ne savais pas combien de fois elle était venue, mais je savais qu'elle avait dépassé la dizaine. Une fois qu'elle eut terminé elle me prit dans sa main et m'apporta sur son sein, afin que je sois près de son visage.

Son immense tête était toute rouge, et je pouvais voir une fine couche de transpiration. Ses seins montaient et descendaient alors que sa cage thoracique se gonflait pour respirer. Je pouvais dire que ça lui avait pris beaucoup d'énergie, et c'était sûrement l'activité la plus intense qu'elle avait connue depuis des années.

Elle me sourit, ses yeux verts rayonnant de joie. Elle semblait vraiment fière de moi. J'étais heureux de savoir que j'avais tant fait plaisir à ma géante femme. Je sentis une chaude sensation se répandre dans mon corps.

"C'était vraiment GENIAL chéri." Elle respira. Il y avait quelque chose d'incroyablement sexy dans le fait de la voir satisfaite. J'étais resté assez excité durant toute cette petite session, mais désormais je me sentais m'enflammer. J'avais soudainement envie de la baiser si fort. C'était, bien sûr, impossible à cette taille.

Elle massa gentiment ma tête, me caressant les cheveux avec son doigt.

"Wow. Il va bientôt être l'heure d'aller au lit. Mais on a pas besoin d'y aller tout de suite quand-même." Elle me regarda de manière sexy. "Si je veux espérer des choses de toi, tu vas espérer les même choses en retour, est-ce que je me trompe ?" Son doigt titilla mon membre désormais en érection.

"Maman va s'occuper de ça." Dit-elle avec assurance.

J'étais excité de découvrir ce qu'elle comptait exactement faire pour ça.

"Laisse-moi te demander mon petit.. Tu aimes mes pieds, hein ?"

J'hochai doucement la tête. Je les aimais vraiment -elle avait des pieds ultra sexy.

Elle sourit, fière d'elle. "C'est bien ce que je pensais." Elle reprit la télécommande et mit les informations. Puis elle me plaça sur le sol, juste à côté de ses pieds.

"Couche-toi sur le dos chéri, tu vas aimer ce que je te prévois."

Je fis comme demandé.

Diane leva son pied droit, l'apportant au-dessus de moi. Je regarda sa semelle, alors qu'elle commençait doucement à occuper tout mon champ de vision. Je lui faisais confiance, mais je m'agrippai tout de même à la moquette alors que je tremblais d'anticipation.

Son gros orteil se posa doucement sur ma queue, recouvrant presque tout mon corps. J'inspirai profondément sous la délivrance, et sentit pleinement l'odeur de son pied. Je tendis les mains et attrapa son orteil, ressentant la douce surface de son ongle au-dessus. Je pouvais à peine faire le tour de son orteil avec mes bras, il était gigantesque.

Doucement, tellement doucement, elle fit bouger son orteil. Elle faisait bien attention à ne pas appliquer trop de pression, et la sensation était fantastique. La peau chaude de son énorme et imposant orteil stimulait mon pénis alors qu'elle frottait contre. Je ne voyais plus que la peau de dessous son orteil, puis son ongle rose, et de nouveau le dessous de son orteil alors qu'elle m'offrait des vagues de plaisir avec chaque caresse.

Ininteressée, Diane continuait à regarder les infos alors que je faisais tout mon possible pour me retenir d'éjaculer. Plusieurs minutes passèrent durant lesquelles elle massa l'intégralité de mon corps avec ses orteils, et je pénétrais les crevasses entre chaque orteil, essayent désespérément de les soumettre. Ça ne fonctionnait pas, et cela ne faisait que m'exciter encore plus.

Soudainement, elle s'arrêta et se pencha alors que j'allais enfin éjaculer. Son joli visage entra dans mon champs de vision.

"Quoi, ça ne te suffit pas ?" Elle me taquinait car elle savait parfaitement que j'étais au septième ciel. "Je pense que tu as besoin d'un petit encouragement." Elle augmenta la pression, ce qui me rendit fou. Puis la pression augmenta encore, encore et encore. J'entendis les lattes du canapé craquer alors qu'elle se levait. Diane s'éleva de toute sa hauteur, son poids entier reposant désormais sur moi.

Elle était debout sur moi ! Je finis par me dire qu'il allait falloir s'inquiéter alors que j'entendais mon dos et mes côtes craquer. La femme géante me regarda à travers ses deux seins. Ses mains étaient sur ses hanches.

"Regarde toi, si petit, si minuscule sous mon pied. Je vais faire de toi ce que je veux. Tu vas m'aimer comme une Déesse. Ton existence entière est vouée à me vénérer."

Je me tortilla sous son pied. Je ne voulais que me vider, je ne voulais plus que ça. La pression sur mon sexe m'empêchait de le faire, mais ces mots m'en donnaient tellement envie. Pourquoi ? Je sentis soudainement une attraction sans précédent envers elle. Je commençais vraiment à penser d'elle que c'était une Déesse, et j'aimais chaque seconde passée avec elle. Je l'aimais.

"Et je t'aime aussi. Je vais devenir toute ton existence, ta Déesse. Tu vas vivre dans l'unique but de me satisfaire, et je prendrai soin de toi en retour. Je suis une Déesse maternelle Joe. Je ne veux rien de plus que prendre soin de toi, te nourrir et te protéger. Mais ne te trompe pas chéri, c'est MOI la boss ici. Si tu es bon, alors je n'aurais pas besoin de te punir."

J'hochai la tête pour confirmer.

"Voilà ce qui va se passer. Tu vas vivre tes journées dans mon soutient-gorge jusqu'à ce que je te laisse sortir, je pourrai te placer dans d'autres endroits si jamais j'en ressens le besoin. Lorsque je rentrerai du travail, tu auras plusieurs corvées à faire -masser mes pieds, m'aider à me masturber, vernir mes ongles, et généralement être le jouet de mes moindres désirs. Si tu es capable de faire ça, alors je prendrai soin de toi, et je te nourrirai. Tu n'as désormais plus le droit à de la nourriture solide."

J'étais perdu. Plus de nourriture ? Qu'allais-je manger alors ?

"Tu boiras mon lait, et juste ça. Tu devras être totalement dépendant de moi pour que ça fonctionne."

L'idée de complètement me soumettre à Diane était extrêmement érotique et enivrante. Dans une situation normale, avec une taille normale, je n'aurais jamais accepté. Cependant, avec cette taille et dans ma position, je ne voulais rien de plus que la vénérer. Je l'adorais.

"Je peux faire tout ça Diane."

"Bien." Elle releva légèrement son pied, mais garda son orteil sur moi tout en arquant son pied comme je l'aimais. "Tu peux terminer. Mais je veux te voir faire." Elle resta debout sur moi de manière provocante, les mains sur les hanches, son pied appuyant sur mon corps insignifiant.

Je pompa furieusement, finalement autorisé à décharger toute la tension sexuelle. Je me battais avec son orteil, complètement surpassé par sa taille mais n'en tenant pas compte, j'essayais désespérément de le soumettre.

"Oooh... Allez mon bébé, tu peux faire mieux que ça." Diane dit de plus haut, "on dirait que tu es dépassé par l'orteil de Maman... Tu peux bien résister à un seul de mes orteils, non ?"

Elle était clairement en train d'apprécier cette démonstration de domination, et elle en profitait autant qu'elle le pouvait.

"Quel genre d'homme es-tu ? Tu trembles sous mon pied. Je peux prendre ce que je veux de toi, et tu ne peux rien faire contre ça, misérable petit homme." Elle roucoula alors que j'éjaculais de partout sur son pied. C'était pour moi un genre de démonstration qui symbolisait le poids de son pouvoir dans notre relation, ainsi qu'un dramatique changement de style de vie. J’eus le sentiment que je n'allais plus jamais avoir de vie normale.

 

Chapitre 11 by dood07

 

Après m'avoir nettoyé, Diane me prit et m'apporta dans sa chambre, avant de me plaquer contre son sein pour la nuit. Elle m'expliqua que si je passais du temps à stimuler ses tétons alors cela pourrait induire une production de lait. Cependant, si jamais ça ne fonctionnait pas elle me dit qu'une de ses amies avait un traitement qui pourrait l'aider.

"Mais on est pas obligés de faire ça Diane, je peux simplement manger de la nourriture normale."

Elle fronça les sourcils. "Je n'ai jamais eu d'enfants chéri, et je veux ressentir ce que ça fait. Alors tu vas le faire, et tu vas apprécier." Elle appuya mon visage contre son téton.

Cette nuit je dormis sur son sein, couvert de sa chaude main. Elle était tellement gigantesque comparé à moi. Mon corps de 5cm n'était même pas comparable à un seul de ses doigts qui me dominait. Je me sentais en sécurité sur son sein, et je ne mis pas longtemps à m'endormir.

********************************************************************************

Je me réveilla au bruit de l'alarme de Diane, lui disant qu'elle devait se préparer pour sa journée de travail. Elle roula sur le côté, me plaquant toujours contre sa poitrine, et l'arrêta. Je pense qu'elle croyait que je dormais encore, parce qu'elle me mit directement son soutient-gorge par-dessus. Capturé contre son téton, elle attaqua sa journée. Je profitai de mon environnement chaud et doux pour me rendormir, sans me soucier de quoi que ce soit.

Diane se déplaçait, elle mettait des vêtements, faisait son petit déj, entrait dans sa voiture. J'étais à moitié conscient la plupart du temps -ses mouvements les plus rapides me réveillaient parfois. Lorsqu'elle démarra le moteur je fis l'effort de poser mes lèvres autour de son téton, ce qui le fit légèrement grandir. Je m'amusais avec, le massant et le stimulant jusqu'à ce qu'il devienne dur.

Je sentis une légère caresse sur mon dos, alors qu'elle tapotait son sein. "C'est bien mon bébé, comme ça. Continue à faire ça toute la journée, et bientôt Maman pourra te nourrir." L'entendis-je murmurer de plus haut.

Je me demandais bien ce que ça allait donner alors que je me remis au travail. Ma femme se rendit vite à son boulot. La gentille oscillation de ses seins me donnait du mal à rester à éveillé. C'était presque comme sur un bateau. Diane fit sa vie, aidant les clients et les caissiers. J'entendais sa voix à travers sa poitrine, et je stimulais périodiquement ses tétons. Plusieurs heures passèrent ainsi -je m'endormais pendant quelques instants, je me réveillais soudainement lorsqu'elle faisait un mouvement brusque ou qu'elle parlait fort, puis je caressais et suçais son téton pour m'assurer qu'il reste stimulé. J'avais la sensation d'être vraiment très obéissant, et j'espérais que ma Déesse allait se montrer reconnaissante.

Au milieu de la journée Diane se rendit aux toilettes, et ferma la porte derrière elle. Je pouvais la sentir déboutonner son t-shirt de travail à travers le doux mouvement des son soutient-gorge, puis elle s'assit sur les toilettes. Elle me tapota doucement pour être sûre que j'étais réveillé et descendit enfin son soutient-gorge, me regardant amoureusement de là-haut alors que je restais couché dans la coupe de son sous-vêtement.

"Salut beau gosse. Est-ce que tu veux être gentil et passer à l'autre ?" Murmura-t-elle alors qu'elle me pinçait gentiment les fesses. "Tu es juste tellement mignon !" Roucoula-t-elle.

J'hochai la tête alors que des doigts gros comme des troncs d'arbre m'attrapèrent. Elle me déplaça jusqu'à me tenir dans la paume de sa main gauche, lécha l'index de sa main droite et vint le poser sur mon sexe. Elle commença rapidement à me caresser, son gigantesque doigt plaquant mon membre chaud contre mon estomac. Je la laissais simplement faire ce qu'elle avait envie.

Je mis mes mains sur son ongle rose et m'y accrochai alors qu'elle m'offrait une masturbation juste avec son doigt. Lorsque ce fut terminé elle m'essuya avec un peu de papier toilette et me sourit d'adoration. On aurait dit qu'elle avait du mal à retenir ses émotions. Elle m'apporta à ses lèvres et me fit un doux baiser, sa bouche recouvrant tout mon torse. J'attrapai son nez avec mes deux mains alors que ses lèvres appuyaient contre mon corps, me baisant avec affection avant de me déposer à nouveau dans son soutient-gorge et de m'apporter à son sein. Je me sentais plutôt bien, mais vraiment fatigué.

Elle reboutonna son t-shirt et quitta vite les toilettes. Je travaillai avec acharnement sur son téton, et il se dressa fièrement. Je la sentis encore taper sur son sein pour approuver, et je passai une bonne heure à juste lécher, masser et toucher son auréole rugueuse et son téton avant de me rendormir à nouveau.

Je me réveillai lorsque je sentis les seins de Diane se balancer de haut en bas comme si elle courait. Je me demandais ce qui se passait, lorsque je l'entendis expliquer à un client qu'il avait oublié un sac à une caisse. Elle doit être sur le parking, me dis-je.

Je cherchai son téton, mais sans succès. La course de Diane m'avait désorienté, et je sentis Diane remonter son soutient-gorge en tirant sur la bretelle, pour réajuster son lourd convoi. Cela ne m'arrangeait en rien, et avant que je m'en rende compte j'avais glissé sous son sein, et le lourd membre reposait désormais sur moi, me coinçant alors qu'elle rentrait dans le magasin.

Je ne pouvais plus bouger, et j'entendis Diane pénétrer à l'intérieur. Elle alla jusqu'au bureau des employés, chaque pas causant un rebond de sa poitrine. Chaud et lourd, son sein appuyait contre mon minuscule corps, m'écrasant sous son poids. Diane m'avait sûrement oublié, parce qu'elle n'avait pas l'air de savoir ce qui se passait ! Je me débattais en vain contre sa poitrine monstrueuse, mais je ne fus pas capable de me libérer.

J'entendis Diane s'excuser pour être sortie, puis elle recommença à aider les employés pour les retours de caisse. Même si ce n'était pas si dérangeant que ça, je me demandais quand est-ce qu'elle allait bien s'en rendre compte.

Puis, la pire des choses arriva. Diane s'assit sur une chaise et se pencha vers le bureau. Alors qu'elle assistait des gens, elle se penchait régulièrement en avant et le dessous de ses seins frottait ou se posait légèrement sur la table. Ainsi, je fus de temps en temps victime du poids entier de sa poitrine sur moi. La chair adorable de son sein m'enveloppait, entourant tout mon corps alors qu'un poids incroyable reposait sur moi. Ma femme commença à avoir de plus en plus chaud, son travail difficile la faisant ainsi commencer à transpirer. Sa transpiration collait à mon corps, et mixée au parfum qu'elle portait, cela créait une puissante odeur féminine. Cet arôme combiné au poids intense de sa poitrine surpassait mon corps insignifiant, une pure démonstration de domination féminine. Même si c'était presque douloureux, j'appréciais vraiment chaque seconde. Sentir le poids de ma femme gigantesque sur moi, c'était une façon de montrer à quel point elle était puissante et cet instant était intoxicant pour moi. J'en voulais plus, je voulais la sentir entièrement sur moi. Mon cerveau se souvint alors de lorsqu'elle s'était tenue debout sur moi la veille, et mon membre se dressa instantanément, une bien drôle de réponse. J'étais vraiment un garçon étrange.

Je me repris un instant. Je devenais sûrement fou ! En ce moment Diane m'écrasait inconsciemment sous son sein et j'adorais ça. Je désirais même plus -son énorme sein ne me suffisait pas. Je me demandais si Diane allait bien vouloir se tenir à nouveau debout sur moi. Le fait est que je trouvais ça à la fois excitant et terrifiant. Je pense que j'en découvrais plus sur moi.

Je restai couché sans bouger pendant plus d'une heure, comprimé par sa poitrine. Puis la nuit commençait à tomber et le magasin devint bien plus silencieux. Je me sentis soulagé lorsque Diane se dirigea à nouveau vers les toilettes.

Elle referma la porte derrière elle et se déboutonna avec précipitation, enleva son soutient-gorge pour m'exposer à l'air frais, me libérant de cette prison de chair. Après avoir été si longtemps dans le chaleur de sa poitrine, l'air ambiant me paraissait froid.

"Pardon mon chéri !" S'excusa-t-elle alors qu'elle soulevait mon corps nu. "Je ne pouvais pas venir te chercher, y'avait trop de monde !"

En utilisant ses doigts elle me mit contre l'autre sein et manipula mon corps de sorte à ce que je sois face à son téton avant de refermer son sous-vêtement sur moi et de me capturer dans l'obscurité une fois de plus. Je caressai lentement son téton jusqu'à ce qu'il se dresse encore une fois puis je me rendormis. Le fait est que d'avoir de lourds seins reposer sur soi pendant plus d'une heure est vraiment exténuant.

 

Chapitre12 by dood07
Author's Notes:

Désolé pour l'attente entre les chapitres, j'ai terminé la traduction de cette histoire depuis un bon bout de temps, mais j'oublie de poster régulièrement..

 

Diane marcha jusqu'à sa voiture une fois qu'elle eut terminé son travail. Elle ouvrit sa porte, s'assit, démarra la voiture et me sortit de son soutient-gorge. Elle me déposa entre ses jambes, près de son sexe, comme pour dire 'tu es toujours à moi'. Elle caressa sensuellement son entrejambe avant de sortir du parking, et je câlinai un de ses énormes doigts.

Je lui demandai comment s'était passée sa journée, essayant de faire un peu de conversation. Elle se lâcha donc un peu. Le fait de retenir ce qu'on avait sur le coeur ou dans la tête était par nature assez stressant, vu que les gens pouvaient parfois être parfois assez problématiques. Je le laissai donc se décharger alors que nous rentrions à la maison, écoutant avec attention. Étrangement, je commençais à avoir l'impression que je l'aidais à tenir le coup, ce qui était assez ironique étant donné qu'elle avait bien spécifié qu'elle serait celle en charge dans notre relation. Cependant, une fois qu'elle eut terminé elle me sourit et me remercia. Je me sentais bien, comme si je contribuais à notre relation. Dans un certain sens, j'aimais vraiment Diane. J'étais inquiet pour son bien-être. Elle me faisait sentir utile, désiré et aimé.

Alors qu'elle conduisait, je réfléchis un peu à cela. Au fond, je savais que je n'étais pas encore prêt à accepter pleinement ce style de vie. J'avais encore l'impression qu'il me fallait m'enfuir dès que je le pouvais. Évidemment, une partie de moi avait envie de redevenir normal, refaire à nouveau une taille ordinaire. Je voulais pouvoir conduire ma voiture, manger de la vraie nourriture, voir ma famille et avoir du vrai sexe. Ne vous méprenez pas, je voyais des tonnes d'avantage avec ce nouveau style de vie, mais je n'étais pas encore prêt à oublier mon ancienne vie.

D'un autre côté, Diane avait fait plein de choses pour me montrer qu'elle serait gentille avec moi, et elle comptait beaucoup pour moi. Cependant, elle m'avait tout de même rétréci, ce qui était basiquement un geste de domination et de contrôle qui ne me laissait pas beaucoup le choix. Je me sentais aimé, mais je n'avais pas le sentiment qu'elle me faisait confiance. C'était comme si elle avait besoin de me rétrécir pour me garder avec elle, ce qui, je devais l'admettre, était probablement vrai. Finalement, je conclus que c'était ce manque de confiance qui me dérangeait. Ce n'était pas vraiment le fait de m'avoir rétréci. Si Diane voulait que notre histoire fonctionne, alors il allait falloir qu'elle me croit. J'en avais besoin; autrement je savais que je risquais de m'enfuir.

Nous arrivâmes dans son garage et elle me mit vite dans son soutient-gorge avant de rentrer dans sa maison. Elle ferma la porte et je l'entendis la verrouiller rapidement. Elle commença à chantonner, sa douce voix féminine vibrant dans mes oreilles à travers son torse. Ses seins rebondissaient un peu alors qu'elle trottinait jusqu'à l'étage. Je l'entendis entrer dans sa chambre et claquer la porte derrière elle, puis elle marcha jusqu'à son lit et s'assit dessus.

Elle retira ses vêtements, ouvrit son soutient-gorge et me fixa, l'air affamée. Diane avait un de ces regards, "l'oeil du tigre", si vous voulez. Elle voulait du sexe, et de la pire manière qu'il soit. Sa massive main m'attrapa, m'enfermant entre ses doigts alors qu'elle me déposait au milieu du lit.

Ma femme se leva et se retourna, me regardant désormais dans les yeux alors qu'elle se déshabillait séductivement. Je sentis ma partie privée se dresser, j'étais excité, et pourtant encore un peu effrayé.

J'étais couché sur le dos, l'observant descendre sa culotte jusqu'au niveau de ses chevilles. L'odeur émanant de son sexe était immanquable -elle mouillait comme jamais. Une fois qu'elle eut terminé elle posa, entièrement nue, les mains sur les hanches et les seins pointant fièrement.

"Chéri, si tu savais ce que je vais te faire..." elle sourit, tout en me fixant et en rampant jusqu'à moi. Ses mains et ses genoux gagnaient du terrain, donnant de drôles de pentes au lit, jusqu'à ce qu'elle arrive au-dessus de moi. Elle s'arrêta encore une fois, savourant la position dans laquelle elle m'avait mis. Je ne pouvais rien faire pour lui résister.

Je levai le regard en direction de cette immense machine de destruction féminine. Sa soif de sexe était intimidante, et je m'écrasai devant elle.

Un pouce immense appuya sur mon torse alors qu'elle me pinçait entre ses doigts, puis elle posa un oreiller juste en-dessous de moi, avant de me reposer dessus.

"Diane !" Hurlai-je. "Qu'est-ce que tu veux me faire ?"

"Ta gueule bébé." Diane se pencha au-dessus de moi, et son immense chatte apparut dans mon champs de vision. "Maman va se faire plaisir maintenant."

Le monstre poilu qui s'était dressé me fonça dessus, claquant contre mon corps et m'enfonçant dans la main de Diane. Je paniquai, attrapant des poils pubiens blonds et essayant de crier du bout de mes poumons. Ses fortes lèvres se battaient contre moi, me soumettant avec brutalité. Son clitoris gonflé se découvrit, envahissant mon champs de vision. Du poids me tomba dessus, encore et encore et le monstrueux clito me frappait avec force. Je me débattis et essayai de gigoter, lorsque j'entendis un énorme râle suivi d'un long gémissement.

Ce n'était pas sensé arrivé ! J'allais mourir, c'était sûr et certain. D'aussi loin que j'étais concerné, Diane était partie. Je ne pouvais plus la voir du tout. Ce que je pouvais voir était un monstre oppressant, un monstre féminin, poilu et brutal qui ne voulait rien de plus que dévorer mon pauvre corps. Il enroulait ses lèvres autour de moi d'un air affamé, appréciant avec succulence mon insignifiance, jouant avec moi. Je me mis à paniquer encore plus, cherchant de l'air à tout prix et je me débattis du mieux que je pus. Je devais m'échapper ! La chatte en profita encore plus, mouillant et tremblant, frappant mon visage avec son clitoris qui faisait office de poing. Un poids immense s'en allait et revenait avec insistance, alternant des périodes de pression très élevée.

Je n'allais nul part. Mon combat, ou plutôt tentative de fuite, n'avait pas fonctionné. Je frappai avec puissance le clitoris, des fluides giclant de partout sur moi. J'étais trempé. Le monstre vaginal répondit à mon attaque en m'écrasant de plus en plus. De larges lèvres m'immobilisèrent alors qu'un poids incommensurable était placé sur moi, et que des fluides giclaient dans tous les sens. J'entendis de brusques exclamations et gémissements féminins. Je toussai, attrapant les poils autour de moi dans un espoir d'échapper à la noyade. Les poils étaient humides de mouille, et ils glissaient douloureusement à travers mes doigts. Je finis par réaliser que ma situation était désespérée et j'abandonnai, complètement détruit.

 

End Notes:

J'espère que ça vous a plu !

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